[Matos] Ultracinese version chinoise

Thierry SCHANEN · 28 octobre 2011

Déjà que le prix de vente de "l'original" est exorbitant par rapport à son prix de revient on comprend à quel moment les bénéfices sont engrangés et dans quels poches ils vont.

Quand est-ce que les gens vont comprendre que dans le prix de vente "exorbitant" de l'original, il y a surtout la rémunération de l'auteur, de son temps de recherche, de mise au point... Vous ne trouvez pas scandaleux, alors, de payer un livre entre 10 et 40 euros alors qu'il n'y a dedans que du papier pour, au maximum, 2 à 5 euros ?

BeeRoot · 28 octobre 2011

Déjà que le prix de vente de "l'original" est exorbitant par rapport à son prix de revient on comprend à quel moment les bénéfices sont engrangés et dans quels poches ils vont.

Quand est-ce que les gens vont comprendre que dans le prix de vente "exorbitant" de l'original, il y a surtout la rémunération de l'auteur, de son temps de recherche, de mise au point... Vous ne trouvez pas scandaleux, alors, de payer un livre entre 10 et 40 euros alors qu'il n'y a dedans que du papier pour, au maximum, 2 à 5 euros ?

Ça m'étonnerait fort qu'un bureau d'études en ingénierie mécanique et électromécanique soit à l'origine de la conception, la réalisation et la commercialisation de l'ultracinese, alors que toutes les boutiques de charme proposent des œufs vibrants dans leurs catalogues.

Et toujours cet exemple aujourd'hui éculé de la fabrication d'un livre. D'une part, le livre est de plus en plus dématérialisé.

D'autre part, aujourd'hui avec les logiciels de photocomposition et de mise en forme de document n'importe quel pékin s'improvise hélas imprimeur.

Et enfin, un grand nombre de pisse-copies qui se targuent de la qualification d'auteurs ou pire d'écrivains, feraient mieux de s'abstenir de publier leurs insipides chiures de mouches. Dans le cadre du développement durable et des économies d'énergie, tout le monde y gagnerait.

BeeRoot · 28 octobre 2011

Déjà que le prix de vente de "l'original" est exorbitant par rapport à son prix de revient on comprend à quel moment les bénéfices sont engrangés et dans quels poches ils vont.

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Et toujours cet exemple aujourd'hui éculé de la fabrication d'un livre. D'une part, le livre est de plus en plus dématérialisé.

D'autre part, aujourd'hui avec les logiciels de photocomposition et de mise en forme de document n'importe quel pékin s'improvise hélas imprimeur.

Et enfin, un grand nombre de pisse-copies qui se targuent de la qualification d'auteurs ou pire d'écrivains, feraient mieux de s'abstenir de publier leurs insipides chiures de mouches. Dans le cadre du développement durable et des économies d'énergie, tout le monde y gagnerait.

Ou est le rapport avec le propos de ce post ?

Le rapport avec ce post? Voir le message #314774 de Thierry Schanen qui un peu plus haut, a orienté son message vers l'édition d'écriture.

Je le cite:

"Vous ne trouvez pas scandaleux, alors, de payer un livre entre 10 et 40 euros alors qu'il n'y a dedans que du papier pour, au maximum, 2 à 5 euros ?"

En effet, on se demande ce que vient faire ici cette digression dans un post consacré à l'ultracinese.

MIchaël ZIMMERMANN · 28 octobre 2011

Pour moi, pour chaque produit, (en magie ou autre) , il devrait y avoir marqué dessus le prix de revient du produit et le prix de vente, pour que chaque consommateur puisse réfléchir si oui ou non on le prend pour un NOC (mettre en verlan, vous comprendrez).

A+

MIchaël ZIMMERMANN · 28 octobre 2011

Moi, si je créé un concept révolutionnaire, je vais le vendre, mais au prix que me coutera de l'éditer, pour que le plus de magiciens puisse l'utiliser.

Je ne donnerai aucun exemple de fonctionnement, et les gens se débrouilleraient avec leur cerveau. Et on verra bien qui utilise l'objet intelligemment et qui mérite de l'avoir acheté pas cher.

a+

BeeRoot · 28 octobre 2011

Peter Din le ventriloque, je ne suis pas ta marionnette et ne me fait pas dire ce que je n'ai pas exprimé. Tes propos sont les tiens et non les miens.

Et pour te faire sauter sur ta chaise, parfaitement, je revendique le droit d'acheter des copies.

Qui va me l'interdire?? Au nom de quel principe?? Je n'ai certainement pas à justifier auprès de toi mes choix d'achat.

Nous ne sommes heureusement plus à l'ère soviétique durant laquelle chacun observait, dénonçait son voisin au commissaire du peuple.

Tout un chacun est libre en conscience de dépenser son maigre argent selon ses préférences.

Il y a longtemps que les boutiques des musées nationaux proposent à leur clientèle des copies d'œuvre d'art.

http://www.boutiquesdemusees.fr/fr/boutique/musees

Il y a même des promotions. Tu devrais en profiter pour tes futurs achats de fêtes de fin d'année.

Modifié 28 octobre 2011 par BeeRoot

BeeRoot · 28 octobre 2011

Et pour te faire sauter sur ta chaise, parfaitement, je revendique le droit d'acheter des copies.

Qui va me l'interdire?? Au nom de quel principe?? Je n'ai certainement pas à justifier auprès de toi mes choix d'achat.

LA LOI !

Quoi la loi?? Cher Peter Din, ton gros souci est ton vocabulaire.

Tu confonds copie et Contrefaçon!

Et alors, si tu veux t'amuser au juriste, ce n'est pas du tout la même chose.

Encore une fois: Contrefaçon!!!!, tu peux l'écrire plusieurs fois pour t'en souvenir.

BeeRoot · 28 octobre 2011

La copie privée dans son garage d'un produit commercialisé est aussi une contrefaçon.
Sinon je t'invite à fabriquer tes" Lacoste" dans ta cuisine et on verra si tu seras en règle

Encore une fois, tout faux cher Peter Din.

La copie privée est une exception au droit d'auteur. Comme il est énoncé dans son libellé, elle est d'un usage privé (cadre familial par exemple).

Quant au polo "Lacoste" cité en exemple, il sera une contrefaçon si j'y appose, le sigle, le logo Lacoste. Par contre, si j'y appose mon propre logo c'est une copie qui devient "original" et peut suivre le circuit de commercialisation.

La contrefaçon met en danger le droit du travail et de la propriété intellectuelle et la sécurité des consommateurs.

Modifié 28 octobre 2011 par BeeRoot

Nico13500 · 28 octobre 2011

Mais un Lacoste sans le logo Lacoste, c'est pas un lacoste

BeeRoot · 28 octobre 2011

Mais un Lacoste sans le logo Lacoste, c'est pas un lacoste

C'est exact. Hélas, la contrefaçon est érigée en art de vivre en chine ce qui met en péril notre économie, nos industries, notre balance commerciale et notre avenir.

Pour faire court et ne pas troller le thread, un des plus bel exemple de contrefaçon industrielle qui reste dans nos mémoires (Peter Din doit s'en souvenir) c'est le Tupolev 144 Sovietique largement "inspiré" de l'avion supersonique Franco-britannique Concorde.

Modifié 28 octobre 2011 par BeeRoot