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Pour Frantz (C.C. Editions) : BOOK | la révolution technologique


Gérard BAKNER

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Un "livre de psaumes" datant de 1640, le premier ouvrage imprimé sur ce qui allait devenir le territoire américain, est devenu le livre le plus cher jamais vendu aux enchères, adjugé à 14 millions de dollars à New York. Durée:00:50

Le livre le plus cher de tous les temps reste le Codex Leicester, une collection d'écrits de Léonard de Vinci, datés de 1508-1510. Il avait été acheté de gré à gré, et non aux enchères, par le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, en 1994 à un musée de Los Angeles, pour quelque 30,8 millions de dollars.

Source et reportage vidéo ici :

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/11/27/aux-etats-unis-le-livre-le-plus-cher-jamais-vendu-aux-encheres_3520808_3222.html

***

Pour bien moins cher, il y a des pépites à trouver au supersalon du livre et de la presse pour la jeunesse qui a lieu actuellement et jusqu'au 2 décembre 2013 :

http://www.salon-livre-presse-jeunesse.net/

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  • 2 weeks plus tard...

Problème avec un livre électronique :

Jean-Marc Manach a acheté un ebook développé pour être lu sous Windows, Mac ou Linux. Mais l'éditeur du livre numérique a rajouté un système de «protection contre la copie», qui interdit d'une part de lire le livre sous Linux (logiciel libre, donc), d'autre part de le lire sous Windows ou Mac s'il n'y a pas de lecteur CD-Rom sur la machine. Ce qui est le cas de nombreux netbooks –ces petits ordinateurs très peu chers–, des MacBook Air d'Apple et des tablettes numériques... notamment faites pour lire des ebooks!

« J'ai donc acheté un livre que je n'ai ni le droit ni la possibilité de lire : le seul moyen de pouvoir le lire, ce serait de le "pirater", et donc de violer la loi qui interdit de contourner les DRM. Un comble: ce livre m'appartient, je l'ai acheté; mais je n'ai pas le droit de le lire, sauf à devenir un "hors-la-loi"...»

http://www.slate.fr/lien/57573/pas-possible-lire-ebook-legalement-drm

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A qui profite l'e-book ?

Ni au libraire, ni au lecteur, ni à la planète

les auteurs toucheront des droits très inférieurs sur ces ouvrages. Bien sûr jamais le ebook n'amènera quiconque à la lecture. (Argument étrange qui nous avait déjà été servi pour les journaux gratuits: les gens consommeraient-ils plus de littérature parce qu'elle leur est proposée sous un format différent, et à un prix légèrement moindre?) Admettons... L'éditeur s'adaptera. L'auteur ne gagnera pas de nouveaux lecteurs et verra ses droits diminuer sur les ventes de ebooks. Alors, à qui profite le livre électronique ?

Au libraire ? Malheureusement cet acteur majeur et indispensable du livre s'apparente au futur dindon de la farce. Peut-être les libraires vendront-ils du livre électronique sur leurs sites... Peut-être, mais il est fort à parier que ceux qui se partageront ce gâteau de la vente de livre sur Internet sont ceux-là mêmes (comme c'est étrange) qui tentent en ce moment d'imposer leurs « bouquineurs »... Google numérise à tout-va avec un mépris ahurissant du droit d'auteurs ; Amazon, plus gros vendeur de livres sur Internet, tente d'imposer son Kindle.

Le livre électronique est-il moins néfaste pour la planète que le livre papier ? Concernant l'impact écologique, je cite un article paru sur le site du SNE (Syndicat National de l'Édition) : un « bilan écologique comparé du livre numérique et du livre papier est nettement en faveur du second. En effet, selon une étude commandée par Hachette Livre à la société Carbone 4, une tablette de lecture numérique (« liseuse ») dégage 250 fois plus de CO2 par an qu'un livre papier et il faut lire au moins 80 livres numériques par an pendant trois ans avec la même liseuse (à supposer qu'on la conserve trois ans) pour l'amortir écologiquement... »

Source et suite de l'article : http://www.slate.fr/story/12669/qui-profite-le-book

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selon une étude commandée par Hachette Livre à la société Carbone 4,

La société CARBONE 4 : http://www.carbone4.com/fr/mentions-l%C3%A9gales-0]http://www.carbone4.com/fr/mentions-l%C3%A9gales-0] http://www.carbone4.com/fr/mentions-l%C3%A9gales-0

***************

Autre lien (voir en fin de message) nous explique ceci :

Le problème est que l’on n’aboutit pas du tout au même résultat chez Cleantech, un groupe international plutôt réputé depuis huit ans pour ses évaluations carbone. Contrairement au cabinet Carbone 4 qui a interpolé des données secondaires (Ademe) venant de l’informatique, Cleantech a décortiqué le cycle de vie d’un vrai reader (le Kindle d’Amazon) et abouti au chiffre de 168,5 kg CO2 (presque 30% de moins). Ce qui ne représente plus selon le groupe que 22,5 livres, car Cleantech observe un bilan moyen du livre papier de 7,5 kg CO2, bien au-delà des 1 kg CO2 obtenus par Carbone 4 pour Hachette.

