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Publié le (modifié)

Je voudrais soulevé un point au sujet de l'intercessor qui est si génial au dire de la plupart des magiciens.Je n'ai pas l'appareil mais j'en comprend le principe La on parle d'un gimmick extraordinaire qui nous permet de donner le coin d'un carte a un spectateur sans faire aucun change de coin. Bien sur on ne change pas le coin mais on change le reste de la carte au complet.J'aimerais qu'on regarde les 2 versions différente du tour avec leur particulariter; celle avec l'intercessor et celle sans l'intercessor

Avec:On fait choisir une carte (au yeux du spectateur aucune arnaque possible jusque la)

On déchire un coin et on le remet au spectateur(au yeux du spectateur encore la aucun soupçon possible de change de coin puisque de toute façon on ne pouvait pas savoir la carte du spectateur à l'avance et préparer un autre coin.Même au yeux d,un magicien qui connais le tour aucune possibiliter de change envisageable)

On détruit, fais disparaitre, avale le reste de la carte et on la fais réaparaitre dans un endroit impossible (finale impressionnante pour le spectateur mais on peux quand même pas donner le jeu de carte a examiner parce que le gimmick est dedans)

Un effet finale percutant qui laisse le public confu.

Sans: On fait choisir une carte (au yeux du spectateur aucune arnaque posible jusque la)

On la déchire en 4 et on en remet un coin (au yeux du spectateur encore la aucun soupçon possible de change de coin puisque de toute façon on ne pouvait pas savoir la carte du spectateur à l'avance et préparer un autre coin. Le magicien lui n'est pas dupe par contre)

Disparition du reste de la carte et réaparition mystérieuse dans un endroit improbable (finale impressionnante pour le spectateur mais pas pour un magicien qui connais le principe de change.Le reste du jeu est clean)

Un effet finale percutant qui laisse le public confu.

Il ne faut pas oublier que pour un public la notion de change est totalement inconnu et même la logique du plus septique ne lui laissera pas l'occasion d,imaginer son existence si le tour est bien exécuter. Qu'on fasse le tour en changeant le coin ou en utilisant l'intercessor, pour le public l'effet est le même. Aucun des 2 trucs ne sera plus percutant que l'autre. J'aimerais savoir alors quelle sont les réels avantage d'utiliser l'intercessor dans notre routine et de s'en emcombrer à la fin de la routine.Il y a surement un paquet de moyen ingénieux de s'en débarasser mais pourquoi je voudrais me débarrasser d'un accesoire qui à mes yeux aurait pu être absent de ma routine dès le départ. J'avoue que de faire le tour à un autre magicien qui ne connais pas cet appareil ça peut être interressant mais en quel circonstance cela est il interessant réellement avec un public. J'aimerais savoir ce que vous en pensé. Peut être que je me trompe j'aimerais connaitre votre point de vue. salut!!

Modifié par Thomas THIEBAUT

@lp ma gang de vous autre!!!

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Publié le

tu fais le tour au canada à un de tes potes qui part en vacances en France. Et ceci juste avant qu'il prenne l'avion mais tu stoppes le tour avant la fin et tu lui dis qu'il verra la fin un peu plus tard... sans précision...

il prends l'avion...

Tu demandes à un magicien (http://www.intercessor.fr.st/) en France de venir jouer le 'livreur' à l'aéroport ou à son hôtel... et là il livre la carte déchirée à l'identique du coin qu'il a gardé sur lui pendant tout le voyage. Avec un mot "bienvenue dans un monde magique"

Voilà un exemple réalisable avec l'intercessor

Thibault FORESTIER

Publié le

Ca permet aussi de déchirer le coin, détruire la carte, la retrouver à un endroit amusant, redétruire la carte, la retrouvée à un endroit impossible, la reredétruire et la retrouvé dans la poche du spectateur... par exemple.

Tu peux aussi retrouver la carte dans un endroit choisi librement par le spectateur.

Et ça tu ne peux pas le faire avec un change de coin, à moins de rechanger le coin à chaque fois, d'avoir des classeurs de coins géré par informartique ;).

