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Publié le (modifié)

et bien nous y voilà. Notre première conférence. Mis au courant par Ludovik (de VM), nous voilà parti(t? s?) à la capitale (Dijon) pour une Conférence de Mimosa.

Petit rappel pour tous ceux qui ne sont pas mon chef :

Mon chef au boulot (Frédéric) connait ma passion (retrouvée il y a quelques mois) pour la magie. Un jour, il me dit (au boulot) : Copperfield passe à Paris . KOI ????? (lui dis-je). Je regardes les dates. Il passe à Lyon aussi, ça fait loin. Mon chef m'invite (très sympa mon chef, il a un Aibo ER7 à vendre, si ça vous intérrèsse), direction Lyon, déconnade dans la voiture, expliquage des tours de DC (c'est pas vrai ? il fait comme ça ?) et spectacle de DC (un peu déçu, voir post en rapport).

Tout ça pour vous dire que mon chef, encore plus néophyte que les spectateurs des show télévisuels de Criss Angel, s'est pris au jeu. Je lui annonce début décembre :

"je vais sur un forum de magie - initiales Vm pour ceux qui connaissent - et on m'a dit que Mimosa était en conférence à Dijon

- Mimo qui ?

- Mimosa, le plus grand des grands magiciens-clown-inclassable-programmeur de BDD sur Mac de tous les temps

- On y va.

Et on y est allé....

C'était le vendredi 6 décembre, que je décrirai à mes petits enfants comme le jour où il y a le plus neigé chez nous (jamais vu ça, les flocons faisaits 5-10 cm de diamètre...). Après 3-4 glissade et 4-5 "c'est où au fait cet hôtel - t'as pris l'adresse - ben non - mais je connais" nous arrivîmes.

Ambiance très calme, je reconnais Mimosa au centre de la table. Pas trop de bruit. Pas du tout même. Certains regards de reproches "c'est des magiciens ?".

Repas sans couleurs, à causer boulot. Je note tout de même la présence de Guillaume, plus jeune membre du cercle Robert-Houdin de Bourgogne, super sympa, s'il est sur ce forum ou si Ludovik peut me passer ces coordonnées, ce serait vraiment bien.

Donc, le repas un peu triste. Quelques différents entre membres du cercle. Présentation avec Ludovik (désolé, on a pas eu le temps de discuter, ce sera pour la prochaine fois.

Et enfin : la conférence de Mimosa.

Introduction avec un Chapelet avec un grand C pour une carte à la demande, et dans le désorde (j'en oublie) : les techniques du clown pour faire rire, la carte signée par une spectatrice où que son nom y se retrouve derrière celui du magicien sur la même carte qu'il avait échangée juste avant (quand tu le vois, c'est mieux...) Ce tour est celui que ?????, ce jeune magicien de 21 ans ) a présenté au PGCDM (avec Clara Morgan ?). Superbe.

Un verre qui rebondit comme une balle (magnifique !), un lévitation sur ballai (A. Mayne), un mélange Faro raté, un avalage de ballon très drôle et bluffant, que Majax il a pas aimé, un avion qui fait des bulles, un tour de coupes qui se remplissent toutes seules superbe, un journal déchiré-reconstiuté, et plein d'autres encore....

Conclusion : 2h30-3h de pur bonheur, mon chef a été épaté par le journal déchiré-reconstitué (on bosse dans l'imprimerie, et demuis, il me déchire toutes mes feuilles de tirage...).

Si vous avez l'occasion de voir Mimosa, allez-y.

Modifié par Thomas THIEBAUT

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

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Publié le

Merci M. Sorano pour ce CR qui permet d'entendre parler d'une immese figure de la magie française que l'on ne voit que trop peu...

J'ai eu la chance de pouvoir croiser à plusieurs reprises ce Monsieur et ce fut à chaque fois de grands moments de bonheur. Alors que rien n'était Dû, nous avons conversé ardemment de cette passion que nous Vivons : la magie ! Tout etait Interressant au plus haut point, ses yeux Vivaient la magie, et mes oreilles buvaient ses paroles. Un jour, alors que je Errais dans un lieu où il se produisait, j'ai eu la chance de le voir en public, dans des conditions réelles et difficiles...et pourtant c'est un grand homme de scène que j'ai vu et qui fournit ce jour là un grand spectacle plein d'emotions, de magie, d'humour et de plein d'autres choses...bref rempli au moins autant et de façon inepuisable que ses coupes de talent...

Alors, je me permets de passer un grand coups de chapeau (peut etre devrais je dire beret...) à Monsieur Mimosa...

Si vous avez l'occasion de le voir, courez, si vous n'avez pas encore son livre : courez encore plus vite : c'est une mine d'or !!!!

PS : J'espere que les amateurs d'accrostiche ne m'en voudrons pas pour un clin d'oeil plein d'humour et loin de toute chose malsaine..............

Nikola

www.nikola.fr

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    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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