Patricia

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Je déterre le sujet car ayant deux garçons (16 mois et bientôt 4 ans), j'aimerai savoir ce qu'il faut absolument éviter de faire pour les dégouter de la magie. En effet, la plupart des magiciens de mon entourage n'ont pas réussi à intéresser leurs enfants à cette discipline. C'est une passion que j'aimerai partager avec eux. Si vous avez des conseils, je vous lirai avec la plus grande attention. Il est bien entendu que je ne forcerai rien, qu'ils ne sont pas là pour accomplir mes rêves, etc.

ne m'en voulez pas Messieurs, j'aime bien Norman et Cyprien mais je reviens au sujet si vosu el voulez bien. Marcus, dans ta vidéo, tu attires notre attention sur la notion de contrat et que si tout n'est pas écrit et bien cela ne compte pas. Tu déplores cet état d'esprit et je partage. Nous réclamons des protections supplémentaires à cors et à cri, toujours prompts à porter plainte pour un oui ou un non, et en même temps, nous nous plaignons, souvent à juste titre, de la création croissante de lois et décrets supplémentaires. La juridicisation de notre société aboutit à des surcouches juridiques incompréhensible et difficilement applicables. La créativité et l'initiative sont corsetées par la norme juridique. Ne serait-il pas judicieux de sortir du tout contrat pour retrouver du bon sens, du respect, de l'entente. Pour retrouver, selon ton expression, l'esprit du bon père de famille. Expression peu plaisante au demeurant. j'y reviendrai plus tard.

Je ne le connais pas et comme il ne faut jamais raté une occasion de se cultiver et de rire. J'ai hâte d'en savoir plus. En attendant, pour ceux qui n'en ont jamais entendu parlé, j'ai trouvé cela : Klingsor, de son vrai nom Claude Isbecque est né bien avant la Deuxième Guerre mondiale à Bruxelles. Il fit de brillantes études d'ingénieur agronome et s'appliqua à parler plusieurs langues dont le néerlandais, l'allemand, l'anglais et l'espagnol. Il devint très rapidement magicien professionnel et put ainsi, selon les latitudes où il se produisait, s'adapter aux parlers locaux. Voici ce qu'en dit Jean-Pierre hornecker : « 60 ans sous les feux de la rampe ! C'est ce que Klingsor nous raconte dans ce livre qui vient de paraître récemment. 60 ans de magie, de shows, de galas, de croisières, de tournées internationales avec sa femme et partenaire Solange. Les Klingsor se sont produits sur toutes les scènes du monde. Ils ont connu les plus prestigieux établissements d'Europe, d'Afrique du Sud, du Congo, du Japon, Taïwan, Hong-Kong, USA et ont fait d'innombrables croisières sur le paquebot France. Ils ont connu une vie trépidante uniquement rythmée par les représentations publiques et les shows télés. Klingsor et Solange, ce couple mythique a vécu une vie trépidante au milieu des paillettes, des fleurs, des feux de l'actualité. Klingsor a dû, durant des années, tenir un journal sinon d'où sortirait-il ce luxe de détails qui émaillent son ouvrage ? On y trouvera dans le désordre les secrets de fabrication de ses grandes illusions (lévitation, l'apparition de monceaux de fleurs), ses déboires et ses mésaventures dans des contrées lointaines où les rebondissements de situations étaient le lot quotidien ! Klingsor avait aussi racheté tout le matériel des grandes illusions scéniques du légendaire Kalanag. Ce magicien allemand subjuguait des salles entières dans toutes les capitales du monde dans l'immédiat après-guerre. L'auteur nous explique d'ailleurs deux illusions fameuses de Kalanag : la Triple Lévitation et le Bar Magique. L'auteur évoquera aussi toutes les illusions qu'il a inventées et construites avec souvent les secrets de fabrication. Nous saurons aussi tout sur les conférences qu'il donna à travers le monde. Cet homme, pourtant incroyablement occupé, trouva la force de rédiger une dizaine d'ouvrages de magie dont certains connurent des succès retentissants tels par exemple : les Grandes Illusions Américaines (ouvrage avec plans détaillés), les Secrets de la Magie Electronique ou les Secrets de la Mnémotechnie et de la Télépathie. Il est également l'auteur d'une anthologie de tous les systèmes possibles et imaginables de cartes montantes ! Klingsor, sur le tard, nous raconte sa vie d'artiste, ses rencontres avec les grands magiciens de l'époque, ses amitiés ainsi que ses inimitiés. Son récit est magnifiquement illustré de ses exploits et de ses rencontres. Y alternent photos, affiches, dessins, lithos. Son texte raconte 60 ans de vie magique !

