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Publié le

Mise en vente d'une ancienne boite type boite d'infirmerie, ayant vraissemblablement appartenu à une infirmière officiant à l'hopital psychiatrique de Montfavet, dans le Vaucluse.

Il semble que cette infirmière se soit attaché particulièrement à la patient de la chambre 149, d'un point du vue psychiatrique, mais également médiumnique, après avoir réalisé quelques esquisses de manière spontanée, alors qu'elle n'avait aucun talent artistique.

Il semble également que ce lien avec cette patiente lui a permis d'établir des liens plus ténus avec d'autres patiens, basés principalement sur des noms, du ressenti ou des émotions.

Il semble enfin que le catalyseur de ces liens soit un petit chapelet en bois.

Les esquisses n'ont malheureusement pas été retrouvées dans la boite.

Celle ci contient:

- Un registre des patients de l'hopital en 1936.

- Un petit chapelet en bois.

- Un manuel élémentaire de psychiatrie de 1930.

- Un livre de William James: "Etudes et réflexions d'un psychiste", daté de 1924.

- Le catalogue 1938 des oeuvres de Rodin du Musée Rodin.

- Un petit cahier type livre de comptes, vierge.

- Le numéro 1 (1986) de la revue "Frénésie", revue de la société internationale d'histoire de la psychiatrie et de la psychanalyse. Un des article traite de "Camille la scandaleuse". Cette revue devait appartenir au précédent propriétaire de la boite quand il s'est intéressé au sujet.

- Une boite en fer contenant 5 anciennes clefs, chaque clef étant reliée à un petit panneau vierge de toute inscription. Ces panneaux doivent certainement servir à inscrire le numéro des batiments ou des étages de l'hopital.

La boite mesure à peu près 30 cms sur 20 cms sur 18 cms.

Quelques photos:

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450 euros FDPI.

Merci. :)

Circulez !

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  • Messages

    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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