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La boutique à Paris de DD, quand elle vend, c'est du débinage ou pas?

Ne vas tu jamais dans des conférences? où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Ne vas tu jamais dans les braderies de magie où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Débinage signifie? on a le droit de dire à certains mais pas à d'autres, c'est ça selon toi? parce que les sites de boutiques sont accessibles à TOUT le monde, et ils vendent à TOUT le monde sans se demander s'ils ont affaire à un magicien (qui à mon sens est un être humain comme un autre...) et pas une particularité humaine

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Sauf que si tu entres dans une boutique/conférence/braderie, c'est que tu fais la démarche POUR y aller et que t'en a envie. Ca n'a rien a voir. Ou alors si tu te pointes à une conf sans faire exprès, là c'est un problème bien plus grave mdr

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parce que les sites de boutiques sont accessibles à TOUT le monde, et ils vendent à TOUT le monde

Non, les sites sont accessibles à ceux qui le cherchent, et les boutiques vendent a ceux qui veulent bien acheter..;c'est un chouia plus différent.

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les trottoirs devant les vitrines des boutiques physiques sont réservés aux magiciens et à ceux qui font la démarche de passer devant...

Combien de magiciens sont devenus magiciens non pas en cherchant sur le web ou une boutique mais en voyant de la magie à la tv? ou en pub ou en magasin de jouet et non de magie... la quasi totalité...

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je m'arrêterai là mais mon fils s'est retrouvé devant des coffrets de magie en magasin de jouet sans faire de démarche de recherche de magie... même si la démarche de Klingsor était inutile et conne pour le dire franchement, c'est donc depuis la nuit des temps accessible au grand public en débinage par Vallarino, Mirouf, Lary, G. Arthur, Majax et j'en passe dans ces fameux magasins de jouets et non de Magie. Voilà ma réflexion

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oui quand il est écrit faux pouce sur la boite ou faux pouce lumineux, ou jeux truqué... c'est une forme de débinage tout simplement

exemple 1: en boutique de jouet D lite

Exemple 2: sans emballage scellé , suffit de feuilleter sans payer Livre magie

Exemple 3, en magasin de jouet toujours: voir le faux pouce et le foulard sur l'emballage sans dépenser d'argent Coffret

Exemple 4 Fnac: Vallarino OID Magic D Lite D Lite OID

etc etc

bonne nuit

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Hélas, (ou tant mieux, disent certains…), on n’en est plus là.

La boutique à Paris de DD, quand elle vend, c'est du débinage ou pas?

Ne vas tu jamais dans des conférences? où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Ne vas tu jamais dans les braderies de magie où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Débinage signifie? …

Pour revenir (encore une fois aux définitions, puisque visiblement nous ne sommes toujours pas tous d’accord sur celles-ci, voilà ma définition du débinage :

Donner le secret à quelqu’un qui n’a pas l’intention de faire de la magie, mais veux juste connaitre le truc.

Et ma définition de l’apprentissage :

Donner le secret à quelqu’un qui a l’intention de faire de la magie, et veut connaitre le truc dans ce but.

On voit que la différence n’est pas du côté de celui qui donne le truc, mais du côté de celui qui veux le savoir, dans son intention.

L’apprentissage est indispensable.

Le débinage est inutile et néfaste.

Si on veut bien accepter ces définitions de bases, comment faire la différence, pratiquement ?

C’est dur.

Alors on essaye de faire ce qu’on peut, avec plus ou moins de bonheur :

La boutique à Paris de DD, quand elle vend, c'est du débinage ou pas?

Ne vas tu jamais dans des conférences? où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Ne vas tu jamais dans les braderies de magie où il y a du débinage? c'est inconstructif ou tu y trouves ton compte?

Débinage signifie? on a le droit de dire à certains mais pas à d'autres, c'est ça selon toi?

Un des critères, c’est l’argent :

On se dit que peu de gens vont payer pour le truc, s’ils ne sont pas vraiment passionnés de magie.

Ce n’est pas du tout égalitaire, mais ça a le mérite de marcher dans la plupart des cas.

Ensuite, la détermination :

Aller dans une bibliothèque, et rester un après-midi entier à lire des bouquins de magie, plutôt que d’aller à la piscine ou au foot, ben, c’est signe d’une certaine détermination.

Ou en tout cas d’une démarche d’apprentissage…

C’est pourquoi on trouve plein de livres de magie dans les bibliothèques, et que cela ne me choque pas.

C’est une démarche lourde, il faut se déplacer, prendre le temps de lire des choses parfois compliquées, d’autant plus que les livres de magie, à 3 ou 4 exceptions près, sont d’un ennui mortel en tant que littérature.

C’est ainsi qu’une bonne part des secrets en sont encore, des secrets, alors que le public y a largement accès…et souvent ne le sais pas.

Donc, pour en revenir aux questions :

Mayette, les conférences, les braderies magiques, ce sont des moyens d’avoir de l’apprentissage, qui ont malgré tout un accès filtré :

Chez Mayette, il est rare qu’on te donne une explication avant d’avoir le chèque.

Les conférences, organisée par les associations de magie, ont une publicité confidentielle, et il faut être très près du milieu magique pour en entendre parler. Elles sont d’ailleurs rarement gratuites.

Les braderies, idem, et certaines sont par ailleurs réservées aux magiciens, et de toute façon, qui dit braderie ne dit pas forcément explication en public.

