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    • CinĂ©bĂ©bĂ©, faux bĂ©bĂ©s pour les tournages :  https://vm.tiktok.com/ZNdP9TMNH/
    • Bonjour Ă  tous, Comme promis je fais un retour, plus vraiment Ă  chaud par contre, du spectacle que Lulu et moi avons fait pour son anniversaire le samedi 28 juin. Avant d’entrer dans le vif du sujet, je pose un peu de contexte qui – sans me chercher des excuses – explique sans doute un peu mon ressenti ensuite. Nous avions dĂ» dĂ©caler d’une semaine car la date initialement souhaitĂ©e Ă©tait prise Lulu a eu une fin d’annĂ©e hyper chargĂ©e entre le sport (compĂ©titions et gala) et la musique (auditions de fin d’annĂ©e et autres concerts qui clĂŽturaient la saison de l’école de musique)  Je venais de passer une semaine entiĂšre absent de la maison pour un stage de nĂ©erlandais (trĂšs trĂšs) intensif durant laquelle j’avais eu trĂšs et j’avais trĂšs mal dormi (mais cette formule d’apprentissage des langues est extra et je vous la recommande Ă  chercher le CERAN Ă  Spa (Belgique)) Le jour du spectacle, il faisait une chaleur Ă©touffante pour nous autres chtimis peu habituĂ©s Ă  cela J’ai eu l’idĂ©e saugrenue et de derniĂšre minute (pourquoi ? mais pourquoi ??!) de vouloir remplacer les citrons (charges finales du cups & balls) par des Ɠufs Kinder Surprise. Et je dĂ©couvre que les Kinder Surprise n’existent plus et sont remplacĂ©s par des trucs bizarres en plastique avec une languette dont je pressens qu’elle va me poser problĂšme. De fait, nous avions peu rĂ©pĂ©tĂ© et Ă©tions fatiguĂ©s. Les conditions n’étaient pas optimales, mais quand il faut y aller, il faut y aller. Lulu Ă©tait dĂ©guisĂ©e en Hermione Granger devenue adulte et j’étais dĂ©guisĂ© en Ă©lĂšve sorcier de la maison Gryffondor (costume gris, chemise blanche, cravate Gryffondor et robe de sorcier). Je crevais de chaud et fondait littĂ©ralement dans mon costume. Le public Ă©tait constituĂ© de 9 copines de Lulu, assise en deux rangs Ă  environ 2 mĂštres de notre table. L’ambiance Ă©tait Ă  l’excitation gĂ©nĂ©rale : bientĂŽt les vacances, fĂȘte d’anniversaire, il fait trĂšs beau et trĂšs (trĂšs) chaud, etc. En plus, il y a le papa de Lulu (moi) qui participe au spectacle et le papa de Lulu on le connait, il est trop cool et trop drĂŽle car il nous fait des tours de magie et des blagues le matin devant la grille de l’école (quel clown ce papa). Autant vous dire que les petites Ă©taient bien en confiance et avaient bien bien envie de s’amuser ! Remarque, c’était le but. DĂ©roulĂ© du spectacle On lance une playlist de musique issue du film Harry Potter et Lulu entre en scĂšne sous les applaudissements. Elle se prĂ©sente, explique qu’elle est prof et va faire un cours, puis Ă©valuer, son Ă©lĂšve Hocus Pollux. J’entre en scĂšne avec le raccoon et le prĂ©sente (il s’appelle Proutard), je fais un peu le clown avec Proutard et le pose dans un coin. LĂ , une de copines commence Ă  la ramener : « non c’est pas proutard, c’est croutard et il s’appelle Peter Pettigrow». Euh bah non en fait, dĂ©jĂ  ce n’est pas un rat c’est un raccoon et c’est pas croutard mais proutard (il a la transit compliquĂ©), etc etc. Je dĂ©couvre que, zut, on a une madame je-sais-tout-et-je-la-ramĂšne-tout-le-temps au premier rang pile devant la scĂšne. Va falloir l’avoir Ă  l’Ɠil celle-lĂ . Pour la suite, on va l’appelle Mme-JST. Lulu demande Ă  son Ă©lĂšve de lui donner une baguette : ce dernier sort de sa valise une baguette de pain (« non pas ça »), puis une baguette chinoise (« non, toujours pas »), puis une baguette magique noir et blanche mais celle qui casse en morceau quand on la donne (rires du public et dĂ©sespoir de la prof) et Hocus Pollux sort enfin la bonne baguette magique pour faire le tour de magie. Lulu commence donc avec un tour d’apparition de fleurs (façon canne Ă  apparition) sous les applaudissements (ma future Ă©pouse, notre fille cadette et moi-mĂȘme lancions les applaudissements). Elle fait super bien ce tour en expliquant qu’il lui faut une graine qu’elle cherche dans ma calvitie, met du terreau magique, arrose avec un petit arrosoir et