Je ne le savais pas ! Merci. Pour la graphie d'au temps pour moi/autant pour moi, le débat fait rage chez les linguistes. Il n'y a pas de vérité consensuelle. C'était juste un clin d'oeil malicieux car je sais que tu aimes travailler le verbe.

Merci pour ce point de vue que je partage pleinement et qui remet l'humain au centre.

Oui et du coup la réponse n'en est que plus riche et intéressante. Merci. Pour ma part, je suis adepte de la graphie : au temps pour moi

Absolument pas. Je faisais un parallèle avec le sujet sur l'individualisme et je cherchais à savoir ce que vous souhaitiez transmettre pour permettre à autrui d'aller plus loin et votre place dans la transmission du savoir, de vos valeurs, etc. (place au sens : émetteur actif, récepteur, créateur, etc.). Marcus est partie sur l'émotion en spectacle, d'autres sur les valeurs de curiosité ou d'esprit critique à transmettre à leurs enfants, certains sur une création magique qu'ils ont légué la communauaté, etc. Quand je fais référence au capital immatériel, je souhaite mettre en lumière que lorsque l'on parle de transmission en magie, on parle beaucoup d'apprentissage de techniques. Or la magie c'est plus que cela, c'est la créativité (BW expliquait lors d'une de ses conf sa technique de brainstoring), les valeurs, une histoire, etc.

j'ai envoyé un sms de soutien à Loïc (que je ne connais pas personnellement). Je lui ai demandé s'il souhaitait que nous continuons à commander pour lui faire une avance de trésorerie. il m'a annoncé qu'il poursuivait jusqu'au 31 juillet puis qu'il passait la main

Pour ma part, j'ai un public donc la notion de transmission des émotions à son égard m'intéresse. Les magiciens en mode "je vais vous en mettre plein la vue, regardez ma technique, regardez comme je suis bon" m'ennuient sur scène (même s'il y a certainement un public pour cela aussi). C'est accorder beaucoup de pouvoir aux artistes. Offrir un spectacle de qualité riche en émotions, offrir une parenthèse enchantée le temps d'un tour, d'une prestation...voilà mes ambitions vis-à-vis du public. Et cela demande déjà un travail colossal.

Pour faire un parallèle avec le sujet "les magiciens sont-ils trop individualistes", je m'interroge sur ce que nous avons chacun à transmettre. Transmettre - Du latin "trans" et "mittere" : envoyer au-delà. L'étymologie est intéressante...elle nous dit que transmettre permet de faire passer à quelqu'un ce que l'on possède. Mais elle contient aussi cette notion de mouvement qui permet, grâce à ce que l'on donne à l'autre, de l'envoyer plus loin, au-delà. Comme si le fait de transmettre quelque chose à autrui lui permettait d'aller plus loin que celui qui lui en a fait le don. Je vous propose de nous interroger sur : 1) Que vais-je transmettre ? Comment distinguer et séparer l'accessoire de l'essentiel. Au-delà du savoir-faire technique et du gimmick, que transmettons-nous ? Une histoire, une identité, une créativité, des valeurs...Ce capital immatériel n'est-il pas parfois (souvent ?) trop peu pris en compte ? 2) Quelle place souhaite-je occuper dans cette transmission ? Au plaisir de vous lire.

