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Vincent HEDAN

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Tout ce qui a été publié par Vincent HEDAN

  1. Tu trouveras (peut-être, je ne suis pas sûr) cette technique dans son livret "Action Palms".
  2. effectivement coeur, ce serait une bonne chose. heureusement que je les avais enregistré sur k7 à l'époque. le problème c'est les k7 ça s'use facilement.
  3. Je confirme. J’avais passé commande à François de quelques muscades. Non seulement ce n’était pas cher, mais c'était rapide, et d'une très grande qualité. Parce que je suis un pinailleur, j'ai demandé quelques modifications. Il a fallu à François quatre essais pour obtenir le résultat souhaité. A chaque fois il m'a fait parvenir les nouvelles versions avec une rapidité incroyable ; cerise sur le gâteau, il m'a fait payer ces modifications une misère. Enfin, et je pense que c’est le point le plus important, il est ouvert à la création de muscades particulières sortant de notre cerveau dérangé. Bravo François !
  4. effectivement corneille, on peut les décoller sans les plonger dans l'eau. j'ai déjà essayé "à sec" ; je me suis rendu compte que c'était beaucoup plus difficile. plonger la carte dans l'eau chaude permet d'annuler l'effet de la couche centrale de colle. les philatélistes utilisent cette technique ; ils ne vont pas prendre le risque de déchirer un timbre à 3000€ en le décollant à sec.
  5. je vais faire mon Tyler : "comment faire des cartes double faces ou double dos en 7 étapes" 1) faites chauffer de l'eau 2) quand elle arrive à ébullition, versez-la dans un bol 3) plongez la carte dans l'eau, laissez-la 2 minutes 4) sortez la carte et, en partant d'un coin, décollez délicatement la face d'avec le dos. les deux moitiés de cartes sont utilisables, aucune ne se déchirera. 5) laissez sécher entre deux feuilles de papier essuie-tout 6) quand c'est bien sec, appliquez de la colle UHU en baton (oui, oui, la colle des écoliers !) et collez la moitié de carte à l'autre moitié de carte que vous avez choisi. faites attention à bien aligner les bords. 7) laissez sécher sous un énorme dictionnaire. note : la carte préparée ainsi est légèrement plus large et longue qu'une carte normale. quand elle est parfaitement sèche, elle est revenue à une taille normale. la carte obtenue a une souplesse très, très proche d'une carte normale. avec cette méthode, zebrano, tu peux réaliser des double faces/dos qui n'existent pas et dont tu aurais besoin (as de pique/as de pique, rider back/league back, etc...) enchanteur, c'est vrai qu'on peut aussi effacer un dos et imprimer ce qu'on veut dessus. mais alors, autant prendre une carte à dos blanc, retirer le vernis et imprimer ; comme on a aucune encre à effacer du dos.
  6. oyez oyez, sortez de vos armoires poussiéreuses un livre de 1954, titré "Cours magica", de Robert Veno. dans cet ouvrage, vous trouverez pas mal d'effets basées sur la chimie, dans le chapitre 8 (page 233), nommé "Les liquides, les verres et les récipients". livre réédité par mayette en 1992.
  7. Nay, sur les conseils de Tyler, j'utilise un vernis en spray appelé "Julien" (il y a une espèce d'otarie rouge sur l'étiquette). Il ne donne pas une finition identique à celle de la Bicycle, mais quand même excellent.
  8. faudra que je me renseigne sur ce chapelet, je ne le connais pas du tout (oui, je suis inculte).
  9. Rogn, j'ai essayé de leur dire, mais ils écoutent pas. Davy, moi non plus j'arrive pas à manier photoshop (il serait plus juste de dire que j'ai la flemme), mais je m'en sors avec corel photopaint.
  10. Z c'est pour moi Rogn ? (mais ailleurs sur le net alors) je remets le lien ici, pour ceux qui lisent l'anglais http://www.simonaronson.com/Memories%20Are%20Made%20of%20This.pdf Quoique, vous trouverez peut-être ce texte dans le Very Best of Simon Aronson, sorti chez CC-éditions (je me trompe peut-être Frantz, dis-moi) En tout cas, pas mal d'idées sur la construction d'un chapelet, sur son apprentissage, et sur son utilisation ; explications totalement indépendantes du chapelet Aronson.
