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Publié le (modifié)

Salut

Je veux acheter un portefeuille en feu lequel prendre ?

Pouvez-vous me le dire svp,quel est selon vous le mieux...

A très bientôt

Notes de Thomas : ajouts de sujes relatifs :

 

Modifié par Thomas
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Publié le

Difficile de répondre ! Le mieux est d'essayer differents portefeuilles...

Pour moi un bon portefeuille c'est :

- Un portefeuille qui flambe au quart de tour .

- Un portefeuille qui est relativement étanche une fois fermé.

- Un portefeuille dont le gimmick doit être amovible facilement ( on doit pouvoir le faire disparaitre en moins de 1 seconde ).

- Un portefeuille avec la zone de flamme pas trop petite ( sinon la flamme est ridicule ).

- Un portefeuille de préférence en cuir ( moins facilement inflammable que certaines matières synthétiques ).

Et enfin, un portefeuille en feu doit être ... un véritable portefeuille ou du moins resembler à un vrai ...

Voila, c'est mon point de vue et je le partage complétement ! ;)

Ludo.

Publié le

Salut,

il me semble qu'une étude complete a été faite à ce sujet, voir best of du forum dans les rubriques reflexions ou trucs du métier.

L.K.

Celui qui marche éternellement sur les traces de son maitre ne peut espérer le dépasser.

  • 2 months plus tard...
Publié le (modifié)

Salut

Je viens d acheter un portefeuille en feu sur le magasindemagie.com qui le connait ?

qui peut me dire comment il est ?

merci a vous

yves marie

Modifié par Thomas THIEBAUT
Publié le

Ta question est vraiment étrange (ou pas très claire) ?

Si tu nous disais plutôt comment TOI, tu trouves ce portefeuille que tu viens de te procurer ?

A +

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Publié le

oui, térs bizzare tu di que tua acheter ce porte feuille avec un (?) en fin de phrase et tu demande commen oj le trouve.

jcomprend pas le sens de ton message.

magicalemen, andrew

a bientot

Publié le

pour vous repondre j en suis pas content en effet je trouve que la partie allumage ce voi de trop ......pouvez vous me conseille sur un portefeuille plus plat

yves marie auffret

Publié le

j'en ai acheté un aussi il y a longtemps, mais pas au même endroit...

et ca se voyais pas mal aussi.

mais j'ai procédé aux modifications suivantes:

décoler un coté du système, tordre à l'endroit des charnière, pour appaltir, et recoler pour que ca fasse moins 'bosse'...

et ajout d'aimants plats a deux endroit, pour que ca baille moins...

ceci dit, ce portefeuille n'est jamais examinable, donc dificile de s'en servir pour une carte au portefeuille en close up, non?

travaille la façon de le montrer, et l'enchainement de ce que tu veux faire avec, et le trucage deviendra accessoire...

si le public n'a pas l'occasion de penser, l'effet feu sera un effet de plus dans une continuité, et on ne cherchera pas le truc...

Gilbus, dur de la portefeuille...

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Rien à voir avec un portefeuille en feu ....mais ayant une petite passion pour ce sujet je ne saurai trop vous conseiller la re commercialisation du tour de Peter Duffie:

THE PHANTOM OF THE portefeuille édité par Martin Bresse.

Vous aurez meme une tite vidéo , l'effet n'est pas très neuf , mais pour l'investissement ce portefeuille vous servira pour bien d'autres applications .

Voila voila ...vous m'en direz des nouvelles ...

Publié le

Juste un truc, mon portefeuille fait aussi kaps. Je vous déconseille d'utiliser les deux effets, feu et kaps, au sein du même tour (ou même scéance peut-être), car d'experience, l'effet est beaucoup moins fort... Pour les spectateurs, ca devient : ouais, ben il a un portefeuille truqué !

Sinon je conseille d'utiliser le feu un peu comme un gag. Par exemple pour brûler une feuille (avec un dessin du spectateur ou autre)... "mince, j'ai pas de briquet... tant pis..." puis portefeuille. Ca fait rigoler, et voilà !

Sinon pour le goldfinger, c'est pas mal d'allumer l'objet emprunté avec le portefeuille...

En tous les cas, je ne sais pas trop comment rendre magique le portefeuille en soi !

"Le monde est comme une grande illusion ; mais beaucoup d'hommes, en cherchant à trouver le truc, passent à côté de l'effet..."

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Invité
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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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