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Publié le

J'ai toujours éprouvé des difficultés d'ordre psychologique avec la LD. Malgré la simplicité de cette technique de base je l'a considère comme une des plus difficiles. En effet je pense qu'en la faisant pas mal de magiciens (dont moi) émettent des messages "subliminaux" qui peuvent trahir le fait qu'une maipulation est en train d'être exécutée. C'est sans doute du à une crainte d'un dédoublement de la LD ou autre "flashage" de la manip.

C'est la raison pour laquelle j'ai décidé de me pencher sur cette technique plus minutieusement qu'avant. Ma première réflexion porte sur le break. Je parle de la prise de break classique en poussant très légèrement 2 cartes vers la droite.

Je me suis dis qu'en close-up, ce mouvement pouvait être découvert. Il est évident qu'un simple détournement de l'attention fait l'affaire. Mais lorsqu'il s'agit d'une manipulation aussi basique et *fréquente* qui apparaît souvent plusieurs fois dans une même routine est-il possible de trouver à chaque fois un détournement de l'attention adéquat sur le plan technique et logique ? Et dans la négative que faire ?

Alors j'aimerais savoir ce que vous faites. Prenez vous le risque de flacher la manipulation ? faites vous un point de comédie ? Avez vous un détournement de l'attention fétiche ?

Amicalement, Karl

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Membres les + Actifs

Publié le

Prise de break au pouce droit (main biddle) au feeling d'un seul coup et retournement.

Il est évident que si tu fais un tour avec plein de levée double et triple, pensons aux petits paquets, il te faudra pouvoir prendre le break vite, donc entrainement.

petit paquet : break au pouce (ce que je fais)

ou boucle qd tu as vraiment peu de cartes.

Pour les tours où tu as besoin que d'une seule ou 2 ld en bavassant tu auras tt le tps de prendre ton break, personne ira voir.

En passant, dans la levée double, le moment important pour le public, ce n'est pas qd tu retournes, c'est lorsqu'il verra la carte, et parfois s'il y a des flashs, on ne verra pas parce que toi même tu ne verras pas. (je ne sais pas si je suis clair dessus).

Donc en gros, qd tu fais une levée qcq, tu ne regardes attentivement la carte que lorsqu'elle est face en l'air et non pas tt le retournement.

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

Publié le

Dans la cassette de Duvivier Vol 2: Nos Amis les As, il y a un mouvement pour que la prise du break de deux cartes passe " inaperçu " .

En gros :

Tu as ton jeu en donne main gauche , ton bras droit passe devant ton autre bras dans un geste de décontraction ( bien sur il faut justifier le mouvement par une parole ou autre chose mais tu verras ce geste est très simple à Justifier ! ) et là Paf tu prends ton break de deux : infaillible .

Il y avait aussi sur Climagic un article qui parlait de la misdirection ( par Jarle Leirpoll )et le mouvement de la prise d'un break de deux y été abordé .

Voili voilou !!

Trist@n .

[ 08 janvier 2002: Message édité par : trist@n ]

[ 08 janvier 2002: Message édité par : Thomas THIEBAUT ]

Tristan

Publié le

La meilleure méthode à mon sens consiste à consacrer quelques mois à l'apprentissage du Pinky count. Lorsqu'on maitrise cette technique, la prise de break est enfantine et invisible. Plus besoin de misdirection...

Alors au travail grin.gif" border="0grin.gif" border="0

Publié le

Cool pour une fois que le sujet est intéressant. vos réponses m'interpellent.

Là on débine ou pas ? Avec toutes les précisions techniques que vous apportez, ne trouvez vous pas que l'on en dit un peu trop ?

Maintenant en se mettant à la place du demandeur , je serais bien content de vos réponses plutot que d'obtenir les références livresques ou vidéos permettant d'améliorer cette technique.

Pourquoi ne pas rester dans les références en faisant attention de ne pas trop en dire et d'envoyer un mail privé au demandeur avec beaucoup plus de précisions ?

Je ne réponds pas mais je vous donne mon sentiment un peu flou : ce site est ouvert à tous et ne débine t on pas un peu quand même ? Crions après Valentino !!!

Ps: à lire sans ton agressif , je pose juste des questions calmement pour vous faire réagir de manière constructive et non épidermique ( c'est fou comme on est obligé de prendre des gants maintenant non ? vous faites à débiner aurait etait plus dans le ton mais aurait amener trop de réponses du meme ton . alors je ne l'ecris pas !)

Bruno

Publié le

Salut,

Ne soyez pas trop parano !

Je suis informaticien et cotoye pas mal de personnes qui surfent sur internet. Et apres un petit sondage, aucune n'est jamais allé sur un site de magie.

A mon avis si qqun vient sur ce site, c'est qu'il est interessé voir passionné par la magie, et qu'il ne vient pas la pour juste y découvrir des "secrets".

Admettons que ce soit une personne qui s'egare et tombe sur le site VM. Il faut deja qu'elle en fasse le tour, qu'elle aille sur le forum et soit attirée par un sujet du style "LD ! pas si simple" !!!

Si vous avez peur d'avoir débiné dans ce sujet, rassurez vous. J'ai fait la petite experience suivante :

J'ai fait lire le thread à un collègue en lui indiquant que ce sujet concernait la magie. Et bien il a rien compris. Je lui ai précisé que le sujet concernait une technique de carte, et

il m'a répondu "ah bon, et alors ?". Je crois que meme avec un jeu de carte dans les mains il n'aurait pas été bien loin.

Enfin je trouve ce sujet tres interessant, que chacun partage son experience, ses trucs et astuces sur la LD. C'est le but d'un forum que de discuter à "plusieurs".

Perso, je n'ai jamais rencontré de pb pour préparer ma LD. A chaque fois que je vais faire une LD, je fais claquer un pétard pour detourner l'attention ! (non je rigole).

J'utilise principalement la parole, en général les spectateurs sont focalisés sur le tour lui meme, sur la carte retournée et non pas sur la facon dont on l'a retournée (sauf le chiant qui vous regarde faire le tour la tête à l'envers sous le jeu !).

De plus je fais toutes mes levées simples comme des levées doubles.

Voila pour ma petite reflexion. enfin ce que j'en dis....

A+

Publié le

Je suis tout à fait d'accord avec Zorban !

De plus si on envoie par mail nos " astuces " pour la LD à Karl , les autres ne pourront pas en profiter ... Dommage !

De là à débiner en donnant des conseils ... enfin ce n'est que mon avis !

Trist@n

Tristan

Publié le

Il ne faut pas être Parano mais encore moins Naïf !!! (tu prends yahoo et tu inscrits le mot "magie" et tu tombes sur VM !)

Il ne faut pas oublier que certain réponde pour pouvoir se lire et pour montrer qu'il connaisse telle ou telle technique.

Cela étant je suis pour aider mes confrères Magiciens.

Allez a très vite

Magicalement

Carl.

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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