 ça ne pousse pas. Il faut de la magie ! Un coup de baguette magique et pouf ! les fleurs apparaissent. ImmĂ©diatement, Mme-JST s’exclame « je sais comment elle a fait » et chuchote dans l’oreille de sa voisine le truc qu’elle croit savoir. Lulu est imperturbable, presque pro. Je vais pour sentir les fleurs mais, comme je suis allergique au pollen, j’éternue et une balle Ă©ponge verte sort de mon nez (de la morve quoi) puis j’éternue une deuxiĂšme fois et une deuxiĂšme balle Ă©ponge verte sort de mon nez et je finis par me moucher le nez sous les « aaah beurk, dĂ©goĂ»tant » du public hilare (c’était l’effet recherchĂ©). Mme-JST dit tout haut « ce n’est pas de la morve c’est des balles en mousse et il les avait dans sa main » (« nan, tu crois ? » mais loool quoi). Lulu enchaine avec un stylo bic et la zone invisible (un vieux Tenyo que je traine depuis mes 14 ans, achetĂ© chez Mayette) qui sert Ă  amener le magic coloring book. LĂ  c’était rigolo, alors que je propose le stylo magique et une baguette magique Ă  la copine dĂ©signĂ©e par Lulu, toutes les copines disent « je peux en avoir une aussi ? » et ça se transforme en distribution gĂ©nĂ©ralisĂ©e et tout le public envoie de la magie dans le livre dans lequel rien ne se dessine. Lulu s’est plantĂ©e mais a super bien rĂ©agi : « bon, les filles, va falloir vous concentrer plus et envoyer plus de magie ». LĂ , les dessins apparaissent. Evidemment, on a Mme-JST qui dit « c’est trop facile ! je sais comment elle fait ». On l’ignore. Je donne un stylo 4 couleurs en guise de baguette magique Ă  une des invitĂ©es. AidĂ©e du public, les dessins se colorient magiquement. Mme-JST explique Ă  sa voisine le truc qu’elle croit connaitre. Lulu enchaine avec un numĂ©ro de corde fakir pendant que je joue un air de flĂ»te. Of course, Mme-JST raconte Ă  sa voisine que c’est une corde truquĂ©e. Lulu, professeur de magie (rappelons) s’adresse dĂ©sormais Ă  son Ă©lĂšve Hocus Pollux pour vĂ©rifier que celui-ci a bien fait ses devoirs. Commence alors le cups & balls subtilement renommĂ© les 3 mini chaudrons et les balles de quidditch. Je le voulais comme mon tour phare et j’en attendais beaucoup. De fait, c’est sĂ»rement pour cela que je suis déçu. J’ai fait la routine de Michael Ammar. Les apparitions de balles Ă©taient nickel, de mĂȘme que la phase disparitions (avec la baguette Ă  travers le point, le wanding spin et la disparition « frappĂ©e » de Williamson) et rĂ©apparition sous le gobelet. Au moment oĂč les trois balles sont rĂ©vĂ©lĂ©es, j’entends Mme-JST qui dit : « il y a 4 balles dans ce tour-là ». Je continue le tour : « Ah bon ? bah Ă©coute, je vais mettre une des trois balles que je vois dans ma poche pour que ce soit de plus en plus facile Ă  suivre ». LĂ  je dĂ©couvre qu’une veste n’en vaut pas une autre
