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Hello tout le monde. :)

Je poste un message ici car je recherche des sources (surtout des livres) traitant de l'hypnose conversationnelle. Ce que l'on appelle aussi l’hypnose passive ou encore hypnose éveillée. L'une des seules forme d'hypnose qui ne demande pas de mettre son sujet en transe.

J'ai déjà lu pas mal de bouquin sur l'hypnose et je pratique un peu l'hypnose de spectacle, mais mes lectures me poussent à m'intéresser à cette forme d'hypnose qui je pense est beaucoup moins connu. Et dont les sources traitant de ce sujet sont assez rare malheureusement (d'après les premières recherches que j'ai effectués).

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Bonjour,

>> à cette forme d'hypnose qui je pense est beaucoup moins connu.

En fait, elle est très connue mais effectivement il y a peu d'ouvrage sur ce domaine. En ce qui me concerne c'est grâce à un psychologue clinicien que j'ai appris cette forme d'hypnose, il y a plus d'une vingtaine d'années...

Alan

"Gardez le mystère, il vous gardera."

"Le hasard sait toujours trouver... ceux qui savent s'en servir."

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va voir les livres des éditions SATAS, il y a un paquet de livres consacrés à l'hypnose. Tu pourras peut être y trouver ton bonheur :)

j'ai commandé un bouquin sur ce site qui m'a beaucoup aidé en street hypnose...

je ne savais pas que tu pratiquais l'hypnose c'est cool :)

A bientôt

Riming

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D'accord merci vous trois pour ces sources.

Et oui Riming je fait un peu d'hypnose de spectacle, j'aime beaucoup d'ailleurs en faire un peu à la James Brown. Comme sa si l'hypnose échoue je me rattrape avec la technique magique, et cela sans que les spectateurs ne le sachent. C'est ce que fait James Brown et je trouve sa très intelligent. ;)

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Bonjour,

>> à cette forme d'hypnose qui je pense est beaucoup moins connu.

En fait, elle est très connue mais effectivement il y a peu d'ouvrage sur ce domaine. En ce qui me concerne c'est grâce à un psychologue clinicien que j'ai appris cette forme d'hypnose, il y a plus d'une vingtaine d'années...

Alan

J'avoue que j'ai du mal à saisir ce qui différencie cette hypnose des autres, peux tu développer ? merci d'avance.

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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