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pour moi dani a eu son temps de gloire.

Super flair pour un producteur dont le contrat avec dani lary devait durer encore 2 ans. Vous pourriez vous reconvertir dans l'accompagnement des magiciens en fin de vie.

je cite d'une interview de 2009 :

" Si demain Dani m'annonce qu'il ne veut plus bosser avec moi ce n'est pas grave, la vie continue et je trouverai bien un autre artiste qui prendra le relai, le métier a ses exigences.

Je pense que Dani a eu des producteurs qui lui ont imposé une certaine conception de travail qui ne lui plaisait pas du tout, il n'était pas à l'aise, avec moi au contraire il réalise son rêve, et puis je suis beaucoup plus jolie que son ancien producteur (rires), mais j’espère qu’on va rester un bon bout de temps ensemble car je sens qu’on est complémentaire dans le travail lui et moi et en plus on a des caractères semblables, alors pourvu que ça dure. "

Et bien oui, soit vous vous êtes plantée, soit Dani Lary est un gros enfoiré, soit un peu des deux comme pas mal de gens dans le milieu du spectacle. Mais les querellettes d'écoliers qui se tirent la barbichette, j'ai vraiment du mal, et en plus en s'en tape.

Modifié par sorano

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

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Membres les + Actifs

Publié le (modifié)
je tiens à préciser que l'an dernier à l'émission 7 à 8 sur TF1 a annoncé que dani lary remplissait 6000 personnes en zentih,

MOI JE FAIS MIEUX : Nous avons joué "guichet fermé" pendant 8 mois à l'Espace Jemmappes.

Nous avons decidé de fermer le guichet, car il n'y avait personne !

OTTO

Modifié par Otto Wessely

www.ottowessely.fr

Publié le
je tiens à préciser que l'an dernier à l'émission 7 à 8 sur TF1 a annoncé que dani lary remplissait 6000 personnes en zentih,

MOI JE FAIS MIEUX : J'AI DÉJÀ VIDÉ DES PETITES SALLES ET JE M'ATTAQUE MAINTENANT AUX GRANDS THÉATRES AVEC MA NOUVELLE CRÉATION : "TOUS DEHORS" !

OTTO

Mais parfois il vaut mieux "vidé des petites salles que des grosses propres a méditer !!!!!!!"

Publié le

je n'ai pas vu le spectacle car j'étais sur une autre date avec d'autres artistes qui sont reconnaissants. Ce que fait dani c'est beau...mais entre mes dates de tournée qui se sont finies en avril 2010 à sa demande et la date de l'olympia.. en 2011, ça fait presque un an, il a été oublié par beaucoup de monde, quand la machine est lancée il ne faut pas l'arrêter et continuer, chose qu'il a préféré faire en croyant à une plus grosse prod qui ne fournit même pas de dates pleines, est ce que ça valait le coup???? mais je fais aujourd'hui des artistes heureux qui prennent plaisir à bosser avec moi et sur une longue durée. bonne continuation à lui car il va bien falloir qu'il vive

production de grands spectacles

Publié le

Bonjour,

Ce n'est pas dans mes habitudes de balancer sur ds confrères professionnels mais je doit dire que notre "Nicolas Bling Bling" de la Magie à une façon bien à lui de concevoir le milieu.

Tout d'abord il balance dans son super livre d'autobiographie écrit en 5 minutes (à son âge...) sur Gérard Majax ce qui est purement irrespectueux car chacun à son heure de gloire et de plus il donne des avis sur des personnes en douce pas super cool.

Bref il a les moyens de ses ambitions sans doute mais c'est sans doute un pauvre type bien seul avec ses 4 meubles prémontrés et sa vision étroite sur la vie.

Monnaie rendue.

Yep

Publié le (modifié)

Bref il a les moyens de ses ambitions sans doute mais c'est sans doute un pauvre type bien seul avec ses 4 meubles prémontrés et sa vision étroite sur la vie.

Monnaie rendue.

Connaissant bien Dani Lary et sa famille je me permets de vous confirmer qu'il n'est pas du tout "bien seul" ! Comme c'est le cas dans la plupart des familles dites juives il y a un sens profond de la famille : Anita, Monique, son ex-femme Isabelle, son fils, je connaissais sa mère, décédée en 2008, une "maman" merveilleuse et qui n'a jamais été mis de coté. Ses assistants, ses copines, sa fiancée, Valérie : Ce sont tous des gens qui sont avec lui dépuis ses debuts, pour le bien et pour le mal ! Renseigne toi avant que tu lances des suppositions méchantes, insultantes, vexantes et inutiles !! :(:(

otto

Modifié par Otto Wessely

www.ottowessely.fr

Publié le

Vive Otto !!!

Vive Otto !!!Vive Otto !!!

Vive Otto !!!Vive Otto !!!

Vive Otto !!!Vive Otto !!!

Vive Otto !!!Vive Otto !!!

Vive Otto !!!Vive Otto !!!

Vive Otto !!!

Tout ce que tu dis est juste sauf que maman est partie en 2008 et non en 88, tu as meme fait la dernière fête avec elle chez Dani à Bourg de Péage !

Otto, ne dis rien et laisse dire ...

Nous on s'en fout ! nous on sait !

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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ? 1er prix : Mon corps pendant 10 mn. Deuxième pris : une nuit d'amour avec moi; Troisième pris : Une vie avec moi !  
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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