Pierre-Alexandre Xavier sur AgoraVox suggère une autre piste pour comprendre cet écart : Carbone 4 se serait fondé sur une estimation en base annuelle et non sur le cycle de vie complet d’un livre, qui inclut par exemple son stockage pendant une certaine durée, ses réassortiments à chaque demande, ses réimpressions en format identique. Mais comme la logistique ne semble pas la principale en cause dans les écarts observés, tout cela reste bien mystérieux. Le reporting carbone des entreprises est de toute façon loin d’être une science exacte…

Par ailleurs, ce bilan controversé n’intègre pas les multiples usages des liseuses, notamment la lecture de la presse quotidienne et magazine (ou, pour l’iPad, la consomation audio et video), usages qui réalisent d'autres économies sur d'autres biens physiques.

Que ce soit en équivalent de 22,5 ou de 80 livres, avec un premier chiffre qui semble plus crédible compte tenu d'autres travaux, la liseuse est climatiquement correcte pour mon usage personnel puisque, comme la plupart des grands lecteurs faisant partie des premiers acheteurs de readers, je consomme une quantité annuelle (a fortiori tri-annuelle) largement supérieure à 80 livres, sans compter les innombrables articles et rapports en [pdf]. Le livre numérique a donc un bilan carbone plutôt avantageux pour le principal segment de population concernée par son achat actuel. Et plus les tablettes se répandront avec un usage multimédia, plus leur bilan sera favorable par remplacement des biens physiques correspondant.

Et puis ceci :

Addendum (8 avril 2010) : Marie Trauman, secrétaire général du Comité développement durable, Hachette Livre, a eu la gentillesse de fournir des explications dans les commentaires de ce billet. Je vous invite à la lire. Donc, concernant le différentiel entre les estimations France (Carbone 4) et Etats-Unis, les causes sont les suivantes : "nous nous sommes efforcés, de comprendre l’origine de ce différentiel, en organisant une réunion entre ces deux cabinets. Il est apparu qu’outre la question des distances (comme vous le soulignez très justement, ces dernières étant plus grandes aux US, les coûts écologiques liés au transport y sont plus importants), les périmètres pris en compte n’étaient pas strictement identiques : ainsi, aux US, le bilan carbone de l’édition inclut les émissions de GES liées à l’activité de distribution (retail), ce qui n’est pas le cas en France. Surtout, la méthodologie française prenait moins en compte la déperdition en capacité d’absorption du CO2 liée à l’exploitation forestière, ce qui expliquait le fort différentiel avec les résultats américains."

Article complet à lire ici : http://moniphonematuer.blogspot.fr/2010/04/bilan-carbone-du-livre-numerique.html

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Ce qui est inquiétant c'est le bilan carbone engendré par ces différentes recherches. Que devient-il si en finale le livre est brûlé ?

Le bilan carbone est-il moins important pour un livre envoyé via la Poste qu'un PDF envoyé via Internet ?

J'ai de plus en plus le sentiment que l'écologie c'est du n'importe quoi. Mais ce n'est pas perdu pour tout le monde.

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Je crois aussi que ces bilans carbone sont des casse-têtes : je ne vois pas comment on peut calculer un tel bilan en prenant en compte chaque paramètre. La plupart de tous ces chiffres sont fatalement faux.

Et puis s'il ne faut plus s'occuper QUE du bilan carbone quand on achète qqchose, on n'achète plus rien, on ne voyage plus , on ne produit plus rien, etc...

Je ne comprends même pas que les écolo aient encore chez eux un ordi bouffeur d'énergie.

Quand je pense à toute l'énergie dépensée par le seul Nicolas Hulot avec ses avions et ses hélicos, et qui maintenant nous donne des leçons sur le bilan carbone de chacun, ça me fait parfois hurlé de rire, parfois frémir.

Le bilan CO2 c'est devenu un business basé sur la supposée toute puissance de l'Homme qui dorénavant va jusqu'à contrôler le climat.

Bientôt on nous fera payer notre propre bilan carbone lié à notre respiration.

Et pour en revenir au sujet, je pense que la liseuse n'est pas là pour supprimer le papier, et que la tablette n'est pas faite pour lire des livres. D'ailleurs qui lit vraiment des livres sur tablette ? Les vrais lecteurs ayant opté pour un appareil électronique, utilise la liseuse et non la tablette.

Modifié par Melvin

Melvin

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