Thibault TERNON

À mon avis il ne s'agit que d'un simple ITR qu'il a associé à une boule assez légère

Bienvenue!

Tu peux également rajouter à tes achats l'histoire illustrée de la prestidigitation qui devrait être encore assez facile à trouver!

En attendant de la recevoir on peut consulter la revue sur le site internet de la FFAP, même si cela ne remplace pas le papier..!

Merci! Je ne suis pas allé sur ce site mais directement sur le blog d'Harvard ici: https://blogs.harvard.edu/houghton/2014/04/21/new-digitization-january-march-2014/ Beaucoup de livres y sont numérisés.

Bien vu HREJ! Merci beaucoup!

Il s'agit de la "Harvard University" Tu peux accéder au texte en ligne directement ici: http://pds.lib.harvard.edu/pds/view/48176798

François Voignier a fait une conférence sur "La belle époque des théâtres forains (1880-1914)" qui pourrait t'intéresser

Journal espagnol

Bienvenue à toi sur le forum!

Merci à tous les deux pour votre réponse!

Bienvenue!

Bonsoir à toutes et à tous! Je fais appelle à vous pour la question suivante: la gravure ci-dessous représente a priori Decremps. Cependant, je n'arrive pas à retrouver d'où elle est tirée! Si quelqu'un a les références du livre ou autre support sur lequel elle est parue pour la première fois je suis preneur! Merci d'avance, Thibault

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Une grand merci pour ce partage!

Plus précis oui mais à mon sens pas de beaucoup, car à ce moment là, à partir de quand pouvons-nous appeler ça close-up? Certains tours, selon leur présentation, peuvent se faire en condition de salon ou de close-up et la limite est parfois floue. Il faudrait donc, je pense, trouver des caractéristiques précises au terme de close-up.

Le mieux est certainement de lire les ouvrages d'époque! Les anciens magazines et les vieux livres, notamment ceux de Robert-Houdin sont, je pense, indispensables! On peut citer aussi Decremps, Pinetti, Gaultier, Ceillier ...

Merci à vous de vos compliments cela fait plaisir! Merci surtout à vous de m'avoir beaucoup aidé sur certains de mes projets et de m'avoir conseillé! Je ne souhaite qu'une chose; continuer à apprendre. Personne ne peut tout connaître et c'est en échangeant et en partageant que l'on découvre de nouvelles choses et que l'on apprend. Comme vous le savez je suis toujours preneur de toutes remarques ou conseils, aussi si vous en avez n'hésitez pas. Thibault

Une bonne année à toutes et tous!

Une lettre d'Yvon Yva pour la sortie de son livre Les fakirs et leurs secrets. Livre extrêmement intéressant où il parle de son opération sans anesthésie, de sa vision du fakirisme et des principes utilisés par les "faux-fakirs".

À noter que l'on peut remonter encore avant 1923 puisque dans La magie blanche dévoilée de Decremps (1784) il est déjà mention d'un fil pour réaliser une houlette à distance. L'histoire de l'utilisation du fil en magie remonte donc à bien des siècles

Le livre d'or de Robelly est super mais difficile à trouver. Le mieux est je pense d'avoir les revues del'époques comme L'illusionniste de Caroly; passez muscade; l'escamoteur (pas facile à trouver non plus) ainsi que les livres d'époque comme ceux de Robert-Houdin, Ceillier; Gaultier pour ne citer qu'eux

D'autres sources sur Moreau qui était aussi l'ami du magicien Albany: "Un intéressant souvenir s'attache à cet établissement [le café du prestidigitateur Dieudonné] d'un genre si spécial, car, c'est dans ce Même café que le célèbre Moreau, ce roi, que dis-je, ce dieu de la carte, fit ses premiers débuts en qualité de garçon, en servant des bocks et autres liquides variés, mais où, en même temps, avec son intuitive compréhension, il acquerrait les premières notions d'un art, dans lequel il devait rester sans égal." Raynaly E, « Dieudonné », L’illusionniste, mai 1903, nᵒ 17, p. 134. Robelly lui consacre une biographie dans son livre d'or: "Virtuose des cartes, il était, à l'origine, palefrenier chez un dentiste, lorsque, voyant son patron s"exercer à des manipulations de pièces, il prit lui-même goût à la prestidigitation. Il était surnommé, à juste titre, "le roi de la carte". C'était un bohème, mais, quoique sans instruction, comme sans éducation, rien, en lui, ne décelait le camelot ou le posticheur. Il était toujours convenable et discret. Il montrait, dans son travail, des finesses de diplomate et, dans la vie privée, des naïvetés d'enfant. C'était un brave cœur, un grand et incomparable artiste (d'après Raynaly)" Robelly, « Moreau », in Le Livre d’or de ceux qui ont eu un nom dans la magie, Tours, L’imprimerie Camus, 1949, p. 104. Le portrait du "Roi de la carte" :

L'académie de magie de G. Proust: