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Publié le

Je faisais l'excellente version de Mary Wolf, décrite dans le très bon VBO Mendoza. En revanche il n'utilise pas de produit, mais est-ce vraiment important ? Dans la version de Copperfield, la disparition des as est justifié car il ne met (en apparence) jamais de cartes sous l'AS leader. Alors que dans celle de Vallarino (très visuelle aussi) c'est le contraire, me semble-t-il.

Dans un As Mcdonald classique c'est plus une transposition qu'une disparition d'As, finalement

Je m’appelle Green,Alex Green.

Publié le

Oui chez Copperfield : les as disparaissent des trois paquets pour aller rejoindre l'as leader. C'est un voyage à "sens unique".

Ce n'est pas vraiment un Mc Donald pour moi.

Dans les routines classiques de Mc Donald, les as des trois paquets permutent avec les trois cartes qcq placées avec l'as leader. A la fin on a donc les 4 as ensemble aussi.

Melvin

Publié le (modifié)

Giogio Thomas : "Il faut rendre a César ce qui lui appartient.

L'histoire, le texte et meme le choix musical est un parfait copier coller de la routine d'Alain Choquette qui débarque bientot en France. Voyez par vous même:

"

Copier coller : euh, à part la musique peu de ressemblances entre les deux routines :

- production des as :

- Pop out move pour DC

- AC coupe sur les 4 as

- mise en place des paquets :

- pour DC : 3 cartes sont posées bien distinctement sur 3 des as et pas sur l'as leader

- AC : 3 cartes posées sous chacun des 4 as d'une manière un peu confuse à mon avis.

- disparition des as :

- pour DC : chacun des 3 as disparaissent de leur paquet respectifs

- pour AC : les 4 as ne disparaissent pas des paquets mais se transforment en une autre carte (comme dans un Mc Donald classique)

- Final :

- pour DC : les 3 as disparus reviennent sous l'as leader

- les 3 as se retrouvent à la place des 3 cartes placées précédemment sous l'as leader.

Conclusion :

les deux routines n'ont rien à voir l'une avec l'autre ni dans la présentation, ni dans l'effet, ni dans la méthode !

AC fait un classique Mc Donald avec 3 as DF

DC utilise une autre méthodologie.

Soit AC a vendu la musique à DC, soit il lui a vendu une autre routine !

Modifié par Melvin

Melvin

Publié le (modifié)
...

Soit AC a vendu la musique à DC, soit il lui a vendu une autre routine !

...

Soit chacun de ces excellents magiciens à plusieurs versions, et qu'il se trouve que les vidéos présentées montrent des version différentes ;)

AC fait effectivement une version "classique" du tour (en tous cas celle que beaucoup de gens connaissent.)

il y en a de plus élaborées, ou l'on peut, par exemple, montrer à chaque passage que l'as est arrivé dans le paquet destination à la place d'une carte quelconque.

DC décide de ne pas faire de voyage, mais des disparitions, puis une apparition finale.

Méthodes différentes, mais aussi familles d'effets différentes, et apparition finale vraiment magique, puisqu'on passe d'une carte à 4 vraiment visuellement.

Ceci dit, la méthode n'est pas tout:

Chez AC, et sans doute encore plus chez DC, l'ambiance joue un rôle essentiel.

La vidéo de DC citée plus haut est un extrait:

Il manque une partie essentielle selon moi, c'est l’introduction ou DC nous parle de son père (ou son grand père? je ne sais plus...) qui faisait ce tour...

Tout comme AC.

Et du coup, cela éclaire le tour d'une couleur nostalgique, qui justifie pleinement musique, gestes lents, petites hésitations:

On n'est pas dans un tour de carte, on est dans un moment d'émotion ou le magicien évoque quelqu'un qu'il aime.

Et c'est cela la force du tour.

Dans l'émotion qu'on va lui donner.

Après, qu'il fasse un double saut périlleux arrière ou de la science friction pour y arriver, c'est que de la technique.

Mais l'émotion, je comprend très bien que DC l'ait achetée à AC, car ça marche!

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Gilbus : "Mais l'émotion, je comprend très bien que DC l'ait achetée à AC, car ça marche!"

Je pense que c'est ça surtout que DC a acheté : la présentation (mise en scène) du tour. Les présentations sont les secrets que les magiciens dévoilent que très rarement et pour cause, c'est toute l'originalité de l'artiste qu'elle contient.

DC retravaille quand même tout à sa sauce à l'aide de ses compères. Là on voit que la routine a été grandement améliorée, cette assemblée d'as est plus logique que le classique Mc Do. Et elle est magnifiquement exécutée !

Donc le double saut périlleux avant plutôt qu'arrière ça compte aussi bcp à mon avis.

Melvin

Publié le
...

Donc le double saut périlleux avant plutôt qu'arrière ça compte aussi bcp à mon avis....

hihihi: tu as bien sûr raison, j'ai un peu trop simplifié:

pour une fois que je fais court... ;)

l'ambiance de la routine, c'est le point fort.

Le scénario de la routine, ce qui s'y passe, avec les types d'effets et le rendu spectateur, c'est l'important.

Ensuite, la technique utilisée, c'est cela que je voulais qualifier de double saut périlleux arrière:

c'est la partie mécanique, ou chacun peut mettre ce qu'il veux, on s'en fiche un peu du moment que ça marche et que cela répond aux contraintes d'interprétations...

C'est comme un programme informatique:

I y a l'utilité.

Puis l'ergonomie, les performances.

Et enfin le langage de programmation: cela, l'utilisateur n'est pas censé s'en occuper, donc du moment que ça marche comme il faut, cela ne regarde que le programmeur...

Bon, la aussi, je simplifie: le langage utilisé peut concerner l'utilisateur, dans ce cas, pour des raisons de compatibilité, de maintenance, d'évolutions, de sécurité... bref, l'informatique, c'est encore pire que la magie! ;)

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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