 Ma veste habituelle est en velours trĂšs Ă©pais et j’aurais vraiment, mais vraiment, crevĂ© de chaud si je l’avais mise. LĂ  j’avais pris une veste plus lĂ©gĂšre. Je me suis donc rendu compte (en amateur que je suis) qu’en sortant la premiĂšre charge finale (un Ɠuf Kinder Toy) de ma poche, la veste « vit » et tout le pan droit de la veste revient avec ma main. Je dois donc maintenir le pan avec la main gauche alors que j’avais dĂ©jĂ  le gobelet dont je voulais me dĂ©barrasser (et qui me sert de dĂ©tournement d’attention) dans la main gauche justement. Ça ne passe pas si mal mais en chargeant l’Ɠuf dans le gobelet, ça fait un sacrĂ© bruit (foutu Ɠuf kinder) et tous les enfants crient « on a entendu un bruit ! ». DĂ©jĂ  que je suais Ă  grosses gouttes, je continuer de transpirer mais d’angoisse ce coup-ci. La suite du tour se dĂ©roule avec les charges finales difficiles Ă  prendre car la veste vit et colle Ă  cause de la transpiration. A un moment, j’ai aussi une muscade qui se fait la malle 
 ça ne m’était jamais, mais alors jamais arrivé ! et il faut que ça arrive maintenant
 la loose. Mais enfin, je fais le clown complĂštement dĂ©passĂ© par les Ă©vĂ©nements (ce qui Ă©tait globalement le cas) et l’apparition finale des Ɠufs (et les lancer dans le public) fait oublier aux enfants les quelques ratĂ©s que certains n’avaient mĂȘme pas vus. Histoire de surfer sur un semblant de self-contrĂŽle retrouvĂ©, j’enchaine avec ma routine de balles mousses (mes deux boules de morve verte). Une petite vient Ă  cĂŽtĂ© de moi, les balles voyagent dans une main Ă  l’autre et l’une d’elle se dĂ©double pour en avoir finalement trois. Durant toute la routine, Mme-JST explique Ă  sa voisine ce qu’elle croit savoir concernant le truc. De mon cĂŽtĂ©, je galĂšre car avec la chaleur et la sueur, le pantalon me colle littĂ©ralement et j’ai des difficultĂ©s certaines pour mettre les main dans mes poches et ressortir mes mains avec fluiditĂ©s. Mais le boniment et le jeu de scĂšne semble rĂ©ussir Ă  masquer mes difficultĂ©s. La routine continue avec un voyage de balles depuis la poche (galĂšre les poches !) jusqu’à ma main (tel que dĂ©crit avec les Sponge Stars). Et lĂ  pour le final oĂč je demande « à votre avis, il reste combien de balles dans ma main ? », je prends Mme-JST Ă  tĂ©moin et, j’avoue, j’y suis allĂ© un peu fort mĂȘme si c’était sur le ton de la rigolade et que tout le monde a bien rigolĂ© (sauf l’intĂ©ressĂ©e): « et toi Mme-je-sais-tout-je-fais-la-maline-depuis-le-dĂ©but-et-je-la-ramĂšne-tout-le-temps (vĂ©ridique, le dis comme ça), puisque ça fait 20 minutes que tu la ramĂšnes et que tu expliques Ă  ta voisine comment marche. Puisque tu sais tout mieux que tout le monde, on t’écoute, il y a combien de balles dans ma main ? ». Silence
 je repose ma question une deuxiĂšme fois en la provoquant un peu, puis en troisiĂšme. LĂ , je vois ses yeux qui commencent Ă  se mouiller en mĂȘme temps qu’elle se tasse sur sa chaise et je me dis intĂ©rieurement « zut  ». Alors Ă  voix haute : « est-ce que tu veux qu’on demande Ă  tes copines de t’aider en nous disant combien elles pensent qu’il y a de balles ? ». Oui, ok. Toutes les rĂ©ponses entre 0 et 4 fusent. Le mot final revenant Ă  Mme-JST (qu’elle ne dira jamais et on ne l’entendra plus du reste du spectacle, ou presque), je rĂ©vĂšle qu’il n’y a plus aucunes balles dans ma main, donnant raison Ă  deux copines de Lulu qui sont toutes contentes d’avoir devinĂ© juste. Et je dis Ă  Mme-JST « mais tu avais sĂ»rement raison, j’ai un peu trichĂ©, j’ai mis les balles dans ma poche ». Je lui remets les balles dans sa main fermĂ©e et lui demandant combien j’en avais rĂ©ellement Ă  son avis ? A nouveau un silence total
 Sur mon indication, elle ouvre sa main et rĂ©vĂšle 25 balles mousses qui s’échappent dans le chaos le plus total. ImmĂ©diatement toutes les invitĂ©es se lĂšvent pour courir aprĂšs les balles. Fichtre que j’ai chaud. Dans quoi me suis-je embarquĂ© avec ce spectacle 
