Cher Gambit (c’est sous ce nom que tu te présente), je suis désolé de ne pas avoir su te satisfaire et je regrette que tu ais perdu 10€ pour venir me voir.
Aussi je suis prêt à te rembourser 2€50. C’est ce que t’a venue m’a fait gagner ce soir là.
Pour que tu comprennes car je ne veux pas que tu te sentes abusé, sur 10 € je donne 5 € au théâtre, et je retire 50 % pour les charges soit 2€50 Net (Je ne te compte pas les frais annexes pour avoir le plaisir de jouer devant toi : régisseur, repas, voiture, parking…).
N’hésite donc pas à me transmettre son adresse pour que je te fasse un chèque ou bien ton paypal pour que je puisse te dédommager de la très mauvaise soirée que tu as passé…
Maintenant comme je ne te connais pas et que je pense que tu dois être bien jeune pour faire ce type de commentaire, je t’invite à me dire quand tu te produiras sur scène pour que puisse venir te voir et apprécier l’ampleur de ton talent ainsi que toutes les nouveautés que tu nous présentera sur scène pendant 2h00
PS : Je ne passerai meme pas par billetreduc pour avoir un tarif réduit et je paierai plein tarif…
Amitiés à toi et au plaisir de lire l’ensemble des commentaires constructifs que tu laisses ici
PS2 : Dis moi le jour où tu seras pret à bosser pour 2€50
PS3 : Je t'invite à voir ou revoir Ratatouille de Disney et de t'attarder sur la dernière critique faite par Anton Ego (Medite sur le nom).
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.