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Publié le

Ca fait a peu près deux mois que je travaille avec acharnement ce mélange.

Ce qui m'énerve c'est que mon mélange est ok à part une ou deux plus rarement trois paire de cartes qui ne se décollent pas.

J'ai d'abord pensé que cela venait de mon jeu qui se fait vieux. j'ai donc changé de jeu et j'en ai pris un neuf et de neuf à usé le mélange n'est jamais parfait.

Pouvez vous me dire ce qui cloche.

Pour info, je travaille avec des Bicycle.

Remarque : j'ai réussi mes premiers faro (deux) ce matin. Cela signifie-t-il qu'à force d'entrainement, les mains positionnent mieux les cartes.

Merci pour vos réponses.

Philippe

Faire aisément ce que d'autres trouvent difficile à réaliser, c'est le talent; faire ce qui est impossible au talent, c'est le génie.

(Henri Frédéric Amiel)

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Membres les + Actifs

Publié le

Effectivement, l'entraînement peut parfois s'avérer utile pour maîtriser une technique (quoi, j'ai dit une bêtise? ;)). Pour le moral, tu peux essayer avec des Tally Ho, ça rentre comme dans du beurre.

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le

Le coté technique de ce mouvement, c'est de le comprendre...

La plupart du temps, l'échec vient d'une mauvaise tenue des paquets, ces derniers doivent être parfaitement égalisé et la tenue doit être un bon équilibre entre fermeté pour guider les cartes et souplesse pour laisser les cartes s'exprimer toutes seules.

Mail moi en MP ton adresse e-mail, peut être n'as tu pas le bon support, je t'enverrais une ou deux photos.

Zappy (aaaaaaah, le faro....)

PAS DE PANIQUE!

Publié le

j'utilise des fourniers quand je dois faire des faros.

sinon c'es vrai que j'ai eu beaucoup de mal à le faire correctement, mais à la longue, apart quelque très rare exeptions, mes faros sont devenus parfait.

Si quelqu'un arrive à comprendre cette histoire... c'est que j'aurai échoué.

Publié le

Zappy a tout dit...

Je pense que le problème du FARO c'est qu'il faut du temps pour maîtriser cette sensation d'équilibre (1 à 2 ans) et que cela ne sert à rien de faire des séances de 1-2h dessus, car on progresser pas plus...

Personnellement je fais 5 ou 6 mélanges FARO avant chaque training et parfois même dans le noir

  • 2 années plus tard...
Publié le

Bonjour,

voilà environ un an que je travaille le mélange faro, et je suis arrivé à le faire de manière assez correct. J'ai néanmoins 2 petits soucis. Je suis obligé de bien positionné les paquets et de bien regarder que les premières cartes s'emboîtent parfaitement, après le reste passe tout seul. Même si j'arrive maintenant à faire le mouvement assez rapidement, j'ai quand même l'impression que ce n'est pas très discret et ça donne l'impression qu'on fait un mélange particulier. Je pense que là y a pas de miracles, va falloir travailler le mélange en essayant de le faire sans regarder le jeu.

L'autre problème par contre je ne sais pas vraiment comment le résoudre. Il s'agit de couper à la moitié. Je coupe toujours entre 24 et 28 cartes, et presque toujours c'est entre 25 et 27. Mais après c'est vraiment au hasard, des fois c'est 26, des fois c'est 27. J'arrive peut-être à 60% de fois pile à la moitié. J'essaie de regarder les 2 tas pour voir si un est plus épais que l'autre, mais ça ne me saute pas du tout aux yeux, et de plus dés que les cartes sont un peu vieilles, ça ne se remarque plus du tout (en tout cas moi je n'y arrive pas). Et j'ai vraiment aucune idée comment améliorer ça, pour moi c'est un coup de chance de prendre pile à la moitié, et ensuite un autre coup de chance de remarquer immédiatement si j'en ai une de trop et de corriger. Comment pourrais-je travailler ça?

Merci d'avance pour vos réponses!

Publié le

La vidéo ne nous servirait à rien. Pour couper pile à 26, il n'y a pas de miracle, c'est la travail et le coup d'oeil pour couper au milieu; pour vérifier si c'est le bon compte, tu mets les moitiés les une contre l'autre, tu verras si l'un des paquets est plus gros.

Tu fais des faros en mains ou sur table?

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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