Merci de me faire vos proposition par MP avec une photo svp.

"je fais de la magie pas des miracles" "abracadabra" et autres formules magiques" "Je vais vous faire un tour de magie" "le tour suivant est..."

Oui c'est cela !

Oui nous n'avons pas la même définition, ce n'est pas grave et mon approche est minoritaire, je le sais. Accueillir des débutants ne veut pas dire tout leur apporter sur un plateau. Ma description du contenu d'une réunion de club est exigeante, très exigeante. Nous sommes loin du concept "tout cuit dans le bec" dans mon approche. D'où mon idée de pacte d'adhésion, de règles et de sanctions (exclusion) En tant que manager, j'ai la même démarche. Nous avons des points communs, des divergences...en attendant j'adore ta grenouile bilingue ;-)

Ce soir, je suis en forme donc au diable le politiquement correct. Sur ce forum, j'ai sollicité de l'aide pour un projet de : - bénévolat hebdomadaire auprès d'enfants atteints de cancer, - bénévolat mensuel auprès de personnes âgées - bénévolat mensuel auprès d'enfants lourdement handicapés et/ou mourrants Je demandais des conseils, quelles attitudes à adopter, les paroles, gestes, tours à éviter ou au contraire à faire, livres à lire, etc. Bref j'étais ouverte à la moindre once d'aide que vous pouviez m'apporter. Combien ont pris le temps de me répondre ? On les compte sur les doigts d'une main. Ils se reconnaitront. Merci à eux. En revanche, le sujet sur le dernier gimmick à la mode, là il y a du monde pour échanger. Certes ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité Toutefois, cela reflète bien un état d'esprit. L'interrogation de Slipman pique car elle est tape là où cela fait mal.

Je ne l'ai pas mal pris, pas une once. J'ai précisé ma pensée car mon écrit n'était visiblement pas assez précis. Il est vrai que j'ai trouvé surprenant l'interprétation de "cela m'a donné envie de la faire " à "je vais la piquer et me produire avec". Ma réponse avait vocation uniquement à tuer dans l'oeuf une éventuelle polémique auprès des lecteurs. Je ne comprends pas cette volonté de filtre basée sur le niveau et la culture magiques. Cette vision me semble être l'un des freins majeurs au développement, à la connaissance et à la reconnaissance de la magie en France. L'entre-soi n'est pas source d'innovation mais de repli. Où est la notion de transmission, d'apprentissage, de maître à élève, de découverte, d'ouverture...? Lorsque vous intégrez un club de judo, de peinture, vous ne passez pas un concours d'entrée et vous avez encore le droit d'être novice, pour ne pas dire totalement ignorant et être accueilli pour apprendre. L'idée d'accueillir uniquement des membres dont on juge qu'ils feront grandir sa propre magie, sinon ils sont inutiles me semble une approche élitiste qui ne me séduit pas. Et arrêtons d'être parano sur la cohorte présupposée de faux magiciens qui viennent pour piquer des trucs dans un but lucatrif ou non. Ils existent mais ils se repèrent facilement et donc la porte est là... Mais sont-ils aussi nombreux que nous le croyons ? Avec Internet et la multitude de chaînes de débinage, ils ont accès à un peu près tout ce qu'ils veulent. So... Mon point de vue est minoritaire, je le sais. Pour autant je continue à le défendre. Le problème n'est pas d'avoir un filtre à l'entrée, le problème c'est la structure des réunions des clubs. Je caricature mais en gros : je viens au club, je regarde les numéros, j'en fais ou pas (souvent les mêmes d'ailleurs), j'écoute avidement l'explication des tours présentés (je veux savoir le truc) et soit je progresse, soit je n'en fais pas grand chose (position trop souvent majoritaire à mon goût). Mon idéal de club Tout nouvel arrivant serait reçu par le président ou un autre membre 3 fois en dehors du club afin d'apprendre à le connaître en tant que personne : quelle est sa vision de la magie, ses objectifs, etc. Le niveau on s'en fout, c'est l'envie qui prime. Structure de la réunion 1) 2 à 3 ateliers simultanés sur une technique dont 1 spécifiquement dédié aux débutants - Obligation de présenter un travail mettant en oeuvre la technique apprise la fois d'avant (même si c'est encore maladroit, bancal, etc). Bref des personnes prennent de leur temps pour transmettre, à minima on bosse et on le prouve. 2) Présentation par un membre (et on tourne à chaque fois) d'une vidéo, d'un spectacle, d'une info magique qui l'a marqué - Echanges 3) Présentation par un membre (et on tourne à chaque fois) d'un magicien (vivant ou mort) ou de l'histoire d'une technique ou d'un fait historique magie (culture générale) - Echanges 4) Présentation des tours des magiciens présents + retour critiques sur la construction, le rythme, etc. 5) Les débutants s'en vont et là on explique les tours. Et attention, on respecte le magicien qui souhaite nous expliquer tout le tour (comment il l'a construit, comment il a eu l'idée, les problèmes rencontrés). Trop souvent, on veut la technique et le reste on s'en fout et cela peut même nuire à son image de vouloir expliquer autre chose que le simple truc (et j'en ai fait parfois l'amère expérience). 6) Après une période à définir, tous les membres votent pour savoir si les débutants restent. De même, l'adhésion automatique ne devrait pas exister d'une année sur l'autre. Des règles de fonctionnement dans et en dehors du club devraient être écrites et en cas de non respect avoir la possibilité, après un vote de l'ensemble des membres, d'exclure temporairement ou défnitivement un membre (même historique, même un dieu vivant de la technique). 7) Il devrait y avoir des rencontres pluridisciplinaires en club. Invitons un club de théâtre (sans dévoiler les trucs) pour avoir leur avis sur notre position sur scène, notre respiration, notre tonalité, notre prise de parole, etc. Invitons des peintres pour qu'ils nous expliquent leur processus créatif. Invitons des publicitaires qui nous expliqueront comment faire un brainstorming de qualité. Etc. Ouvrons et confrontons nos univers. Structurons nos réunions, soyons exigeants sur les attendus mais de grâce ne filtrons pas les entrées. Respectons davantage autrui et nos diversités. On peut avoir une technique faible mais être ultra-créatif ou avoir un oeil critique pertinent sur le travail d'autrui, etc. Tout cela demande un gros travail organisationnel, d'être exigeant avec ses membres (c'est loin d'être facile), de l'énergie et beaucoup d'efforts. Mais un club, ce n'est pas aller au spectacle et c'est bien trop souvent le cas (de ce que j'en connais et de ce que j'entends par d'autres). Il faut passer un pacte d'adhésion et non d'entrée. Tu viens = tu participes, avec tes moyens, mais tu participes.

Ai-je dit : je vais l'intégrer à un prochain spectacle ou prestation ? Non. J'ai dit "de la faire" - Au pire, ce sera devant ma famille et mes 5 copains magiciens un soir de repas (en précisant les sources comme d'hab). Je vois un truc joli, j'ai envie de tester, de le mettre à ma main et éventuellement de le faire évoluer pour qu'il me ressemble. Cette routine m'inspire et j'en ferais probablement quelque chose de différent et là je pourrais éventuellement la présenter en extérieur mais elle ne ressemblera plus au travail d'origine. Surtout que je travaille avec des enfants de 4 ans autour des chevaliers et des dragons donc... Mais avant de tout changer, il faut déjà la maîtriser donc la faire. Cela ne va pas plus loin.

