Aller au contenu

[Technique] Lockpicking


Recommended Posts

Publié le
Woody, ce n'est pas parceque magic boutique en vend que Magic Boutique a le droit....

En fait, je m'appuyais sur deux autres exemples, deux boutiques "d'accessoires de sécurité" situés sur les Champs-Elysées -je n'ai plus les adresses exactes en tête mais l'une d'elles est sise Galeries du Claridge - qui vendent aussi tout ce matériel et bien plus encore. Cela m'étonne quand même que, finalement, ils soient si nombreux à être dans l'illégalité en proposant ce type d'accesoires à la vente.

Par ailleurs, ce qui serait intéressant c'est d'avoir le point de vue de Magic Boutique et de Malko Dantes (si ce n'est pas un nom d'artiste, ça :D !), sur le sujet.

Amicalement

:cool:

Woody

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 44
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

on a tout a fait le droitr de vendre ce type d accessoires comme ils on le droit de venfre des plaques de plices, ou de multiples objet ds l genre ; le truc c'est ils on le droits de les vendre ,on a l droit de les acheter , mais on a po l droit de s en servir !!!!

Publié le

C'est désagréable de lire du langage sms :(

Woody : je connais la boutique dont tu parles ave des champs-elysées, il y a du matériel de lock picking? Elle est bien fournie la boutique?

Je suis capable du meilleur comme du pire, mais dans le pire, c'est moi le meilleur !

(Coluche)

Publié le

En fait, il y a deux boutiques, dans deux galeries différentes, celles dont je pense qu'elle est la mieux fournie est dans la galerie abritant le Planet Hollywood. Lorsque j'y suis passé l'année dernière, j'y ai vu tout ce qui peut se faire en matière de sécurité, de la paire de menottes basique à celle utilisée aujourd'hui par la police nationale, en passant par nombre d'outils de serrurier etc. En outre, le vendeur était assez sympa.

Pour ceux que tout cela intéresse, je pense que c'est une bonne adresse. Ceci dit, c'est hors de prix.

Amicalement

:cool:

Woody

  • 1 année plus tard...
Publié le

Je suis tombé sur ce sujet par hasard...Légalement le lockpicking est soumis au même type de législation que les armes...On a le droit d'acheter des paralyseurs, des lacrymogènes, des fumigènes, bref pleins de trucs en armurerie sous réserve d'avoir 18 ans, mais on a pas le droit de les porter sur soi ou de les utiliser sur quelqu'un...(le but dissuasif alors ? ). La dernière fois je me suis fait contrôlé et j'avais ma pochette de lock tools sur moi, et quand ils m'ont demandé pourquoi j'avais ça sur moi, je leur ai répondu que j'étais magicien et que je faisais un numéro d'escapologie ( ce qui est faux, pour le numéro d'escapologie ). Ils m'ont demandé de prouver ma bonne foi ( en fait ils voulaient un tour de magie les bougres...mais ils ne me l'ont pas dit comme ça... lol ), j'ai fait disparaitre une pièce, et ils m'ont souhaité la bonne journée.

Sur magie.com, sur la page de lockpicking, c'est précisé en dessous : "outils réservés au spectacle, nous déclinons toute responsabilité d'autre usage" ou quelque chose comme ça...

Pour l'intérêt avec la magie : cela développe énormément la dextérité et le touché, cela développe les représentations mentales ( utile pour la créativité ), et surtout, ça permet d'être bien quand on a oublié ses clefs ou que la porte de l'appartement a claqué...( Sauf quand on a une serrure de niveau 4 ...aaaaaarrrrrgh ! )

La vitesse de la lumière étant supérieure à la vitesse du son, bien des gens paraissent brillants jusqu'au moment où ils ouvrent la bouche.

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8336
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Jalal ROGUI
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.5k
    • Total des messages
      681.2k

×
×
  • Créer...