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Christian CHELMAN

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Tout ce qui a été publié par Christian CHELMAN

  1. Oui, ça doit se trouver dans "Roxy ou le Close-up à l'Italienne", ouvrage actuellement fort recherché. A l'époque, il avait même sorti le 33 tours.
  2. Bon, on va voir si Noël est vraiment dans le coeur...
  3. J'en commande tout de suite 50 pour les fêtes. Roxy va devenir encore plus rare qu'Hocus Pocus Junior.
  4. Je connais même un gars qui rang ses tours de petits paquets dans un vieux coffre-fort...
  5. Le mieux à faire est de trouver les dvds/vidéos de Mark Raffles. C'est le sommet dans l'art du pickpocket. Il n'y a tout simplement rien de mieux. Mark Raffles
  6. Noel Pierce Coward - (1899 – 1973) Acteur, compositeur et écrivain de théâtre anglais - résumait très bien la raison d'être du théâtre. Si vous pouvez appliquer ce qui suit à vous-même, vous aurez certainement fait un grand pas en avant. - Consider the public. Never fear it nor despise it. Coax it, charm it, interest it, stimulate it, shock it now and then if you must, make it laugh, make it cry, but above all never, never, never bore the living hell out of it.” - Ayez de la considération pour votre public. Ne le craignez ni le méprisez. Enjôlez-le, charmez-le, intéressez-le, stimulez son imagination, choquez-le et ensuite, si vous le devez, faites-le rire ou pleurer, mais avant toute autre chose, ne lui faites pas perdre son temps.
  7. Je mise tout sur Roxy premier, Poker second et Italienne troisième. Par sécurité, je mets également 20 euros sur Roxy placé dans la troisième.
  8. Le Luna, c'est Mary Ann . ...Publié dans Roxy, le close-up à l'italienne.
  9. Ah oui..... je peux te proposer mon scénario... Ceci dit, j'attends toujours...
  10. Je tiens à préciser que je suis entièrement d'accord avec mon opinion.
  11. Les trois meilleurs tours qui existent sont deux canards à la carte et cinq Ouah Ouah le Chien.
  12. Il y a message et … message. L’artiste est avant tout un entertainer, qu’il soit bizarriste ou non. Il est là pour divertir, pour offrir un instant d’une qualité exceptionnelle à son public. Il n’a aucune prétention philosophique ou métaphysique et ne se pose ni en gourou ni en maître à penser, particulièrement pas dans ses spectacles. J’imagine mal un « spookie » ouvrir un club privé vaguement transformé en secte ou une Eglise à sa propre gloire et recueillir l’adulation de ses disciples et des zombies prêts à tout pour s’asseoir à la table de l’amphitryon. Ceux que j’ai pu croiser sont plutôt du genre allumé et un peu fouteurs de souk… Ceci dit, l’artiste, pourvu qu’il soit attentif et éveillé au monde qui l’entoure, est une émanation de sa société. En général, il prend le contrepied de certaines positions « officielles», particulièrement quand il se rend compte que ces mêmes positions sont un brin polluées (commerce écologique, panique « sécuritaire »…). Si c’est pour suivre le mouvement des masses (voir l’excellent film argentin « La Antena (Telepolis) de Esteban Sapir), il existe des artistes d’Etat, parmi lesquels certains sont prêts à toutes les bassesses pour une vague reconnaissance « officielle ». Et pas seulement dans l’ex-URSS… L’artiste peut avoir une « vision » de l’état de son propre art, de ses travers, et désirer offrir des échappatoires. En prenant son art comme point de départ, il parle également de la société dans laquelle il vit. Cette vision nourrira son travail et rayonnera dans ses spectacles. En ça, il fait de la politique, il prend position. Encore doit-il le faire très finement pour ne pas tomber dans la caricature (voir Avatar de James Cameron, indigeste série de clichés formatés pour plaire à la masse). L’artiste peut aborder des thèmes « tabous » comme la mort, la sexualité, la magie. Il a pu découvrir durant son exploration, une Terra Incognita qu’il a envie de partager avec son public. Au travers de son art il peut montrer d’autres interprétations de la soi-disant réalité, et avoir envie d’éveiller l’autre. Eveiller mais ne jamais imposer. Pour ce faire, la fiction et le roman sont des formes traditionnelles d’écriture. L’artiste peut se poser en chantre d’une contreculture, il peut se lancer en politique et utiliser son « aura » médiatique comme arme, mais ça concerne plutôt sa personnalité que son art. Personnellement, je pense que la magie est du domaine du poétique, et que cette position suffit amplement. Voilà, c’est juste une opinion.
