Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Merci pour l'info Fabrice , c'est pour cela que j'étais persuadé que Scoolcraft avait la total exclu !!!

Par contre pour voir sur la vidéo que c'est pas du matos Jamie , t'es vraiment trop balaise ;) et je te reconnais bien là !!!! :)

Ici c'est le chaudron !!!

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 41
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le
Après si c est 80 euros ca vaut la peine de se renseigner auprès de artisant français qui font du très bon travail

Tu as des noms à me proposer?

Je possède une flipper pro gravity réalisé par Lunates . Du très beau travail à un prix similaire au tiens. (Aucun soucis pour la laisser dans les mains du spectateur lorsqu'il est bien conditionné ;-) )

"Émotion, une chute brusque de la conscience dans le magique." Jean-Paul Sartre

Publié le

Lol. En fait tu le vois bien dans les explications. La patine et aspect ne ressemblent pas a celle de schoolcraft. De plus les flippers de Jamie ont un défaut majeur pour moi. Fermée le reçrantage trop fort de l insert se voit. Or la , elle est superbe et pourtant ce n est pas du haut de gamme comme on l entend.

Publié le

Pendant qu'on parle de pièces ... je me suis rendu sur les sites Schoolcraft et j'ai vu de belles choses mais à des prix assez ahurissants.

Je ne pratique jusqu'à présent qu'avec des pièces classiques type dollar Eisenhower ou demi dollar Kennedy, respectivement à 7€ et 3€ à la louche, et là je suis tombé sur des kits valant plusieurs centaines d'euros.

Je me doute qu'il y a une bonne raison, que j'ignore encore ...

64 Kennedy, Morgan, Walking liberty ... je lis ces noms un peu partout sur le forum mais concrètement, elles ont quoi de spécial? La matière, la façon de les faire, autre?

Il paraît qu'Alex Elmsley avait quatre fils, mais lui n'en a toujours vu que trois.

Publié le

Toute la main d'oeuvre et le "talent" pour le faire, je te souhaite un jour de pouvoir avoir une tango et une piece de chez notre ami Thierry Magikoins en main, qui lui fait tout a la main contrairement a certains qui font "rien" et lancent une machine. Tu paies la qualité, le savoir-faire, et SAV de qualité chez nos fabricants Français !

Publié le

Merci. Donc on est autant dans la qualité du produit que dans le côté artistique ou collection.

Je commence à m'intéresser à la numismagie, donc je n'ai pas prévu pour le moment de dépenser autant en pièces, mais me connaissant, si je poursuis et que j'aime toujours autant, je risque d'y venir par la suite ...

Il paraît qu'Alex Elmsley avait quatre fils, mais lui n'en a toujours vu que trois.

Publié le

Les walking Liberty , barber , Morgan .... Pour ne citer qu'elles , sont des pièces en argent qui ont déjà une valeur assez élevé , tu y ajoute le travail et le savoir faire de l'artisant sur ce genre de pièces , le prix de vente sera élevé

La notoriété de l'artisant aidant peut être un peu , Scoolcraft et Lassen par exemple aux US, sont mondialement ( le monde des magicos bien sûr ;) ) connu et largement sollicités , ils ont un livre d'or remplit d'éloges par les plus grands : Eric Jones , Troy Hooser , Chris kenner , Dean Dill , bob Kholer ,David Blaine ... Etc

Nous avons en France des fabriquants capable de faire aussi bien avec en plus une touche creative , je pense au graal de Thierry Magikoins et à l'ambivalence de Vax

N'hésite pas a les solliciter, tu auras en prime leur sympathie et leur disponibilité

Ici c'est le chaudron !!!

Publié le

Le son des pièces est aussi différent en fonction de leur alliage et certaines passes requièrent un tintement audible pour le spectateur passe au son notamment et je pense à la routine audio de Éric Jones. A contrario parfois il vaudra mieux avoir de longs doigts ou des pièces plus discrètes. ..

Forcément à force de forcer c'est forcé que ça force...!!

Publié le

En fait je suis d accord sur le fait de trouver ca très cher. Mais il y a un mais. D abord oublions les Kennedy. Elles sont jolies mais quand tu joues avec des pieces en argent, le touché, le bruit , leur design est incomparable. J avais un beau sun and moon Kennedy. Rien a dire. Mais je suis passé au walking juste pour ca. Une walking peut coûter près de 20 euros. Une centaine d euros déjà pour 5 pieces sans y avoir toucher contre une dixaine pour des Kennedy. L usinage , l ajustage et le temps passé et tu arrives a 180 pour un set. Je suis le premier a trouver ca cher et bidouiller mes propres pieces mais le temps et matos pour le faire est important. Ils ne gagnent pas grand chose sur un set. Après si tu t appelles tango, que tu fais travailler a l étranger pour rien , alors tu marges plus. A la main ou a la machine , perso je m en fou. Seul le Résultat m interresse( pour moi c est un faux débat ) mais je préfère pouvoir personnaliset avoir le choix. Puis faire bosser des passionnés. Puis certaines pieces nécessitent pas de mettre le prix , et d autres un peu plus. Une piece seule est parfois réussi. Tango a une flipper quasi invisible et meme certains fabriquant font pas mieux. Pour un set complet c est autre chose. Quand on y goutte .... Sur dur

Publié le

Je veux bien te croire. Je suis guitariste et le prix de certaines de mes guitares fait bondir d'autres guitaristes, mais quand tu joues depuis vingt cinq ans et que tu as eu accès à du matériel de luthier, plus moyen de jouer sur des guitares "d'usine" ...

Donc le parallèle avec les pièces est tout trouvé et je suis certain, si mon goût pour la numismagie se confirme, que j'y viendrai forcément ... A vrai dire, je regarde déjà :)

Il paraît qu'Alex Elmsley avait quatre fils, mais lui n'en a toujours vu que trois.

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...