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Publié le

Je prends le cas d'Enzo Weyne, il était listé mais n'y est pas allé.

Voilà voilà :)

Publié le (modifié)

Je suis étonné car je ne comprends pas cette liste... (si il s'agit bien de la liste des candidats)

Et pour être direct, c'est en particulier pour les représentants français : Comment certains ont été sélectionnés???

La liste communiquée par la FFAP ne contenait pas tous ces noms.

il y a des passages secrets pour être les sélections FISM???

Je sais que OLRAM passe par le CFI qui a la possibilité d'envoyer quelqu'un à la FISM mais les autres?

C'est pourquoi je demande confirmation que cette liste est bien celle des candidats. Ensuite, si il s'avère que cette liste est bien la liste des candidats, alors, je veux bien qu'on m'explique le(s) processus de sélection...

edit :

Je complète mon message : l'annonce officielle à l'époque faisait état des sélectionnés suivants :

En scène:

Florian SAINVET

Marc DOSSETTO

Chris TORRENTE

Dorian GREY

Gérald LE GUILLOUX (sélectionné via les Masters of Magic)

En Close-Up:

YANN FRISCH

Yuri KAINE

Jinie BRIGINA

Ludovic JULLIOT

Soit 9 sélections (la FFAP disposait de 7 places)

puis d'autres noms s'étaient rajoutés lors d'une seconde vague de sélection.

Maintenant la liste visible sur le site de la FFAP fait état de 13 sélectionnés :

En Scène :

Florian SAINVET

Cyril DELAIRE

Gérald LE GUILLOUX

Dorian GREY

GWENAELLE

Chris TORRENTE

ZUK et SILHOUETTE

Marc DOSSETTO

Close-up

Yann FRISCH

Ludovic JULLIOT

Jinie BRIGINA

Yuri Kaine

OLMAC (CFI)

Or sur la liste de la FISM d'autres noms se sont rajoutés (SZANYIEL-MIKAEL, Enzo Weyne ou encore Francis Haminy.)

Je trouve le processus de sélection insuffisamment clair.

surtout pour ce qui se passe "après" l'annonce officielle des sélectionnés de départ.

Au total, je compte une quinzaine de noms pour un total annoncé de 7 places disponibles.

(ps : j'aurai de loin préféré poser cette question sur le site de la FFAP mais je regrette qu'il n'y ait plus de forums là bas et par conséquent, la communication ne s'y fait plus que de manière descendante.)

Modifié par Oliver Silk

Magie... Magie? Magie !

Publié le

Je pense que la liste des inscrits au concours n'a pas été mise à jour par les organisateurs. Présent à Rimini, je peux te confirmer que les 13 artistes sélectionnés par la FFAP ont bien participé et figurent dans le classement final. Il n'y avait ni Enzo Weyne, ni Francis Haminy (que je ne connais pas). Quand à Mikaël Szanyiel, il représentait la Suisse et non la France.

Cordialement

Publié le

Je pense aussi que la page FISM n'est pas à jour.

Après sur le quota de places attribués à chaque pays, il est possible (sauf erreur de ma part) qu'il soit revu à la hausse si tel ou tel pays présente moins de candidats.

Ex. : la FISM attribue un quota de 9 places à la France et 3 à la Colombie. La Colombie ne présente finalement que 2 candidats, la place vacante peut être attribuée à la France, qui a alors 10 représentants en lice.

Après, comment se passe cette "seconde vague"... aucune idée !

Publié le

C'est très simple et le processus de sélection a été expliqué clairement dans les messages de la FFAP.

Le comité de sélection français à proposé, pour la scène, 4 candidats plus 4 autres sur liste d'attente.

Tardivement, la FISM à accordé 4 places de plus pour les 4 suivants en scène présents sur la liste d'attente.

Olmac a été sélectionné et envoyé par le CFI et la FFAP ne l'a découvert qu'à la publication officielle de la FISM.

Enzo Weyne a déclaré forfait après publication officielle pour des raisons personnelles.

Nous avons cherché à le remplacer par le 9e de la liste française mais la FISM a refusé car les délais administratifs étaient dépassés...

Mikaël s'est présenté via la Suisse (club de Genève).

Gérald Leguilloux et Ludovic Julliot étaient sélectionnés d'office par l'organisateur et étaient donc hors quota français mais représentaient bien la France.

Francis Haminy est un pseudo d'un magicien connu qui a bénéficié d'une invitation par l'organisateur, et qui finalement n'a pas pu présenter son numéro. Nous n'en saurons sans doute pas beaucoup plus.

Publié le

Tout s'explique donc :)

Il y a beaucoup plus de places dispos pour la scène que pour le close up si je comprends bien? (vu que les 4 places supp. n'étaient que pour la scène)

En tout cas Merci à tous pour ces précisions.

La page FISM n'est donc pas à jour.

(Et quelle erreur pour Mikaël! (dire que je le croyais Français))

Magie... Magie? Magie !

Publié le

il y a toujours plus de places en close-up qu'en scène dans une FISM. Par ailleurs, la France n'avait pas d'autres close-up à proposer en liste d'attente sinon la FFAP l'aurait fait.

Mikaël est Français (aux dernières nouvelles) mais fait également parti du club de Genève.

Publié le

Bonjour à tous,

J'ai d'abord demandé une place à la France qui ne m'a pas retenu.

Suite à ma non sélection, je me suis ensuite tourné vers le cercle des magiciens de Geneves dont je fais partie qui m'a gentiment attribué une place.

Mon côté patriotique m'a poussé à faire cette petite précision.;-)

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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