il y a un épisode de Friends à ce sujet qui est fort intéressant. Joey soutient à Phoebe qu'un acte désintéressé n'existe pas car à minima il nous apporte de la joie. Comme quoi la philosophie est partout. Toutefois, un parfait inconnu dont ce n'est pas le métier (excluons les pompiers, etc.) qui sacrifie sa vie pour te sauver d'une agression, d'un immeuble en flammes, etc. Cela me semble être désintéressé. L'humain est capable de grandeur. Le débat philo est ouvert ;-)

A la lecture, de tous ces échanges, je suis partagée car le raccourci de l'écrit ne pourra jamais remplacé des échanges de vives voix pour mieux comprendre ce que chacun souhaite exprimer. Christian a raison lorsqu'il dit que c'est son droit de sélectionner avec qui il veut partager. Toutefois, si nous restons entre gens de même niveau (et ce, quel que soit son domaine de compétences) nous ne concourons pas au partage universel des connaissances et à la progression de l'humanité au sens large. Je pense que nous avons toujours à apprendre d'autrui (sauf exception ou forte incompatibilité). Je n'arrive pas à la cheville technique de magiciens comme Christian, Gaëtan et bien d'autres. Par contre, j'ai d'autres qualités et/ou compétences qui pourraient peut-être leur être utiles mais seul un échange pourrait le confirmer (ou l'infirmer). Il est vrai aussi que si l'échange est amené à se prolonger sur une durée longue et répétitive, il faut au moins y trouver du plaisir (et cela peut suffire, si, si...). Pour revenir à la question initiale, au sein du milieu magique, j'ai rencontré des personnes formidables et de vrais abrutis. Il faut donc se garder de faire des généralités blessantes et qui condamnent toute une corporation. Pour autant, ne tombons pas non plus dans l'angélisme béat ou le politiquement correct. Si je regarde avec objectivité mon vécu magique, je dois reconnaître, à mon grand dam, que c'est dans ce milieu où j'ai rencontré le plus de personnes à l'égo surdimensionné et les moins ouvertes à autrui, à la critique, à la nouveauté (pas sur les gimmicks, mais sur l'évolution de la magie) et aux débats d'idées. La question de Slipman (pseudo en hommage à Luc Apers et son slip poker ?) mérite de mettre les pieds dans le plat et de commencer à mettre à nu une réalité que beaucoup partage sans oser le dire publiquement. Pour autant, tous les magiciens ne sont pas des cons fermés égocentriques, et là, je rejoins C. Chelman, il faut faire le tri dans ce milieu comme dans d'autres. Récemment, C. Chelman nous a présenté une routine la Chambre d'Echo. Je l'ai trouvé séduisante, suffisamment pour avoir envie de la faire c'est dire...qu'elle m' a plu. Pour autant, il y a une ou deux bricoles que j'aurai changé. je n'ai pas osé le dire de peur, à tort ou à raison, de me faire envoyer promener. Du coup, je me rends coupable de ce que je dénonce ci-dessus : je n'ai pas échangé. J'aurai dû au moins essayer. Critiquer le manque d'échanges ne sert à rien si de son côté on n'essaye pas de faire évoluer les choses. J'y songerai à l'avenir. Je profite de ce post pour remercier publiquement un grand Monsieur qui séduit par mon projet des blouses roses (magie à l'hôpital) ne s'est pas préoccupé de mon niveau de magie, de ce que je pouvais lui apporter et qui m'a envoyé des MP, des mails et m'a téléphoné (moi amatrice de province) pour me conseiller et me proposer son aide et cela sans contrepartie. Ce Monsieur c'est Gaëtan Bloom, un mec en or (selon mon expérience) ! Cela me donne envie de partager avec vous l'un de mes mots préférés de la langue française : l'altruisme : actes désintéressés, pas de gains apparents et immédiats pour le donneur, bénéfique et favorise le vivre-ensemble. Merci Gaëtan.

Merci de faire offre en mp. Au plaisir

DVD avec les deux gimmicks d'origine si possible (bananes inépuisables et dent géante). Merci pour vos propositions

Tout est dans le titre. Merci de faire une offre

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