  13. Et légendes urbaines?? Les derniers sont partis à 500 euros non? :-) Le Marabout ne coûte que 2€, lui. Et aussi écrit par un belge, Jean Monarque. Comme les carnets de Jerry Jee (Gérard de Bodt), un des premiers (et excellent) livres de close-up belge... Les heures de gloire du CBI (Cercle Belge d'Illusionnisme). Et oui, notre glorieux passé glisse vers la trappe de l'oubli.
  14. J'ai le livre sur les sorcières de Benjamin Lacombe, il est assez agréable visuellement. Si vous aimez les collectors étranges, ne manquez pas le Dracula d'Edward Gorey. [video:youtube] Et dans les autres collectors Poesques, Edgar Alan Poe et Annabel Lee en Living Dead Doll.
  15. Puisque tu cites Lamartine, il vaut peut-être mieux choisir le Lac. C'est plus à propos pour quelqu'un a Lancelot comme avatar...
  16. Note que même l'immolation par le feu peut avoir quelque chose de magique. "Printemps, été, automne, hiver ... et printemps" de Kim Ki Duk. [video:youtube] Bon, il y a des trucs de cartes dans "Alice...", d'ailleurs Lewis Caroll était un magicien.
  17. Pourtant, je te conseille d'essayer de découvrir ce pur chef d'oeuvre. Iassen Ghiuselev raconte Alice en un seul tableau (digne d'Escher). Il fait la même chose avec "De l'autre côté du Miroir". Le livre explore le tableau. Pour le Panda: tu as des allumettes ? Tu connais le jeu du bonze ?
  18. Tout à fait d'accord, mais cette édition-ci, illustrée par Iassen Ghiuselev. Alice Ghiuselev
  19. Ben, encore heureux. A mon avis, oui. Car l’effet n’est pas la sélection mais l’impression que le « caretaker » possède ce don de ressentir les choses. La magie bizarre n’est certainement pas une forme définie de manière unilatérale, loin de là. Derren Brown possède son monde à lui, avec ses explications sous-entendues. De même pour Simon Drake et du Secret Cabaret, puisqu’on parle de scène. Sorte de Jekyll/Hyde entre le magicien traditionnel et un Mad Max déjanté. Ou Swann avec son personnage parallèle, un peu à la Addams Family, qui pourrait également prendre part à ce débat. Ou Gede Nibo, personnage proche d’un Baron Samedi itinérant, profondément ancré dans le vaudou, croisement subtil entre le hobo et le bokor qui fusionne l’art de la prestidigitation et son propre univers. Ou feu Ludwig « Punx » Hanemann, conteur et illusionniste, peut-être un des premiers vrais pionniers de cet art étrange dans sa version moderne. Ou Tony « Doc » Shiels, shenanigan, artiste, baratineur de foire… Tous des personnages qui possèdent au moins un élément commun : ils sont profondément liés au personnage du Trickster , sont des électrons libres qui ne tiennent aucun compte du qu’en-dira-t-on ou de la pression sociale. (voir à ce propos le livre de Neil et Burger) Ou Ulf Borodin… Punx avait choisi une voie proche de ça. Rien ne vous empêche d’essayer. Après tout cette forme d’illusionnisme est très « jeune » et demande plus d’exploration. Elle n’est pas seulement Chelmanienne, (*voir ci-dessus), c’est un peu restrictif. Mais des éléments communs peuvent être retirés de la comparaison entre les différents artistes qui pratiquent cette forme particulière de prestidigitation. A vous de faire le tri. J’oublie les « filles » en magie bizarre qui ont leur univers propre et parfois bien plus glauque que les mecs… Je pense à Mary Tomich ou Autumn Morningstar et les autres conteuses. [video:youtube] Et pour revenir aux ghost stories: Graham Masterton
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