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J'ai cotisé pour le coiffeur. Après avoir dire ça, il va falloir assumer une coupe bien originale si ce dvd est un nouveau succès (ce dont je ne doute pas).

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Loving Band Double DVD par Clement Kerstenne et Philippe Bougard

Il s'agit d'un double DVD sur le thème de la magie des Elastiques ; cela vous le savez déjà.

Que contient ce DVD : 12 routines, 12 techniques, des Bonus, 1 Making of et un film complètement fou... bande de petits veinards

je ne vais pas vous détaillez toutes les routines car finalement, la magie des élastiques va se résumer à des enclavements, des désenclavements, des changements de couleurs, des apparitions, disparitions et des transformations. C'est une magie directe et souvent uniquement visuelle ; ce qui, je l’avoue, n’en fait pas vraiment ma tasse de thé.

Ceci dit, comme promis, vous trouverez ci-dessous une description de quelques routines, ainsi que mes impressions sur le contenu très riche du DVD.

Le 1er DVD contient : les routines, techniques et explications

Au niveau des routines :

RubberColorchange : une jolie routine dans laquelle les élastiques vont changer de couleurs alternativement avant de s'enclaver l'un dans l'autre, très visuelle.

Jump : un élastique qui va monter sur le bras, intéressant uniquement en vidéo car pour le live cela craint un peu.

Rubersize : une transformation d'élastique en triangle et en étoile

Chauffé reconstitué : une routine où l'élastique va être brulé, se casser et sera reconstitué à vue.

Rubber ring : un classique de pénétration de bague dans un élastique, une nouveauté réside dans l'effet final car la bague se trouvera enroulée par l'élastique

Key Keys bang bang : une belle routine qui commence avec un désenclavement d'élastique fixé au poignet d'un spectateur enchainé avec une routine d'enclavement d'anneau de porte clé.

Change phone : un change de couleur d'élastique sur un iphone, très visuel et très clean.

Imprévu : effet plus orienté pour une vidéo que du live, vu les contraintes.

Les autres routines : à vous de les découvrir, mais vous en avez vraiment pour votre argent.

Après les routines vous découvrirez ce qu'ils appellent les techniques qui sont en fait des effets flash, certains sont vraiment intéressants par leur modernité et les aspects visuels.

Le 2e DVD contient : Le Making of, une routine commerciale, une routine de cartes avec élastiques présenté par Marc Decoux, et les bonus.

Le Making of : j'ai adoré car c’est très drôle et bien réalisé, avec encore des effets d'élastiques et quelques idées de nouvelles approches.

La routine Commerciale reprend des classiques de la magie des élastiques dont la fameuse « Crazy man handcuff »

La routine de Marc Decoux : une belle combinaison de carte choisie et d’ élastique ; ce dernier va voyager du jeu sur la carte choisie.

La partie Bonus : va principalement parler des principes et des idées de la magie des élastiques en duo. C’est une approche assez inhabituelle, novatrice et intéressante.

Voilà très sommairement ce que contient ce double DVD.

LES +  :

. Une captation et une réalisation extraordinaire. C'est du grand art!

Félicitation pour le travail réalisé, un véritable court métrage avec un scénario drôle et moderne.

. Les arrêts sur images durant l'explication de certaines routines sont intéressants. Il permettent de travailler votre routine sans avoir toujours la télécommande dans votre 3e main.

. Le contenu est très riche au niveau création, idées, effets et innovation;

. Ils abordent beaucoup plus de familles d'effets magique avec les élastiques, (lévitation, apparition, changement de forme).

. La bande son est vraiment bien pour le court métrage

. Le rapport qualité prix est plus qu’excellent sincèrement 25 euro en pré-vente pour un double DVD de cette qualité c'est aussi très rare.

Maintenant à mon grand regret et afin d'être objectif vis à vis des Vmistes qui me lisent je dois parler des points négatifs, même si Philippe Bougard est un ami.

LES -  :

. La captation des explications dans un milieu extérieur n’est pas simple à suivre car les élastiques se voient moins bien.

. La musique rythmée dans les explications m'a vraiment pris la tête, j'aurai préféré une musique plus lounge.

. Le fait que les explications ne soient pas parlées pour certaines passes compliquées rend la compréhension plus difficile.

. Le fait d'avoir voulu trouver de nouvelles utilisations aux élastiques n'apporte tout de même pas un vrai plus, cela me donne l’impression d’assister à un atelier de magie composés essentiellement d’élastiques et où les cartes et les pièces seraient interdits.

Conclusion :

Si vous aimez la magie des élastiques vous ne devez pas passer à côté de ce DVD.

Si, en plus, vous avez moins de 25 ans, vous aller Kiffer.

Ceux qui ont plus de 30 ans couperont peut-être le son durant les explications.

Par contre, si vous n'aimez pas la magie des élastiques mais que vous êtes ouverts à des expériences nouvelles, vous devez acheter ce dvd qui est instructif et divertissant. Il vous fera tout de même passer un bon moment.

Ce double DVD propose un contenu très riche, généreux et présenté par des magiciens passionnés et talentueux, bien qu’un peu fous.

En plus de la richesse du contenu, vous allez être comblé par la qualité des images et par le film présentant les routines ainsi que le making of qui sont drôlement bien foutus.

Le tout à un prix dérisoire.

Quoi qu’il en soit, si vous êtes Belges, vous êtes obligés d'acheter ce DVD au moins 1 fois. Vous ne pouvez pas passer à côté de la productivité de ces deux talents bien de chez nous.

amitiés

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
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