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Publié le

Salut,

Je cherche une référence pour une technique afin d'en avoir une description précise et pouvoir l'étudier correctement.

C'est un faux mélange total qui consiste à démarrer avec un mélange américain en main, puis de faire le pont en biais pour créer un décalage "side jog" d'une des deux moitiés du paquet, lesquelles sont séparées par une "swivel cut".

Merci

Nico

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Publié le

Il y a un mélange de Lennart Green qui ressemble à ça me semble-t-il.

Publié le (modifié)

Merci Doug,

Je met ça sur un coin de ma liste déjà bien remplie, (on peut toujours rêver d'une prime de stage lol!)

d'autres pistes?

@Beru, je vais également chercher dans cette direction!

Modifié par NicolasPicard
Publié le (modifié)

J'ai trois références qui me viennent qui ressemblent il me semble à ce que tu cherches.

1) Dans la video de Guy Hollingworth "London Collection", il réalise un Triomphe avec ce type de mélange.

2) Le triple DVD de Benjamin Earl "Past Midnight". Sur le DVD 2, il y a un faux mélange assez convaincant, le "Grey Shuffle".

Tu peux en voir la démonstration sur cette video à partir de 2.15 min:

[video:youtube]

3) Benjamin Earl s'est d'ailleurs inspiré d'un mélange de Lennart Green, le "Real Green Shuffle" (certainement celui dont parle Beru) que tu trouveras sur le DVD "Green Magic" vol 4.

Modifié par Thomas THIÉBAUT
Publié le

Avec plaisir Nicolas.

Soit dis en passant, les DVD que je viens de citer sont tous remplis d'excellentes choses.

Donc même si tu achêtes un DVD simplement pour la technique que tu cherches, tu auras à côté de çà de belles choses, certes très techniques à chaque fois mais tellement agréables à regarder.

Maintenant, si tu veux acheter une video simplement pour ce faux mélange, je te conseille la video de Lennart Green car en plus du "Real Green Shuffle", ce volume est consacré entièrement aux faux mélanges.

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    • @Christian DELAMORINIERE Bravo, tu as enfin compris qu’on pouvait orienter les réponses d’une IA, c’est exactement ce que j’essayais de te faire admettre depuis un bail (je n’ai pas vraiment lu le texte que tu as proposé puisque je peux en obtenir un analogue indépendamment sur n’importe quelle IA conversationnelle). L’IA c’est hyper intéressant mais avec ce danger de tomber dans des biais de confirmation.  Par ailleurs je te conseille de regarder cette vidéo proposée par @Stéphane BERTHO qui montre un ex-adepte de thèses alternatives qui a su dépasser ses croyances en luttant contre ses propres apriorismes ; qui sait si un jour tu ne feras pas un virage intellectuel de la sorte ? C’est tout le bien que je te souhaite :     
    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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