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Voici une piste intéressante :

Vous faites une expérience de communication avec l'au-delà.

Imaginez que vous fassiez choisir un objet, une carte ou un mot dans un livre "totalement librement".

Pour trouver ce qui a été choisi, vous demander à un spectateur d'écrire le nom d'un personnage connu, mort sur un petit papier alors que vous avez le dos tourné. On va dire que c'est monsieur X, célèbre espion venu du froid. Le papier est plié par le spectateur, vous le déchirer pour le brûler.

Vous rentrer en contact avec l'au-delà... ça pique un peu mais c'est supportable. Le personnage choisi par le spectateur vous donne des instructions : prendre les cendres et les frotter sur votre bras. Vous le faîtes et la sélection du premier spectateur apparaît. Youpi.

Là dessus, vous dîtes : "Merci monsieur X".

Voilà une idée rigolotte qui combine deux effets "que-ceux-qui-connaissent-reconnaitront" et qui justifie les bidouilles illogiques des deux techniques.

A+

Phil Day

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

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Publié le

A quelle occasion peut on mettre des cendres sur son bras....?

* Raconter comment traiter une allergie, appliquer de la cendre est un remede de grand mere (une silhouette de hat apparait si vous êtes allergique au chat et la dame a justement parlé de son piti chat auparavant ou mis son nom sur un papier qui a été brulé) ..petite histoire et quand on frotte..hop ce que vous voulez...

OU au contraire: "attention il ne faut pas frotter parce que sinon BAM..."

OU encore mieux: "elle me disait de ne pas frotter mais je ne vois pas ce que ca aurait fait", vous frottez et là...

* Raconter que c'est un moyen de penser des plaies...

Je vous donne enfin ma version, très personnelle, présentée dans un contexte particulier, conte Chelmanien..

Un ancien mineur qui avait échappé à la Guerre mais dont le frère jumeau avait été victime: il avait perdu son unique frere a cause de ce carnage, SON double.

Plusieurs années plus tard, il travaillait à la mine et chose curieuse, il portait toujours un foulard noué à son bras gauche alors qu'il n'était pas blessé...Tout le monde lui demandait pourquoi, il répondait que c'était celui de son Frère et qu'il l'aidait au quotidien...effectivement c'était celui de son frère..mais ce carré de tissu cachait un bras qui, le mineur s'en était apercu le premier jour en remontant de la fosse, affichait, à cause de la poussière qui s'y déposait, un numéro macabre que l'on avait tatoué sur le bras de son frère, au meme endroit, quelques semaines avany qu'il ne disparaisse....

Ca ne servira pas en pratique mais je le partage avec vous..

Publié le

Je me souviens que Fukaï, lors d'une tournée de conférence en France (c'était au début des années 90...) utilisait et commercialisait une version remarquable de ce tour, car c'était sur le bras du spectateur que la cendre révélait le nom de la carte choisie... un miracle !

Ernest.

J'aime ceux qui cherchent, je me méfie de ceux qui trouvent... (François Mitterrand)

Publié le

Une autre idée me viens à l'esprit. Vous faites couper un jeu de cartes et la personne prend les deux première cartes du dessus. Elle additionne ensuite les deux cartes exemples un deux de trèfle plus un neuf de carreau donneront 11 mais n'oubliez pas que le valet vaut 11, la dame 12 et le roi 13. Tout cela se fait à l'abri de votre regard. Vous lui donner ensuite un bottin téléphonique et vous lui demandez de l'ouvrir à la page du total de ses cartes et de regarder le premier nom de la page. Vous lui révéler le nom, l'adresse et pour ce qui est du numéro de téléphone, vous le révéler sur votre bras. Remarquer que vous pouvez faire la même chose avec un mot en prenant un livre ordinaire. Dites le moi si mes explications ne sont pas assez clair. J'exécutais cette routine en numéros de mentaliste, mais sans la cendre.

Visitez moi : www.riendanslesmanches.com

Publié le

Non pas que je trouve cette idée "téléphonée" 'Arrrrggh mort de rire :-) ) mais je me demande si ca ne fait pas trop de choses pour juste révéler un nom et un numéro non...?

Si tu les "trouves" c'est de la lecture de pensée..mais si ca apparait sur ton bras...tu le justifies comment Erick..?

J'aurais peur que les spectateur sentent le forcage non....?

Publié le

Vu de cette façon oui c'est vrai mais par contre il ne faut pas oublier que ce numéro est présenté à des gens qui ne force pas de cartes ou de chiffres. Et un bottin téléphonique est un outil utilisé par presque tout les bureaux et résidences du pay, donc un instrument de tout les jours. Il est toujours possible de bruler un morceau de papier avec le numéros d'inscrit dessus et de prétendre que les esprits divins vont nous télécopier le numéros directement de l'au delà. Merd.... je n'ai plus de cartouche d'encre donc utilisons la cendre.

Visitez moi : www.riendanslesmanches.com

Publié le (modifié)

Ce qui me dérangeait (mais je ne prétends nullement avoir la bonne version) c'est de passer par des cartes pour ensuite aller dans un livre...

L'idée de bruler la papier sur lequel sont inscrit les chiffres et d'utiliser les cendres est ok..et ouvre meme la voix à un forcage à sortie multiple...en reprenant le papier, tu vois le numéro choisis et tu en conclues sur quel bras tu vas disposer la cendre...

Pour le papier, pourquoi ne pas prendre ta carte de visite? Tu commences en la prenant, en la donnant, baratin sur numéro de téléphone...bam une idée.

Tu prends le bottin, tu demandes qu'on enfonces la carte dedans pour choisir une page BAM la double page est forcée.

Tu demandes au spectateur de choisir une des deux pages et de noter le premier nom sur la carte avec le numéro..là tu vois quelle page est-ce...et même si ce n'est pas le cas, tu piques l'info après...

Il passe la carte à ses voisins pour qu'ils la voient..plus pratique et discret qu'un bottin. BAM justification de noter le numéro sur une carte! Tu la brules et voilou...

Bon je ne vois toujours pas comment j'introduirais les cendres sur le bras...quoique...:

Tu peux monter une histoire où tu as deviné le nom choisi. L'air perplexe, tu demandes si ce n'est pas Mr M de telle ville.. C'est drole, tu le connais! Tu l'as rencontré au cours d'un ancien gala, vous avez parlé....et avant de vous quitter, vous avez échangé vos numéros. N'ayant pas de papier, la personne te l'a écrit sur le bras mais depuis tu t'es lavé...impossible de le ravoir, il faut utiliser la Magie.

A moins qu' avec de la cendre...oui c'est un vieux truc de grand mere, on peut voir ce qui était inscrit meme après plusieurs jours....

cool (je suis sur que ce sera drédible pour beaucoup..)

Oh je m'aime...lol

Modifié par Monsieur M

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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