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Publié le

bonjour

peut etre une question déja posé je ne sais pas mais bon allons y

je reviens d'un spectacle qui ma interpellé je l'ai fait dehors deja avec du vent donc j'ai été obligé de retirer tout ce qui était feu mais bon pg j'avais prévu d'autres tours

j'arrive je stipule bien pendant mon montage aux instits qu'il faut absolument pour éviter l'envahissement des enfants " car il n'y a pas de scène " qu'elles restent a proximité pour maintenir les enfants car j'en appellerais à chaque tour pratiquement

enfin bref pour faire rapide les deux instits se barrent dés le debut du spectacle et au bout du troisième tours je suis envahi de toute part devant derrière, sur les cotés donc impossible de faire des tours dans ces conditions

je demande au micro de l'aide personne ne bouge encore moins le directeur à coté qui s'en tape totalement donc je décide de stopper ma

prestation mais bon javais reussi à peut près a m'en sortir 35 minutes de galère totale

je précise que des spectacles j'en ai fait enormément mais la je me suis posé la question qu'aurait fait un autre magicos

merci de vos réponses

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Publié le

c'est vrai que le manque de scène (plan linéaire) pose un problème !!

Mais c'est souvent le cas dans les écoles !!!!

En général je délimite un espace scénique + un espace dégagé devant !!!

en accord avec le personnel enseignant qui place les enfants jusqu'à la limite (marqué par du gaff au sol ou tout autre moyen)

Ce n'est pas très "sympa" de parcé les gamins qui tu gagnes en confort pour ton spectacle !!!!

Sinon tu es pollué par des interruptions fréquentes afin de repousser les gamins, je pense que s'est ce que tu viens de subir????

Tu sais tu peut être un bon show-man mais également faire preuve d'autorité , c'est pas forcément incompatible et personne ne t'en voudra d'avoir remis à leur place quelques gamins indisciplinés, parfois m^me les adultes te remercieront d'avoir agit ainsi!!!!!!

Personnellement si cela arrive , je me tais , je reste immobile et en général les enfants interpellés par cette attitude se taisent ....je peux alors reprendre .

Je varie aussi les intonations de voix ce qui permet en parlant fort dans un premier temps d'avoir leur attention et après je reviens à une voix calme.

Pour en finir, cette situation m'est arrivé une fois : je les ai repoussé gentiment et fermement jusqu'à la limite définie avant le spectacle et j'ai poursuivi!!!

Mais je comprends ton malaise car quand ça arrive tu sens que tu perds le fils du spectacle.... et là c'est vraiment pas bon car le désintéressement gagne et ça devient inaudible et la cacophonie fait légion!!!!

J'ai aussi résolu ce problème par deux tours qui incluent une participation collective du public et permettent aux enfants de crier de réagir et de s'exprimer tant qu'ils veulent : on va dire que se sont des "tours défouloirs" ... ainsi il est plus facile par la suite de récupérer leur attention qui chez les enfants , ont le sait est très "volatile"

voilà ma contribution basée sur mon expérience personnelle !!!

si vous avez d'autres pistes.........

carpe diem

Publié le

Dur,dur!.

Je te conseillerai d'avoir une bonne sono,que ta voix passe par dessus le bruit que peuvent faire les enfants,de délimiter ton espace et surtout,c'est pour moi primordial,avoir une partenaire qui va gérer l'espace et les enfants.Dans le couple que tu représentera avec ta partenaire,les enfants percevront un papa et une maman.Un magicien tout seul peut-être chahuté ,j'ai déjà vu ça,et la,grosse galère,il faut être complice avec les enfants,mais savoir aussi s'imposer sinon gare aux enfants,ils ne font pas de cadeaux.Quelques tours sur fond musical ponctuent mes spectacles pour enfants,et la le choix des musiques est important(plutôt entraînante ).

Bien à toi.

Ah!,mon fils me conseille deux gros rotweillers,un côté cour et l'autre côté jardin. lol

Cordélius 

Publié le

Mettre des pièges a souris ! =D

Quand j'ai ce genre de prestation, je précise dès le premier contact téléphonique, que je suis magicien et non baby sitter, et qu'il est impératif qu'il y ait des adultes pour surveiller les enfants turbulents... En général je n'ai pas trop de problème.

Il faut également prendre en compte qu'un groupe d'enfant ne peut pas être attentif trop longtemps, pas conséquent, il n'est pas conseillé de proposer un spectacle trop long...

Pour délimiter la scène, comme là déjà dit Azoth, le mieux est de mettre des cordes au sol. Personnellement je le fais très rarement, je demande qu'il y ait des petits bancs pour les enfants, du coup, ils ne bougent pas.

Anthony

 

Publié le

Je crois qu'en délimitant l'espace scénique ( par une corde ou tout autre moyen), une bonne partie de tes problèmes seront résolus.

C'est bête à dire mais, je crois que les profs ont commencé à perdre de leur autorité le jour où on leur a retiré les estrades et les blouses grises qui mettaient une barrière psychologiques entre eux et les élèves.

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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