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J'ai toujours aimé ce type de reportage, pour la simple et bonne raison qua dans la plupart des cas, l'argumentation vise ce qui est le plus important pour l'humanité. Autrement ce serait du genre : " Il y a plus de forêts, mais on gagne plein de fric ! " Et on nous montrerai la fortune et seulement la fortune des gens qui vivent de ça, pour faire croire que c'est super bien...

Pour ce qui est de ta phrase "Passer du beaucoup avoir au bien être" je trouve qu'il y a effectivement un lien avec ce reportage.

Merci pour cette vidéos :)

"la culture, c'est comme les parachutes... Quand on en a pas, on s'écrase"

Desproges

Invité lancelot
Publié le

Vu l'heure de ton message : à 11 heure, Benoit ? :)

Publié le
J'ai toujours aimé ce type de reportage, pour la simple et bonne raison que dans la plupart des cas, l'argumentation vise ce qui est le plus important pour l'humanité. Autrement ce serait du genre : " Il n'y a plus de forêts, mais on gagne plein de fric ! " Et on nous montrerait la fortune et seulement la fortune des gens qui vivent de ça, pour faire croire que c'est super bien...

Merci pour cette vidéo :)

Tu as tout compris !

Pour ce qui est de ta phrase "Passer du beaucoup avoir au bien être" je trouve qu'il y a effectivement un lien avec ce reportage.

Ben oui, forcément, c'est une citation tirée de ce reportage. ;)

J’apprécie particulièrement les réflexions finales du document, celles qui sont positives et ouvrent sur des perspectives constructives avec de beaux défis à résoudre. Œuvrer pour interagir avec quelque chose de plus grand que nous (non pas les dieux mais la Terre, le Cosmos) avec respect et humilité, pour une meilleure qualité de vie des hommes, des autres, sans TOUJOURS ne songer qu’à sa pomme…

Cette vidéo concentre beaucoup de choses (sentiments, réflexions) que je vis intérieurement depuis que je suis enfant. Elle souligne le respect de la nature (oui, je ne voudrais pas vivre sur une planète uniquement peuplée de rats, de scorpions et de bactéries ; sauvons la diversité animale, l’un de nos plus grands trésors, pas vrai Iris ?), repensons les maisons, les villes, les industries, pour les faire plus humaines et en équilibre avec le milieu, arrêtons de déverser dans des proportions FOLLES des produits toxiques dans les eaux (qui nous reviennent forcément un jour dans la nourriture par le biais de la chaîne alimentaire), arrêtons d’engorger l’air que respirent nos enfants, nos amis, les être aimés et même les inconnus lointains, avec des gaz qui les rendent malades, à défaut de les tuer.

Il y a vraiment une place pour une créativité débordante et active afin de trouver des solutions à tous nos problèmes environnementaux. Que c’est stimulant !

C.G.

Publié le (modifié)

D'un autre côté, peut t-on se passer de la technologie ? Peut t-on se passer de toute cette consomation ? Pour beaucoup la réponse sera non. Et je comprend. Nous sommes pour notre génération nait dedans, comme le dit ce reportage 3 heures de TV par jour et 10 plantes de leur région ... Ils sont donc endoctriné si puis-je dire. (Un peu comme dans " Le meilleur des mondes ,avec l'hypnopédie et les autres technique. )

Et si ce que dit cette vidéos est vraie, seul un milliard d'humain pourrait vivre sans tout ceci ? On ne peut pas faire demi tour, c'est impossible.

Il faut donc préparer l'avenir.

Mais il faut savoir que malgrés ce qui peut se dire, les médias modifient beaucoup trop:

Je prend pour exemple les panneaux solaires. Si vous regardez la télé on va vous dire que c'est super, que ça vous rembourse votre électricité etc.

Ce qui est moins dit c'est ce que devient le panneau après utilisation. Oui pour transformer les rayons en énergie on utilise une substance chimique (J'ai oublié le nom, peut être le litium ,mais je ne suis pas sur :blush: ) qui pollue pas mal ! ( EDIT: Aprés que le panneau soit arrivé en "date de péremption". Un panneau solaire ne peut pas servir à l'infini. )

Au final la substance pollueras plus que le panneau n'aura produit en énergie. Il y a donc une perte. Mais a ce qu'on dit ça fait bonne conscience ...

Mais il y a peut-être du positif :

J'avais entendu parler d'un gaz qui pourrait remplacer le pétrole et qui se transforme en eau à la sortie du pot d'échappement. (L'hydrogène si mes souvenirs sont bons.)