A+

Philippe

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

Publié le

l'interet est, comem l'a souligné phil ( que je salue au passage avec bruno :) ), de retrouver la carte dans un endroit qui peut etre choisi par le spectateur et sans forçage ( exemple dans un cd que tu aurais fait choisir parmi 10, 30 ou plus ), ou encore de redétruire la carte pour la retrouver encore dans un autre endroit. ^^

voilà :)

www.senseneveil.com     Cie Spécialisée dans les spectacles de magie pour enfants partout en France.

Publié le

Oui... mais on peut faire exactement la même chose sans l'Intercessor !

Il suffit de découper le coin comme il faut !

C'est exactement ce que fait à chaque prestation Jean-Luc BERTRAND pour sa version de la carte retrouvée dans cigarette !

Alors pourquoi s'ennuyer avec des gimmicks ?! ;)

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Publié le

Parcequ'avec le B.I.G. tu peux laisser le spectateur finir de déchirer la carte lui même (subtilité mentale très importante puisque tu pourra la rappeler plus tard)....

Je suis d'accord avec vous sans on peux faire la même chose mais avec c'est plus efficace à mon avis. Et ce séparer du B.IG. est à la portée de tout le monde pour laisser le jeu à l'examen.

Vax

The subaquatic magician...

Et plus simplement, Xavier BELMONT, pour ceux qui savent prononcer les x comme des x et non pas comme des z...

Publié le

L'iddée du voyage est pas mal tibo.nath mais n'est pas applicable dans un spectacle de magie. Comme le dit Thomas la plupart des autres choses on peut les faire sans le gimmick. Pour ce qui est de la subtilité mentale et bien je crois beaucoup à ce genre de subtilité. Mais à quoi bon rappeler à un spectateur qu'il ne peut y avoir eu aucun change possible puisqu'il a terminé de déchirrer la carte lui-même? A quoi bon si cette iddée de change n'a même pas fleurit dans sans esprit de lui faire pensé qu'en d'autre circonstance on aurait pu essayer de le duper et de changer son coin? Ce n'est pas un peu du débinnage. C'est comme de dire qu'on a rien dans les manches on de spécifier que nos mains son bien vide. Mathieu tu dis plus aucune suspicion de change! De quel suspicion tu veux parler. Je crois pas qu'un public non magicien croirait a un change..n'oublions pas que la carte a été choisi totalement au hasard à ses yeux. Pour faire le tour à un magicien c'est une subtilité interessante je ne le nie pas mais cette appareil sert à maximiser l'impact pour les spectateurs ou pour les magicien? Je ne suis pas contre les gimmicks mais je reste d'avis qu'à la moindre occasion ou l'on pourrait s'en passer et garder le même impact alors il faut s'en débarasser. C'est bien sur on a un nouveau machin et on le trouve génial mais quelques part il faut se discipliner. Essayé de se débarasser des choses qu'on aime si elle ne sont pas vraiment essentiel. Utilisé l'intercessor dans certaines routines spécifique je ne suis pas contre..mais l,utiliser dans toute les routines ou on déchirre une carte ce n'est pas abuser du joujou?Je voudrais citer ici un extrait dans The very best of Edward marlo:

Si vous aviez un tour comportant 3 passes et que vous pouviez en éliminer une, vous auriez un meilleur tour. Puis que si vous parveniez à réaliser le même effet à l'aide d'une seule passe, vous auriez un tour vraiment valable. Enfin que si vous pouviez vous passez de la dernière manipulation vous auriez un miracle!

Est ce qu'on peut considérer un gimmick comme une passe! Si vous pouviez manger le coin d'une pièce de monnaie sans gimmick, le feriez vous? Ou préféreriez vous continuez à utiliser votre pièce gimmick parce que vou sla trouvez irrésistiblement bien conçu?

@lp ma gang de vous autre!!!

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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ? 1er prix : Mon corps pendant 10 mn. Deuxième pris : une nuit d'amour avec moi; Troisième pris : Une vie avec moi !  
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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