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Salut tout le monde, je voulais vous faire profiter de mon nouveau projet vidéo sur youtube, d'ou le but est de présenter une multitude d'effets en les mettant dans une vidéo, et donc voici ma première vidéo : COMPILATION OF MAGIC 1

[video:youtube]

DITES MOI CE QUE VOUS EN PENSEZ ! Merci !

Neil

Modifié par Thomas
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Publié le (modifié)

Salut Neil,

Ta vidéo est sympa. La musique est entrainante et les effets sont propres.

Maintenant, voici en vrac quelques critiques qui t'aideront sûrement plus à t'améliorer que les compliments... ;-)

Quel est le but de ta vidéo ?

Si tu veux te vendre, je pense qu'il faudrait voir ton visage de temps en temps. On s'attache toujours plus facilement à une personne qu'à des mains, aussi habiles soient-elles. Voir des spectateurs (comme le passage avec les enfants) et leurs réaction serait aussi un plus. 3 minutes me semble un peu long.

Je ne suis pas fan de la chambre d'étudiant en fond. Ca fait un peu geek solitaire devant sa caméra.

La police de caractère au début manque un peu de modernité. Celle de ton nom à la fin est plus sympa.

A la fin, il faudrait citer les musiques utilisées.

Le début (15 premières secondes) est sympa et a une petite touche moderne. Dommage que tu ne tienne pas ce style dans la longueur.

J'ai eu l'impression qu'il y a eu des noirs un peu longs.

Quand tu passes aux élastiques, il y a un changement de luminosité qui est un peu dommage.

Tu change complètement de style et de rythme au niveau des CDs. Ca vaudrait peut-être le coup de mettre cela dans une compilation à part.

Pour les manipulations de CDs, les jongleries partent hors champ. C'est dommage.

Bon, cela suffira pour aujourd'hui. J'espère que tu trouveras quelques-unes des remarques intéressantes pour avancer... :-)

Amitiés,

Benjamin

Modifié par Benjamin.dlP
Publié le

Hello Benjamin, merci pour ton commentaire !!

Je vais réfléchir à tous ce que tu m'as dit, pour peut être une prochaine Compilation of Magic 2 :) !

Alors juste pour la partie cd j'ai aussi hésité à la mettre à part. Mais je voulais coupé la musique douce par une musique plus electro et l'assemblé aux manips de CDs.

Et oui pour ma tête tu a raison, en plus j'ai eu tout pleins de remarques ^^.

Et tu trouve que 3 minutes c'est trop ? Je pense que c'est le juste milieu non ?

En tout cas je prend compte de toutes tes réfléxions, et comme je l'ai dit c'est ce que je demandent, un commentaire constructif comme Benjamin m'aide bcp, et peut aider aussi d'autres personnes en le lisant donc c'et cool !

Publié le
3 minutes c'est bien car en dessous ça ne sert a rien tu n'aura pas le temps de nous montrer ce que tu souhaites nous montrer.

Tout dépend de l'objectif de la vidéo...

La plupart des internautes cliquent sur avance rapide ou passent à une autre vidéo au bout de 30-40 secondes

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le (modifié)

Et tu trouve que 3 minutes c'est trop ? Je pense que c'est le juste milieu non ?

Intuitivement, je mettrai plutôt le juste milieu vers 1min30. Avec un minimum vers 1min et un maximum vers 2min.

Mais tout ceci est très subjectif... :)

Si c'est une vidéo promotionnelle, il vaut mieux aller droit à l'essentiel et éviter que les prospects zappent avant d'avoir vu ton nom (ca serait peut-être une bonne raison pour le mettre au début...).

Et puis, la règle générale du spectacle s'applique aussi ici: Il faut savoir s'arrêter avant que la lassitude s'installe chez les spectateurs. Mieux vaut les laisser avec l'envie d'en voir plus.

Cela dit, avec un peu d'imagination, tu peux faire plus long mais il faut donner une raison au spectateur de rester (quelques idées: raconter une histoire, introduire du suspense, accompagner un morceau de musique de son début jusqu'à sa fin,...). Les pubs incrustées dans youtube sont généralement de bons exemples: elles doivent accrocher le spectateur et faire passer leur message.

Modifié par Benjamin.dlP

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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