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Publié le

Bonjour, On ne peut comparer Tommy Cooper avec Mac Ronay (ils ont d'ailleurs fait beaucoup d'émissions ensemble) Le comique de Tommy Coop)er était essentielllement basé sur le texte, ce qui n'était pas vraiment le cas de Mac Ronay. Il ne portait pas de fez durant son numéro, mais le mettait au moment où il allait faire un tour bien précis. Puis l'enlevait. Ce qui est formidable c'est de voir qu'il y ait aujourd'hui des magiciens qui aiment Mac Ronay...Il y a 30 ans ce ne fût vraiment pas le cas, car " il débinait la magie" (sic) car il "dévoilait" 2 tours ( que même à l'époque aucun magicien digne de ce nom ne faisait: le baton qui sort de la bouteille et le ruban qui change de place. Carla "l'héritière" 'resic) de Mac Ronay

Carla

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Publié le

p/s si j'ai mis "l'héritière" de Mac Ronay, c'est par ce que quel'qu'un a évoqué ce mot. L'héritier du numéro de Mac Ronay est mon frère Mikael qui d'ailleurs depuis fait également des grandes illusions qui elles aussi, ratent!

Carla

Publié le

Mac Ronay Junior qui présente une Zig-Zag qui rate et ou sa partenaire se trouve retrécit est une merveille (j'ai eu l'occasion de le voir en live l'été dernier avec Jean Régil sur la côte) d'ailleurs ce show est réengagé pour l'été prochain

Publié le

d'abord petit message personnel: salut mon Allan, pour les sandwich's soyons fous: BEURRE!

Pour les films de Mac Roany, il a tourné notamment en France dans "l'aile et la cuisse" et beaucoup en Italie où il était vraiment "une vedette", grâce à une émission hebdomadaire "studio uno" qu'il fit pendant plusieurs années; Il a tourneravec Anna Magnani, aussi avec Peter Sellers dans un film de Vittorio de Sica " after the fox". Pour ceux que cela intéresse de savoir comment il a eu l'idée du numéro : Lors d'un contrat au Pays Bas il a vu un artiste Toon Hermans, le "sta

Carla

Publié le

du faire un faux mouvement...donc Toon Hermans le "stand up comédian" le plus populaire, qui dans son spectacle prenait un cintre, le fit tourner et criait "et voilà" et passait à autre chose. C'est là qu'il a eu l'dée du non sens. Dans un spectacle de magie pour André Sanlaville, il faisait ainsi entre les numéros ce genre de petits effets de quelques secondes. Bout à bout ça devint un numéro qui tout au long de sa carrière a évolué (dans le personnage)

Carla

Publié le

p/s et pour faire allusion à des post lus " qu'est ce qu'il es resté simple" ou encore "qu'est ce que c'est formidable comme tu es resté humble" je ne saurais le dire pour les autres, mais Mac Ronay était quelqu'un qui n'avait vraiment pas "la grosse tête". Car s'il était drôle en scène, c'était aussi dans la vie quelqu'un d'intéligent qui savait parfaitement que la notoriété est éphémère et qui était juste heureux de faire le métier qu'il avait choisit (après des années de galères) et si je dis "galère" le mot est faible

Carla

Publié le

Essaie de contacter Dominique Webb pour lequel il a fait beaucoup de sketches dans son émission sur la magie ( le titre ne me revient pas) je crois que c'est "des magiciens" mais je ne suis pas sûr

Carla

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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