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avoir un bon act et faire le tour du monde... et chouette j'ai été plus rapide que Mercier...

moi je dirais qu'il faut entre 3 et 7 ans de patates et de nouilles

il faut tout simplement avoir LA VOLONTE, courage et passion de ne faire que le métier, Anthony Dickson réuni les trois donc il n'a pas de problèmes............

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Salut à tous,

BrunoMagie dit : "avoir un bon act et faire le tour du monde... "

Moi je répond : pas forcément.

Tu peux aussi avoir plusieurs spectacles à proposer et tourner suffisament pour gagner un salaire raisonnable..

Tu dois peut-être être polyvalent, mais en restant dans la magie, et pas devenir homme à tout faire comme certain (lol)

Avoir plusieurs spectacles à proposer à tes clients est je pense un plus, car certain peuvent te reprendre plusieurs fois de suite.

Etre également bon en close up car cela te permettra de décrocher de gros contrat simplement par le fait que tu as réussis à bluffer ton futur client.

J'ai décroché un jour un super contrat en faisant uniquement une routine de carte ambitieuse.

Mais je pense qu'il faut plusieurs années pour commencer à te faire une clientèle.

Et avoir un peu l'esprit commercial, c'est un plus qui n'est certe pas négligeable.

Magicalement

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

Publié le

je crois que l'on avait déjà abordé le sujet avec quelques membres...

ça dépend du train de vie que tu te fixes,

Famille, enfants, maison, voiture, confort etc...

Si déjà c'est vachement dur de gagner sa vie tout seul n'ayant que la peau sur les os.....faire vivre ce train de vie à sa famille.....

regardez les autres avoir leurs maisons, des enfants qui courent dans le jardin etc....

Maintenant, il y ceux qui n'ont presque rien à part quelques potes, un petit appartement et quelques valises de souvenirs....

moi j'ai choisi.........

Zéb ? parce que c'est bien !

Publié le

"J'ai décroché un jour un super contrat en faisant uniquement une routine de carte ambitieuse."

mouais...

il n'y a pas de regles...

mais juger le niveau d'un show de grandes illusions de scene sur une routine de carte ambitieuse, il faut que le client soit bien naif ou inconscient...

cela me rapelle un client qui a engage un magicien il y a quelques annees car il avait ete subjugue par sa routine de cartes et sa cigarette dans la veste.

le probleme est que ce "magicien"l a fait la meme chose, mais sur scene devant 600 p en spectacle d'arbre de noel avec une routine de balles mousse.

le client ne voulait plus entendre parler de magicien, jusqu'a ce qu'il nous voit sur scene et nous engage...

et maintenant il sait qu'il y a des magiciens serieux...

Publié le

D'un coté, si le mec te demande de faire un tour de magie et que tu lui fais un truc pourri, il n'aura pas beaucoup plus envie de te prendre. ALors que si tu lui fais un tour qui le bluff, il sera deja plus enclin à se dire "si ce qu'il fait avec un paquet de cartes est aussi bien que ce qu'il fait sur scène, alors ça doit en jeter".

www.senseneveil.com     Cie Spécialisée dans les spectacles de magie pour enfants partout en France.

Publié le

Merci pour vos réponses, j'apprécie énormément de vous lire... :)

Je prends note... Je prends note ! ;)

Perso, j'ai deux programmes en close-up qui tiennent bien la route (j'entends avec une suite logique dans les tours).

Et deux programmes de scène... un d'une heure et l'autre de deux heures (ce dernier est pour moi dans le sens où je l'ai fait pour tourner avec).

John.

Jonathan OLIVA | Facebook | metmanimation.fr

 

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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