  11. Effectivement Dimitry, le Si Stebbins, comme le Osterlind, permettent de CALCULER l'identité d'une carte, en connaissant la précédente. A mon avis personnel, CALCULER dans un chapelet n'est jamais qu'un remplacement de la mémoire (Mimosa, Aronson et Tamariz le disent également). Imaginez qu’au lieu de simplement vous rappeler votre âge, vous soyez obligé de le calculer en fonction de votre date de naissance ! Le calcul du Si Stebbins est très simple (+3 sur la valeur, et on change de famille en suivant l'ordre PCTK ou TCPK). Il est utilisé par beaucoup de magiciens. Il a l'énorme inconvénient, à mes yeux, de ne pas du tout avoir l'air d'un jeu mélangé (les cartes sont alternées PCTK ; de plus, vous trouverez toujours la valeur X à côté de la valeur Y - par exemple, tous les 4 sont juste après des as, tous les 8 sont juste après les 5, etc). Le calcul du Osterlind est un peu plus compliqué. Peu répandu chez les magiciens. Il a l’avantage de vraiment avoir l’air mélangé (familles désordonnées, valeurs aussi). Mais encore une fois, si c’est juste pour déduire le nom d’une carte à partir de la carte précédente, c’est beaucoup trop compliqué. [Je précise que je n’ai pas toujours été de cet avis. J’ai traduit en français l’explication du chapelet Osterlind, ce qui m’a demandé pas mal de travail. Après un tel investissement personnel, il est toujours difficile de garder le recul nécessaire sur le sujet. C’est Frantz qui m’a « sauvé » en m’expliquant les défauts du Osterlind ; maintenant, ça va mieux, je suis guéri, j’ai créé mon propre chapelet. Néanmoins, je vous recommande la lecture du livret dans lequel Richard Osterlind explique son chapelet ; vous y trouverez de bonnes idées et utilisations.] Donc, je ne dirais pas que le Si Stebbins est mieux que le Osterlind. Je dirais plutôt qu’ils sont tous les deux très peu pratiques (voir raisons évoquées plus haut). Rien que pour alourdir leur cas, précisons qu’ils ne proposent absolument rien d’autre que « je connais une carte, donc je déduis la suivante » *, qui est la fonction principale d’un chapelet, mais qui n’est pas suffisante pour faire un très bon chapelet (Mnemonica, Aronson, …). * Ceux qui connaissent le Si Stebbins savent que l’on peut également calculer la position de n’importe quelle carte, et inversement. Mais là encore, la liaison carte-position repose sur un calcul ; calcul qui peut être remplacé par la mémoire, de manière beaucoup plus efficace.
  12. je crois que ceux de Chelman viennent de Eddie Taytelbaum (ortographe ?), donc autant dire que tu ne pourras pas te fournir au même endroit mais sinon, c'est vrai que faire travailler les artisans (la plus grande entreprise de France !) peut donner des bons résultats. J'avais demandé à un maroquinnier de me faire un porte-monnaie spécial (Ton Onosaka), utilisé d'ailleurs par Chelman dans sa routine de Copper Silver Brass. Gérard, historic games existe toujours ?
  13. je ne sais pas si le tour a été décrit quelque part, mais si tu l'analyses tranquillement, tu trouveras la solution sans problème (surtout avec un magnétoscope).
  14. Bien que la fabrication soit différente, le principe de "Diapason" (vendu par Mayol, toujours sur magies.com) est identique. Idem pour le "Vista" de Jean-Jacques Sanvert.
  15. Personnellement, je me rappelle que quand j'ai commencé la magie, je réfléchissais en me disant "je connais telle technique, qu'est-ce que je peux faire avec ?", et j'exploitais la technique apprise dans tout les sens. Puis, j'ai lu une interview de Guy Hollingworth, qui expliquait qu'il réfléchissait de la manière suivante : "je veux produire tel effet (carte déchirée et reconstituée, rois cannibales, etc.) ; comment y parvenir ?", et étudiait les possibilités pour ensuite choisir la plus adaptée pour l'effet voulu ; et quel que soit le niveau technique requis, il travaillait jusqu'à maîtriser cette technique (et on voit maintenant où il en est !). Depuis cette interview, j'ai essayé de réfléchir dans cette direction. Puis, rencontre avec Boris Wild et son Kiss Act, et Christian Chelman et ses Légendes Urbaines. Là, je me suis rendu compte qu'il était peut-être intéressant de bâtir sa construction autour d'un impact émotionnel (quel qu'il soit, l'éventail est très large). Si on regarde l'évolution : Construction en fonction de la technique, puis construction en fonction de l'effet, puis construction en fonction de l'émotion. la gradation semble assez logique. Evidemment, dans la vie, on n’évolue pas de manière linéaire. Je continue, de temps à temps, à construire en partant d'une technique ou d'un effet. Quelle sera la prochaine étape ?
  16. bien sûr. il y a tout de même quelques applications magiques, pour un prix vraiment pas cher
  17. est-ce que cette balle ne se casse pas sur un swing frappé bien fort ? sinon, on peut imaginer quelques applications magiques.
  18. corneille, quand une balle se colle au fond d'un gobelet, avec ou sans foulard, je pense qu'on peut dire que la technique utilisée est propre au chop cup (car impossible à réaliser avec un gobelet normal). enchanteur : C'est vrai, il n'y a pas que des tours de chop cup dans la k7 de chelman. Tu as une routine de chop cup, foulard et shot glass (dont parlait corneille), et une routine de chop cup pur (un chop cup et une balle). Ce n'est pas LA k7 sur le chop cup, mais tu y trouveras dons deux routines avec cet outil, ainsi que des idées, et évidemment des routines de gobelets normaux. ça me fait penser que peut-être ton interrogation sur le chop cup peut se poser autrement : plutôt que "j'ai un chop cup, que puis-je faire avec?", peut-être se poser la question "je voudrais une routine de gobelets qui produise tel(s) effet(s) (visuel, intellectuel ou émotionnel) ; comment atteindre mon but ?". ainsi, le chop cup redevient ce qu'il est, un moyen, et non pas une fin. raisonnement qui peut (doit?) s'appliquer à tout ce que l'on fait.
  19. Juste pour pouvoir la réécouter (et non l'utiliser dans un numéro), je pose la même question que Mlevin : quelle est la musique utilisée pendant le numéro d'acrobatie sur lanières ?
  20. "pas de techniques propres au chop cup" ahem, les gars, vous avez pas vu la k7 de chelman ? et c'est sûrement pas le seul d'ailleurs.
  21. tu trouveras, malheureusement avec une table, dans Légendes Urbaines de Christian CHelman, deux tours avec des dés à jouer. L'un est un tour qui trompa Monsieur Dai Vernon (rien que ça). L'autre est une histoire de pari avec des escort girls...
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