Le niveau baisse forcément quand un journal vire ou dégoute (voir les 2) ses propres collaborateurs bénévoles.
Et je suis loin d'être le seul à y avoir eu droit. A force d'avoir des reproches -on en fait jamais assez pour ce personnage à qui tout est dû- on fini par saturer.
Puechou (que je surnomme à dessein Marie Croze) est un autocrate qui ramène systématiquement tout à son nombril.
J'ai eu le privilège d'apprendre mon éviction du journal (après qq années de cons et boyaux services) en… le lisant! L'annonce s'étalait sur 2 lignes (que je peux citer ici) juste après les 2 pages, textes et photos que j'avais réalisées sur le festival d'Avignon 2006. Tout ça pour avoir eu l'outrecuidance de demander un défraiement de… 45€! Pour cela j'ai été qualifié de vénal.
A savoir que Didier Puech s'avère un individu facilement influençable, mon "licenciement" à été sournoisement concocté par un de ses bons amis qui ne rêvait que d'une chose: prendre ma place!
C'est chose faite et l'heureux élu –au pseudonyme à rallonge- tient désormais sa rubrique habituelle, dont je doute que quiconque puisse en décoder le sens. Mais cette fois Marie Croze ne se sentira pas dépassé en qualité d'écriture, donc tout va bien.
Quant au manque de professionnalisme du journal c'est assez édifiant: je ne comptais plus les erreurs de publications, mises en pages maladroites, crédit photo erroné…
Le plus gênant reste le manque cuisant de vérification de l'information, comme si une seule source –supposée viable- suffisait à publier une "vérité", le minimum de sérieux consisterait à recouper plusieurs infos sur un sujet critique.
J'aimai MAGICUS (depuis 1982) pour son côté sale gosse dérangeant, il est davantage devenu le recueil de quelques amers. La liberté d'expression qui y régnait a pâlît au fil du temps, au point de refuser voir modifier les textes proposés, je suppose que Christian de Miégeville (que je surnommais De Miégevillage) s'en souvient encore. Bref le seul qui puisse s'y exprimer librement reste le rédacteur-en-chef-directeur-de-la-publication-fondateur-à-vie susnommé ainsi que ses bons amis.
Comme le disait Val lui-même (avant qu'il ne change) : "quand on fait une concession, on déplait à ses amis mais encore plus à ses ennemis"(citation de mémoire).
Quant à ne –plus- faire de bénévolat pour me mettre en avant, je m'en passe très bien. Depuis peu je bosse avec –entre autres- Claude de Piante (Yonago Productions): non seulement je suis payé mais en plus je suis respecté. Que demander de mieux?