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Publié le

Personnellement je suis passé du velours noir finement côtelé (velvet) au tissu noir molleton 100% coton que je trouve meilleur en qualité et plus pratique à l'usage que le velours. De plus il est moins lourd (300g/m²). Plus facile aussi pour couper des caches ou des costumes. J'avais trouvé ce tissu dans une entreprise située à Wavre et fournissant les salles de spectacles. Le nom de ce tissu est le MOLTON ou le DEKOMOLTON (plus fin à 160g/m²). Ils vendent également du tissu velours ou velvet mais plus lourd (350 - 440 ou 600g/m²).

Tu peux me joindre en MP pour des renseignements complémentaires. J'habite le centre de la France depuis 12 ans mais je suis bruxellois et nous devons certainement avoir des relations communes dans la magie!

Bien cordialement

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Ce n'est pas tant une question de tissus, mais plutôt une question de gestion de la lumière, et plus particulièrement de direction de lumière.

Évidement, le tissus à tout de même de l'importance, surtout pour éviter les brillances et éliminer les différentes fuites de lumière dues aux réflexions de la salle. Le sens du tissus (sens trame ou sens chaîne) est aussi capital.

Le mieux étant de faire ses propres testes avec des chutes et quelques sources de lumière et de ne pas bêtement suivre les indications du livre de Dondrake (qui est vraiment très mauvais au passage ! ).

Dernière chose aussi, le black art est par définition un "art caché", le trucage ne consiste pas à faire du noir sur noir sur un plateau noir ! au contraire ça pu le truc. Évitez donc de sous éclairer (de l'importance des directions de lumière), ou pire, d'aveugler les spectateurs ! (à la différence du théâtre noir, où le principe étant de faire ressortit les objets manipulés sous une lumière UV et où le fond noir fait parti de l'esthétique).

PS : si le fond n'est pas éclairé et s'il est uni (pas un fond à paillettes !), le rideau employé par le théâtre peut-être différent du tissu pour le trucage. L'important étant d'avoir la même impression de valeur de noir .

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Merci Patmagic pour les infos sur le tissu, je t'ai envoyé un mp pour plus d'infos.

Merci Bruce pour tes conseils. De fait, la lumière est de première importance, c'est pourquoi je travaille avec un régisseur professionnel parce que c'est un métier et que je préfère donc laisser cela aux gens du métier (chacun son job) :)

N'hésitez pas si vous avez encore des conseils, cela m'aide beaucoup!

  • 7 années plus tard...
Publié le (modifié)

La lecture de José Arcario, Trampas en la sombra, monografico sobre la moneda negra éclairera cette zone d'ombre 😉

Luis Olmedo, plus connu en France, présente ce travail. 

The Bullfrog magazine a consacré son 4ème opus au black art en close-up. 

 

On le retrouve avec Shin Lim, Eric Chen,  dans un numéro d'Éric Antoine...

Modifié par César CHALRET (16 art)
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OSEApprendre Objectif, Système, Expérimente 🧠🎈🌈

Publié le
Il y a 11 heures, César CHALRET (16 art) a dit :

La lecture de José Arcario, Trampas en la sombra, monografico sobre la moneda negra éclairera cette zone d'ombre 😉

Luis Olmedo, plus connu en France, présente ce travail. 

The Bullfrog magazine a consacré son 4ème opus au black art en close-up. 

 

On le retrouve avec Shin Lim, Eric Chen,  dans un numéro d'Éric Antoine...

Merci @César CHALRET (16 art) pour ceux comme moi qui comme moi n'en connaissent que très peu sur le sujet voilà ce que j'ai trouvé sur le net pour éclairer ma lanterne.

https://artefake.fr/le-theatre-noir/

Bonne journée

Philippe

  • J'aime 1

Philippe 

  • Thomas changed the title to Black Art : quel est le meilleur tissu ?
Publié le

Pour ceux que cela intéresse, le livre "hiding in the shadows" de Chris Stoltz est un très bon achat que j'ai fait il y a quelques temps dans ma recherche d'informations sur le sujet.