 ha ha ha. La professeure de magie, Lulu, continue le spectacle avec un tour de cartes choisie. LĂ  c’est toujours trĂšs amusant d’entendre les enfants dire : « je le connais ce tour ! » avant mĂȘme qu’il ne soit commencĂ©. Je l’entends souvent et ça m’amuse toujours autant. Surtout qu’à la fin, ils disent souvent « ah bah non en fait, je ne le connaissais pas ». Lulu fait le tour et c’est le raccoon qui retrouve la carte sous les applaudissements. Ensuite, la professeure de magie demande Ă  son Ă©lĂšve de refaire le tour pour voir si celui-ci a bien compris. Je m’exĂ©cute et force une dame de carreau. Parfait. En reprenant le jeu je dĂ©couvre avec malheur qu’il y a DEUX dames de carreaux dans le jeu. Enfer et damnation ! j’étais pourtant sĂ»r d’avoir mis le bon jeu dans la valise pour le spectacle, que s’est-il passé ? vite, il faut que je trouve une solution de secours. J’utilise mon « talent » de clown pour m’en sortir. Je fais comme si je trichais pour voir quelle carte a Ă©tĂ© choisie et ça marche. Les enfants crient « tu triches !! ». Bon ok. Alors je confie la dame de carreau en trop Ă  mon Ă©pouse qui est derriĂšre le public en lui disant de mettre la carte dans sa poche. Une passe magique et je demande Ă  la mĂȘme invitĂ©e si elle croit en sa bonne Ă©toile et de rechoisir une carte. Magie ! c’est la mĂȘme carte que la premiĂšre fois car elle est revenue dans le jeu !! (la carte a bel et bien disparu de la poche de ma femme, qu’elle en soit remerciĂ©e). Alors que je crois avoir repris le contrĂŽle du public, une main se lĂšve et dis « j’ai besoin d’aller aux toilettes». Mon Ă©pouse l’emmĂšne et 3~4 mains se lĂšvent pour dire « moi aussi j’ai besoin ! ».  Interruption du spectacle donc. Interruption durant laquelle je laisse le paquet de cartes sur la table recouvert d’un foulard en leur disant que sinon elles vont croire que je triche. Interruption durant laquelle, toutes les invitĂ©es qui sont restĂ©es se lĂšvent, viennent vers la table, jouent avec le raccoon, commence Ă  faire le show etc etc. J’en vire une qui commençait Ă  fouiller dans la valise. Ces 5 min ont Ă©tĂ© un peu longues Ă  vivre. Tout le monde retourne Ă  sa place et continue. Le raccoon revient pour retrouver la carte choisie. Mais il est trĂšs agitĂ© (normal, il a faim) et fait voler toutes les cartes. Je demande Ă  l’invitĂ©e qui avait choisi la dame de carreau si sa carte est dans le jeu. Non, elle a disparu. Magie ! mais la vraie magie est de faire rĂ©apparaitre la carte. « Ne serait-ce pas Ă©norme si la carte apparaissait dans la chaussure de XX qui est au premier rang ? Si ? allez montre-nous ta chaussure ! (chaussure vide) Ah non
 j’ai dit que ce serait fort mais pas que j’y arriverais, je ne suis qu’élĂšve encore. Ah je sais ! elle est dans mon portefeuille !! » Portefeuille en flammes et je sors une carte que je leur montre. Sauf que c’est une carte blanche sur laquelle j’avais Ă©crit « ratĂ©, ce n’est pas la bonne carte ». Rires gĂ©nĂ©ralisĂ©s du public. Hocus Pollux demande Ă  sa prof (Lulu) pourquoi rien ne marche. Lulu soupçonne le raccoon d’avoir avalĂ© la carte. S’ensuit un numĂ©ro assez drĂŽle et bien menĂ© pour endormir le raccoon et retrouver la carte mĂąchouillĂ©e dans son ventre Ă  l’aide du X-Ray raccoon de chez Climax. La petite qui avait choisie la carte ne tient plus en place et je dois lui demander plusieurs fois de rester assise et retourner sur sa chaise (sa mĂšre me dira plus tard qu’elle adore fait le show chez elle – j’avais remarqué  lol). Ensuite la professeure annonce que c’est bientĂŽt l’heure du goĂ»ter et qu’on pourrait fabriquer des bonbons. On sort un chaudron magique bleu (le magic grail) et on fait une recette magique avec de l’eau, des cacahuĂštes, des Ă©pluchures de crayon de couleurs, du caramel liquide (en fait de l’essence zippo). On met le four magique autour du chaudron, on allume le four (l’essence zippo des flammes) et tout le monde prononce une formule magique. J’enlĂšve le four et Lulu balance des M&M’s magiquement apparus Ă  ses copines en dĂ©lire. On remercie le public, on salue et 
