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Bonjour !

Notre ami Bebel connait quelques soucis :

Le Parisien de ce matin révèle

que "le magicien a été délogé par d'anciens SDF" !

Voici les grandes lignes de l'article :

(...) A l'angle de la rue de Buci et du Bd ST Germain,

Bebel n'est plus le bienvenu. La magicien a reçu le 18 août

une contravention assortie d'une convocation judiciaire.

Motif : exercice illégal d'une activité artistique !

(...) Ni les commerçants voisins, ni les piétons excédés, ni la police

ne sont à l'origine de ses soucis,

mais les nouveaux locataires de l'ancienne résidence des élèves de l'ENA,

confiée cet hiver à Emmaus pour y reloger les sans abris.

Ces nouveaux résidents ne supportent pas le bruit

provoqués par les attroupements qui se forment autour de Bebel.

(...) "Nous l'avons prévenu plusieurs fois, explique le responsable de la résidence Emmaus

qui a déposé une main courante contre Bebel au mois d'août.

De nombreux résidents, déclare-t-il, ne peuvent pas dormir

à cause des applaudissements qui durent jusqu'à 2 à 3 h du matin.

Un soir, excédée, l'une des locataires est même descendue

dans la rue : le ton est monté, la police est arrivée,

et c'est ma locataire qui s'est faite embarquer !

J'ai donc déposé une main courante pour protéger les résidants,

et éviter que de tels incidents ne se répétent (...)

(...) "Personne n'est jamais venu me voir, proteste Bebel,

qui est le dernier artiste de rue de ce quartier.

Et je ne pars jamais après 1H30 du matin. Je suis prêt à les rencontrer et à discuter.

Je ne fais rien de mal : à part les applaudissements, je ne fais pas de bruit.

Personne n'est obligé de me ragarder et de me donner de l'argent."

(...) "Cette histoire est vraiment absurde, soupire Youssef,

qui habite au 150 Bd St Germain depuis six ans,

et qui est un fidèle admirateur de Bebel.

De mes fenêtres, j'entends davantage le bruit des voitures que les applaudissements (...)

Bebel est une figure de ce quartier, il fait vivre nos rues où il créé du lien avec les habitants (...)

(...) Fort du soutien de riverains, Bebel compte bien se défendre.

S'il évite depuis le 18 août de ressortir sa table et ses cartes

pour ne pas "aggraver" son cas, il a contacté un avocat (...)

Petitbonhomme, qui souhaitait vous alerter des ennuis de notre ami...

PS : désolé pour la mise en page en bloc, et la lisibilité,

une fonction doit m'échapper !

Modifié par petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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Membres les + Actifs

Publié le

apres avoir campé sur les rives du canal St martin et avoir pour la plupart d'entre eux "r" les riverains, maintenant qu'ils sont dans les quartiers chics ils ne supportent plus le bruit? Laissez moi rire......

D'ailleurs je ne comprends pas trop ca en gle ils sont à faire la manche partout dans le quartier de St germain... donc ils rentrent tard aussi....

Tivoli logo.pngMC - Fantaisiste 

from here and here

www.arthurtivoli.fr

 

Publié le (modifié)

Apprenons à vivre ensemble... j'habite à 2 pas du canal St Martin, joli quartier denaturé par du camping sauvage, mais il faut bien.... j'ai aussi habité à St Germain à 2 pas de là ou travaille Bebel.... S'il y a du bruit dans ce quartier il est plutôt dû aux coups de klaxon, de petarades, et de circulation de voitures....

Bravo à Emmaüs qui va mettre dehors un mec qui y bossait déjà

Modifié par Tivoli

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www.arthurtivoli.fr

 

Publié le

C'est vraiment pas possible !

Bebel est un des plus grand close up man, j'adore son travail et son humilité, c'est un vrai artiste.

Ne pouvons nous pas faire quelque chose ?

Magicalement

Carl Valentin.

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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