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Publié le

Voilà, suite à le dernière émission du PGCDM visionné en compagnie des mes parents, j'ai une petite question de réflexion dont je n'ai pas vraiment d'avis tranché :

Mon père de balancer :

"Tu parles l'autre qui coupe la femme en deux, il a pas de mérite c'est le matériel qui fait tout pour lui alors que Bernard Mabille (En fait Billis mais je ne sais pas pourquoi il se trompe toujours alors je le laisse dire cela me fait rire) lui il manipule les cartes et il doit s'entraîner pour arriver à quelque chose".

Donc ma question :

Pensez-vous tout d'abord que l'on peut confronter/opposer/ mettre en concurrence divers branches de la magie ?

Pensez-vous qu'avec beaucoup d'argent une personne lambda peut monter un numéro de scène ?

Etes-vous de ceux qui pensent que les masturbateurs de cartes ont plus de mérite que les coupeurs de femmes en deux ?

Voilà :D

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Publié le (modifié)

Le mérite ne se voit que dans l'émotion/les rires/le plaisir des spectateurs.

Le reste c'est de la bran.lette, seul compte l'effet, et notamment l'effet ressenti par les spectateurs.

Modifié par armgo
Publié le

Je me suis déjà fait la même reflexion sur la magie de scène, à savoir qu'il n'y avait pas de mérite...

Mais à y réfléchir, finalement, le mérite est plutôt en amont, vu qu'il faut un sacré paquet d'ingéniosité pour inventer une GI!!

Mais, je dois avouer que j'ai tout de même une préférence pour le close-up, car la proximité du public augmente la difficulté, et on ne se fait justement pas ce genre de reflexion : pouah, c'est grace au materiel, y'a pas de mérite!!

Et puis, il y a scène et scène... McBride sur scène m'a complètement séduit!! Mais il ne fait pas beaucoup de GI!!

Ne restreins pas le champ du possible aux limites de ton imaginaire.

Publié le

Pour répondre à ta question: Oui, n'importe qui peut acheter des tours et faire des grandes illusions telles la femme coupée en deux. Après, la qualité du matériel dépendra du prix qui a été investis.

Maintenant, est-ce que la personne qui aura investie 30 000 balles dans une grande illusion sera pour autant un magicien? Et bien NON !!! Un magicien, ce n'est pas seulement le truc, mais c'est toute la présentation, tout ce qu'il y a autour, la manière de présenter... Enfin bref, tout ce que l'on ne trouve pas dans les livres...

A mon avis, le meilleur magicien, ce n'est pas celui qui fait des super coupes avec sauts périlleux arrières, mais c'est plutôt quelqu'un qui fait rêver les gens. Alors que ce soit avec une grosse boiboite ou avec un simple élastique, peu importe si le spectateur est transorté dans un univers magique...

Publié le

Je pense aussi que les gens sont souvent impressionnés par les choses qu'ils ont vu en live.

Et ils ont bien plus souvent vu du close-up, que de la scène. La magie à la télé ne rend pas forcément pas aussi bien que la magie qui se déroule sous vos yeux. Et les spectateurs se rappellent en regardant les PGCDM des émotions qu'ils ont eu en voyant un gars leurs faire ne serait ce qu'un petit effet mais à 30cm du nez, et ça change tout.

A+

Philippe

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

Publié le

Petite réflexion comme ça, est ce qu'un bon acteur à qui l'on donne du matos de GI aurait autant de succès qu'un magicien.

Et après tout le magicien de GI n'est il pas un acteur qui utilise un matériel particulier ?

Pour finir, il y a de nombreuses GI qui demandent des détails très techniques : timing, placement du corps,... et ça aussi ça se travaille.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le

Prenez Matrix : Keanu Reeves a bossé pendant des mois comme un dingue pour acquérir certaines gestuelles d'arts martiaux. Acteur c'est pas seulement "jouer". Parfois il faut acquérir de réelles compétences dans certains domaines pour être crédible : escrime, équitation, danse (voir José Garcia récemment), sport de combats, tir...etc

Combien de magiciens bossent autant pour soigner leur présentation de Grande illusion ?.. No comment ;).

Ne pas confondre également art et artisanat. Dire : machin c'est mieux parce qu'il a bossé, il a du mérite...etc. C'est moins s'intéresser au résultat qu'à ce qui le précède !.. Le présupposé : "il faut mériter par le travail pour être apprécié" est contestable. Il y a des choses simples et faciles qui sont fascinantes !..

Publié le

Ou alors on fait comme Jerome Helfestein qui lui a trouver la solution en groupant les 2. Il à mis au point une super routine de piece/malle des indes... tongue.giftongue.gif:cool:(c'est vrai en plus)

Bon ok j'arrete.

Pensez-vous tout d'abord que l'on peut confronter/opposer/ mettre en concurrence divers branches de la magie ?

Non, moi je pense que ce n'est pas comparable. D'une part car ce n'est pas le même type de magie, deux car ce n'est pas ressenti de la meme facon par les spectateurs et de trois car ca ne demande pas du tout le meme type de travail. (entre la mise en scene et la b....... de cartes, je pense qu'on ne peux pas comparer les deux)

Publié le

Pour ma part, je pense qu'il n'y a pas de comparaison entre le close-up et la scène.

Certes le close-up se pratique à quelques centimètres des spectateurs et ce type de magie demande une complicité avec le public par la proximité, la narration d’une petite histoire, une explication directive etc …

Le travail sur scène est différent par la présentation. Il me semble qu’une bonne mise en scène comporte : une situation, un personnage, qui vont transporter le public dans une histoire pendant laquelle différents effets magiques vont apparaître.

Chacun d’entre nous a une préférence pour tel ou tel type de magie mais ce qui compte par-dessus tout c’est de faire plaisir, faire rêver, faire oublier la réalité au public pour quelques minutes tout en se faisant plaisir soi-même.

Je suis bien plus attiré par la scène que par le close-up mais il n’en reste pas moins que je suis très admiratif et bluffé par les close-up man.

Il ne doit pas y avoir de concurrence, d’opposition ou de confrontation entre le close-up et la scène mais une harmonie et une complémentarité.

Rien de tel qu’un peu de close-up entre deux numéros de scène car cela permet au public de dissocier les différents numéros de close-up ou de scène et d’être sans doute plus attentif.

Quand aux gens qui ont les moyens de dépenser des centaines voir des milliers d’euros dans du matériel pour « se la jouer », qu’ils n’oublient pas que le public n’est pas dupe ni idiot et que lui seul reste juge pour apprécier et admirer le travail d’un (vrai) magicien.

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Quand les fous réussissent, on les appels des génies !!!

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[email protected]

http://magiciens.new.fr

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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