 je vais me pendre. Ha ha. Bilan global de l’expĂ©rience et amĂ©liorations pour la prochaine fois Je me suis mis une pression d’enfer car je voyais ce spectacle comme notre premiĂšre Ă©preuve du feu et je le voulais parfait. Raté  ha ha. On n’avait pas Ă©normĂ©ment rĂ©pĂ©tĂ© mais on Ă©tait techniquement pas mauvais donc ça passait, les enchainements Ă©taient plutĂŽt fluides et le spectacle cohĂ©rent Le cups & balls n’est pas adaptĂ© pour un spectacle de goĂ»ter d’anniversaire, du moins pas de la façon dont je le prĂ©sente. Je crois que les effets parlent peu aux enfants Dire aux enfants de passer aux toilettes avant le spectacle PrĂ©voir des baguettes pour tous les enfants et leur donner avant de commencer Si possible, Ă©viter de partir en formation la semaine avant (mais lĂ  on ne choisit pas toujours)
 ou alors prĂ©parer tout le BON matĂ©riel AVANT le dĂ©part pour ne pas prĂ©parer en 4Ăšme vitesse au retour et le matin mĂȘme du spectacle (et se tromper de paquet de carte par exemple
) Ne pas faire de changement de derniĂšre minute. Les Ɠufs kinder Ă©taient une trĂšs mauvaise idĂ©e, j’aurais dĂ» garder les citrons. Le mieux est l’ennemi du bien quand c’est Ă  la derniĂšre minute. La musique, ça ajoute un vrai quelque chose. Ca reste trĂšs perfectible mais j’étais satisfait du rendu Une veste de costume n’en vaut pas une autre, surtout quand les conditions mĂ©tĂ©o extrĂȘmes (chaleur dans ce cas-ci) Ma femme et ma fille cadette Ă©taient tellement absorbĂ©e par le spectacle qu’elles n’ont pas pris de photo. Leur retour est plutĂŽt positif (et pourtant, quand ça l’est pas, elles savent le dire) donc ça m’aide Ă  relativiser. Penser Ă  calmer les Monsieurs et Madames JST dĂšs le dĂ©but Cela a durĂ© 40min alors qu’en rĂ©pĂ©tition, ça faisait un peu moins de 30min. PrĂ©voir moins d’effets ou de tours, permettra de rĂ©duire le temps. LĂ , les invitĂ©es ne tenaient plus en place aprĂšs 25 min (la pause pipi a Ă©tĂ© dĂ©vastatrice pour leur attention). Elles ont 9 ans, je les aurais crues capables de mieux se tenir mais je crois que le contexte fĂȘte d’anniversaire les rend plus agitĂ©es que pour un spectacle de NoĂ«l dans une salle (il y a moins le cĂŽtĂ© « il faut bien se tenir en public »). Franchement, je ne suis pas heureux de la façon dont cela s’est passĂ© mĂȘme si les enfants ont passĂ© un trĂšs bon moment, que Lulu est ravie de son spectacle et de sa fĂȘte. La captation vidĂ©o, visionnĂ©e le lendemain, me fait dire « ouais allez c’est vrai que c’était sympa ». Mais j’ai l’impression d’avoir tout foirĂ©. Je suis mitigĂ© et mesure le travail qu’il y a Ă  fournir pour arriver Ă  un spectacle bien rĂŽdĂ© et sous contrĂŽle. Petit mot final parce que ça me fait rire: ce matin Lulu me demande « quand est-ce qu’on pourra aller se faire payer pour faire notre spectacle Ă  des goĂ»ters d’anniversaire ? ». Euh ma ChĂ©rie, on a encore un tout petit peu de boulot pour nous perfectionner
 ha ha. En tout cas, et c’était bien l’objectif numĂ©ro 1 : elle a kiffĂ© et souhaite recommencer.
    • Revue le magicien (Ă©ditions Mayette magie moderne) numĂ©ros : 127 - 128- 129 - 130 - 131 - 132 - 135 - 136 - 138 - 139 - 140 - 141 - 142 - 144 - 145 - 146 - 148 - 149 - 150 - 156 - 157/158 (numĂ©ro double) Prix : 140 euros FDPI mondial relay
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