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A lépoque du procès, on me contactait en privé et je répondais poliment en expliquant ma position. Lors du procès en appel, jai ainsi trouvé lune de mes réponses dans les pièces à charge. Bien sûr, le destinataire avait été biffé afin de ne point être identifié. Jétais étonné car je pensais que les courriels privés ne pouvaient pas être retenus dans un jugement. De surcroît le texte était anodin et sans rapport avec la radiation de Duvivier sauf que jy critiquais les francs-maçons. Comme jai un code dhonneur qui minterdit de mettre en copie ou publier des réponses strictement privées et je nai eu donc aucun mal à identifier lorigine de lindélicatesse car javais fait confiance à mon destinataire. Il sagissait du mari de Carla !

Bonjour,

Je suis le mari de Carla et intervient pour la première fois sur ce forum.

Dans la mesure où vous me mettez directement en cause, oubliez quelques instants votre code d'honneur et publiez l'objet de mon "indélicatesse", mot que je ne veux laisser passer.

Jean Claude Haslé (Al Carthy)

Modifié par Carla

Carla

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Je suis d'accord avec lancelot.Moi,je suis dans un club,a 60 euros; pour toute l'année et pour 3h de cours chaque mercredi! On est 15 pour 2 professeurs.On se marre,on s'aide,tous passionner de magie on peut en discuter tous ensemble,on a animer la transat jacques vabre tous ensemble,on apprend beaucoup de chose,que demander de plus! Pourquoi prendre des risques car tout ce qu'on lit fait peur! Tu seras toujours plus en sécurité a plusieurs que seul avec un professeur! Fait lire ce sujet a tes parents alexandre,comme je l'ai fait,pour notre sécurité,c'est bien qu'ils soit informé sur les risques qu'on pourrait encourir!

Modifié par magicrico
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Bonjour CRISTIAN,

Merci de me relire concernant l'article de France Soir.

J'ai dit et répète que pour un dirigeant de "secte" depuis des décenies, cela doit être un bien piètre "gourou" pour avoir su convaincre si peu de "membres".

Concernant les rumeurs:

je persiste et signe, certaines, que je ne veux citer ici, mais que vous connaissez sans aucun doute, étaient indignes.

Que les uns et les autres peuvent sûrement avoir de bonnes raisons de ne pas aimer Duvivier, je le sais et le comprends parfaitement,

mais ce type de rumeurs là...

Carla, pour qui "la messe est dite" sur ce sujet

Modifié par Carla

Carla

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Bonjour LANCELOT,

Je ne crois pas que nous nous connaissons, mais je connais (aussi bien que cela est possible) OTTO depuis un moment déjà.

Votre analyse sur qui il est est remarquablement écrit, même si je trouve le mot "génie" un peu excessif (pardon Otto) comme le mot "barge" aussi excessif (pardon Otto)

Je ne supporte PAS, pour une fois je vais être "violente" :) que certains portent un jugement sur quelqu'un que nous aimons et ce pour plusieurs raisons, dont 2, toutes personnelles;

(même lui doit se demander lesquelles).

Carla

Modifié par Carla

Carla

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Otto a un prosaïsme fulgurant, alors qu'il passe son temps à se détruire les neurones à grands coup de substances bizarres et à montrer son cu l...

Je passe egalement mon temps à assurer plus que 300 spectacles par an, à elever un enfant, à écrire un livre et à defendre une entreprise ouvert au grand public, qui - après un demarrage difficile - triomphe dépuis 22 ans : Le "double fond" !

otto

Allez, ne serait ce que pour ça, je t'embrasse!

Carla

Modifié par Carla

Carla

Publié le
Otto a un prosaïsme fulgurant, alors qu'il passe son temps à se détruire les neurones à grands coup de substances bizarres et à montrer son cu l...

Quelle élégance...

Vous êtes vraiment un gentleman et qui fait honneur à la magie.

Carla

Carla

Publié le

Le CFI et la FFAP, clubs centenaires, ont de nombreux points en commun dans leurs statuts. Notamment l’obligation de pouvoir montrer un casier judiciaire vierge et de pratiquer la magie avec honnêteté.

Que dois faire la FFAP dont je suis membre depuis des decennies ? Le 5 octobre 1996 J'ai été condamné par la 16e chambre correctionnelle et j'ai payé ma dette envers la société. Mais j'ai perdu les papiers. Quelqu'un peut il faire une recherche ? C'était le 5 octobre 1996. Mon avocat, - comme celui de Beatrice Dalle qui était jugé le même jour - avait demandé une "non inscription au casier judiciaire" pour ne pas mettre en cause mes futurs permis de travail pour Las Vegas et, bien sûr, ma carrière au sein de la FFAP. Dois je rendre ma carte de la FFAP ou non ?

otto

www.ottowessely.fr

Publié le

L’illégal, qui n’a aucune aucune existence légale, est simplement soumise aux lois françaises. Pour ma part, en tant que parent, je trouverais étrange qu’un mineur aille fréquenter un bar de nuit où l’on peut boire..

J'ai 65 ans ! Je ne suis pas mineur !!

www.ottowessely.fr

Publié le
pour finalement se résoudre parfois à racheter le numéro de l’un deux pour « faire l’artiste » à défaut d’en être un.

Je connais un seul exemple de "rachat de numero" : OMAR PACHA. Cela s'est passé en 1976, et la transaction n'a pas eu lieu au IMC pour la simple raison que le IMC n'existe que depuis l'an 2000.

otto

www.ottowessely.fr

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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