Ces moyens de tenir les secrets à l’écart du public ne sont pas à 100% efficaces, mais ils existent.

on a le droit de dire à certains mais pas à d'autres, c'est ça selon toi?

Ben oui.

On donne des explications à ceux pour qui c’est utile : ceux qui apprennent à faire de la magie.

Et on ne les donne pas, ou du moins, on essaie de n’en pas donner aux autres, qui constitue le public.

La magie a besoin que le public ne sache pas comment tu fais.

S’il le sait, ce n’est plus de la magie, mais de la jonglerie (de piètre niveau, en plus…).

Le public peut connaitre le truc, et ne pas le voir, naturellement : mais une façon pour simplifier la vie du magicien, c’est quand même la rétention d’information.

Par ailleurs, les magiciens bénéficient ainsi d’une aura de mystère et de secret qui aide dans la mise en place de beaucoup de prestation magique.

Ce n’est aucunement une activité démocratique, dans le propre bien du public, qui ne profitera pas de l’effet s’il connaît le truc :

Il ressentira, au mieux, une admiration pour l’interprète qui sais si bien cacher le truc, il ressentira peut être une fierté intérieure de lui aussi « connaitre le secret » ou de « ne pas se faire avoir ».

Mais le spectateur connaissant le truc ne vivra pas l’émotion magique, qui laisse un instant l’intellect en roue libre quand le bon sens et les sens eux même sont en contradiction.

La magie, pour certains, se rapporte à cette émotion si rare et si fragile, mais si précieuse, qu’on ne retrouve dans aucune autre activité de spectacle.

parce que les sites de boutiques sont accessibles à TOUT le monde, et ils vendent à TOUT le monde sans se demander s'ils ont affaire à un magicien (qui à mon sens est un être humain comme un autre...) et pas une particularité humaine

[Mode vieux qui nostalgies on]

Il fut un temps où certains magasins, ceux qui vendaient le « vrai » matériel pour magicien, ne vendaient effectivement pas à n’importe qui.

Je me souviens m’être fait interroger (un peu sèchement) par un vendeur, alors que je posais un pied dans le rayon magie, bien à part et bien isolé des autres rayons, pour savoir si j’étais magicien…

En ce temps-là, le secret était important, et représentait une « valeur » que le boutiquier défendais, car c’était son fond de commerce.

[Mode vieux qui nostalgise off]

Ce temps-là n’est plus :

N’importe qui peux effectivement avoir accès à pas mal de « secrets », y compris en boutique.

Mais malgré la maladresse certaine de certains marchands, qui mettent des secrets en vitrine sous une forme ou une autre, en générale, si on ne nous connaît pas, il est rare que le marchand de boutique de magie explique le truc si on n’achète pas.

Bon, un habitué du magasin sera souvent géré sur un mode plus « convivial », mais cela dépend des boutiques.

Les magasins de jouets, eux, font n’importe quoi, nous sommes bien d’accord.

Ne parlons pas des livres de magie dans les magasins grand public…

Mais il faut être tenace pour lire un livre de magie dans un rayon de librairie…peu de gens le font, heureusement.

Mais Amagie à raison, certain trucs sont tellement débinés que même les marchands ne cachent plus les FP…

Malgré tout, quand on veut sortir de ces livres « de débinage » vendus au grand public, l’accès à l’information reste légèrement plus dur.

Et bien sûr, les magasins de magie sur le net, la, c’est de l’abattage.

Néanmoins, là encore, il faut acheter pour savoir, dans 99% des cas : il y a donc un filtre, malgré tout…

Maintenant, pour en revenir à nos moutons de cette discussion :

L’apprentissage peut occasionner des fuites, parfois tellement importantes qu’elles sont préjudiciable à l’utilisation de ce qu’on apprend, pour l’aprentit. C’est ballot.

Mais le débinage n’est pas que dans les médias d’apprentissage :

Nous parlons ici d’une émission de télé destinée à des gens qui ne feront jamais de magie, et dont le but est de donner le truc, juste pour expliquer le tour.

C’est donc un pur débinage, sans raison.

Avec une vague référence aux manipulations d’escrocs…

Un peu le magicien masqué, façon belge, c’est-à-dire en donnant son nom fièrement…

Donner « intentionnellement » les trucs au public, c’est pathétique.

Bon, Klingsor n’est pas le seul :

La compagnie « le phalène », de thierry collet, pour ne citer qu’elle, fait régulièrement des spectacles ou des trucs classique du répertoire sont exposés, dans un but à peine plus plausible que celui de Klingsor :

Là aussi, il s’agit de mettre en évidence les « manipulations mentales ».

Personne ici ne s’en est ému. Pourquoi ?

Collet le fait avec beaucoup plus d’intelligence et de talent, mais c’est exactement la même démarche, pour moi.

Donc, oui, le débinage existe, non, ce n’est pas bien (sauf que certain en sont fierts…), mais oui, il existe aussi à cause (grâce ?) à des magiciens célèbres, et on peut s’en inquiéter ou s’en réjouir, mais il existe.

C’est à chacun de prendre parti sur le sujet, si chacun réfléchis à sa propre démarche vis-à-vis du débinage, c’est déjà bien…

Pour ma part, je reste sur :

Ce n’est pas parce qu’un autre fait une chose que je trouve stupide qu’il faut que j'essaye de le faire aussi.

Gilbus.

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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