Mais se gaz est très difficile à stocker. (Une histoire de concentration. )

Et comme pour le moment il est "mal" stocker il est par conséquent explosif ! Donc trop dangereux ...

Des chercheurs cherchent (D'où le nom mdr) comment le stocker. Une fois cette équation résolue le pétrole ne devrait plus servir à rien. Sauf peut-être pour satisfaire l'orgueils des Américains.

Mais il y a beaucoup d'autres problème à régler. Les maladies, la faim dans le monde, l'eau dans le monde, la consommation dans le monde qui tournent autour de ce reportage.

Alors, la véritable question est : comment tout résoudre le plus vite possible ? Sans polluer, sans faire du mal à la nature ? Etc. Et la on arrive dans le domaine du quasi impossible. (pour le moment !)

Ps: Pas trop de fautes ? :blush:

EDIT: De fait, même si toute le surface de la Terre était recouverte de panneau solaire. L'énergie produite ne serais pas suffisante pour demande totale du monde. De même pour les éoliennes ainsi que le blé !

Modifié par Dreanxa

"la culture, c'est comme les parachutes... Quand on en a pas, on s'écrase"

Desproges

Publié le (modifié)

Très bien .j'ai vu le film

on a le droit de parler d'écologie et de géopolitique sur VM ?

Vous voulez qu'on en parle sérieusement ?

Vous vous y connaissez un peu ?

Imaginons que vous répondiez oui.

La première partie du film, est très intéressante, elle a précisé des choses que je connaissais déjà.

Malheureusement je suis certain que les personnes non impliquée dans l'écologie n’écouteront pas cette partie jusqu'au bout car elle est génératrice de stress : ils coupent .

La partie sur le lobby du pétrole est très intéressante car peu de gens comprennent le fonctionnement des pressions que subissent les décideurs . plus de renseignements

Il parle aussi de la biomasse comme d’une solution, alors que la biomasse entraine l’utilisation d’engrais et la faim dans certains pays .

La partie des solutions, c'est le rêve américain :

J’ai personnellement construit une maison en bois, écologique à basse consommation d'énergie (40 kW/m²/an) bientôt indépendante en eau (que vous pouvez venir visiter si vous voulez vous lancer dans un projet de se genre), l'investissement est de 50 à 80 % supérieur à une maison premier prix de la même surface.

Bien sur à long terme ce sera rentable, et le confort est inégalable,

Tous ça pur vous dire que ça coute très cher en investissement ! mais qui peut se permettre le cout de ces nouvelles technologies ?

Les USA ? Oui

L’Afrique ? Non

Depuis des décennies les états unis pensent que la technologie permettra d'enrayer le phénomène.

C’est vrai pour quelques privilégiés, pour les autres c'est un leurre.

Le Bangladesh disparaitra simplement de la carte. la preuve

La vraie solution est déjà en route : c'est le retour de la population humaine à son niveau initiale.

Les problèmes d'eau et de famine entraineront des guerres à moyen termes ! et oui !

Les catastrophes climatiques, le sida et les grippes opportunistes accélèreront le mouvement.

Mais moi je suis très optimiste , je pense que l'humanité survivra et que les survivants, dans plusieurs centaines d'années auront compris la leçon.

Cela ne va pas m’empêcher de faire suivre le lien vers cette vidéo , qui a le mérite d’exister et de très bien synthétiser le problème .

Modifié par Thomas THIÉBAUT
Publié le (modifié)

Je suis de ton avis Benoit !

En fait ce reportage est certes bien (Même très bien. ) construit, mais peu de monde ne peut se permettre de faire tout ce qu'ils proposent.

Ils se moquent bien de nous : Panneau solaire qui polluent, biomasse qui polut, etc.

D'ailleurs ils parlent de la fonte des glaces. Mais ne parlent pas du trou dans la couche d'ozone.

Pourtant, ce dernier, pour certain, est aussi la cause d'une augmentation de la température. Dont ils parlent aussi dans la vidéos. ( Bon ok le trou est la cause de la pollution, mais pas sur qu'il n'y est que ça ... )

Au premier abord la vidéos parait donc bien défendre sa cause. Mais après réflexion et recherches on se rend compte que les solutions proposées sont inadaptées ... Et que ce sont bien des Américain qui ont cherchés les solutions !

Modifié par Dreanxa

"la culture, c'est comme les parachutes... Quand on en a pas, on s'écrase"

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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