Il couvre de manière très complète le sujet du Black Art en magie scénique. On passe par le fonctionnement du black art, les différentes utilisations (caches, tunnels, plateformes,...), la question des matières à utiliser, comment contourner les problèmes de sol et de rideau en fonction des théâtres, comment éclairer pour obtenir l'effet escompté (plusieurs schémas d'éclairage testés, éprouvés et faciles à mettre en place sont développés avec dessins à l'appui) et pour finir, plusieurs illusions (jusqu'à l'apparition d'une voiture) qui mettent en pratiques les techniques de black art.

Ce livre est disponible en version e-book sur le site de l'auteur ou chez le pingouin et pour la quantité d'informations qu'il contient, le prix est plus que raisonnable.

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    • Selon ton raisonnement, le Soleil dont la lumière met environ huit minutes avant d’arriver sur Terre, n’existe pas avant que je n’observe cette lumière… 🧐 (Et pour un aveugle le Soleil ne prend jamais la peine d’exister 🤨.) Poussons le bouchon encore plus loin : comme toute lumière met un certain temps à nous parvenir, rien n’existe. 😁   Remarque, je veux bien ne pas exister puisque rien ne me garantit que l’étoile Mu Arae existe encore au moment où je l’observe 😉.    Par ailleurs il faudra m’expliquer comment une créature (ou un matériel) quelconque pourrait bien m’observer depuis une étoile dont la température fait plusieurs milliers de degrés… (🥳)  
    • (Ou moins de 40000 personnes selon les estimations, mais ça fait quand même du monde.) Que dit ChatGPT à ce propos ? : « Le terme « hallucination collective » est souvent utilisé dans les récits populaires, les légendes urbaines ou la fiction, mais il n’a pas vraiment de fondement scientifique au sens strict. En psychologie et en neurosciences, une hallucination est une perception sans stimulus externe, générée par le cerveau d’une personne. Par nature, c’est un phénomène individuel : ton système sensoriel et ton cerveau créent cette expérience pour toi seul. Quand on parle d’« hallucination collective », on imagine plusieurs personnes voyant ou entendant exactement la même chose inexistante, de façon synchrone, comme si leurs cerveaux étaient reliés. Scientifiquement, ce n’est pas observé : il n’existe pas de mécanisme biologique connu qui ferait « diffuser » une hallucination d’un cerveau à l’autre en temps réel. En revanche, il y a des phénomènes qui peuvent ressembler à l’idée : Suggestion et influence sociale Si une personne convaincante décrit quelque chose (« Regardez, là-bas, un OVNI ! »), d’autres peuvent finir par croire l’avoir vu, surtout dans des contextes ambigus. Ce n’est pas une hallucination pure, mais une construction de mémoire et d’interprétation partagée. Biais de mémoire et reconstruction Avec le temps, un groupe peut « se souvenir » d’un événement de façon similaire, même si l’événement n’a pas eu lieu ou était très différent. C’est ce qu’on retrouve dans le faux souvenir collectif ou l’effet Mandela. Contexte physiologique ou environnemental commun Des facteurs comme le manque d’oxygène, certaines drogues, ou une privation sensorielle dans un groupe peuvent provoquer des hallucinations individuelles… qui se ressemblent parce que le contexte et les attentes sont communs. En résumé : Non : il n’y a pas d’hallucination véritablement partagée par transmission directe. Oui : il existe des illusions, faux souvenirs et perceptions influencées par le groupe qui peuvent donner l’impression d’une hallucination collective. Si tu veux, je peux aussi te donner des exemples documentés d’événements interprétés comme des hallucinations collectives, mais qui s’expliquent autrement. Les « apparitions » de Fatima (Portugal, 1917) Des dizaines de milliers de personnes disent avoir vu le « miracle du soleil » : l’astre aurait dansé dans le ciel, changé de couleur, etc. Explication possible : observation d’un phénomène optique (parhélie, halo solaire) + effets physiologiques d’un regard prolongé vers le soleil + attente religieuse intense amplifiant la perception et la mémoire. […] »
    • Pas depuis la Terre mais, en effet, depuis Mu Arae (à 49,8 années lumière), tu n'existes pas puisque tu n'es pas encore né selon ce qui peut s'observer depuis là-bas....
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