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Vous êtes dans la situation suivante : vous avez perdu ad vitam eternam la carte choisie dans votre jeu et vous ne voulez pas passer comme un gros nul aux yeux de votre public qui vous admire.

Voici la solution : amener sur le dessus du jeu un "2", un "3" et un "5".

Dites que vous allez faire appel à une formule mathématique dont vous avez le secret : demandez à votre spectateur de penser à la valeur de sa carte, de multiplier cette valeur par 2 (retournez le 2 du dessus du jeu), puis d'ajouter 3 (retournez le 3 du dessus du jeu), puis de multiplier le tout par 5 (retournez le 5 du dessus du jeu).

Vous devez donner l'illusion que ce sont les cartes que vous retournez qui vous donnent les instructions.

Demandez-lui d'ajouter "1" si c'est un pique, "2" si c'est un coeur, "3" si c'est un trèfle et "4" si c'est un carreau.

Mnémotechnie :

1 : pique (lance)

2 : coeur (2 ventricules)

3 : trèfle (3 feuilles)

4 : carreau (losange à 4 côtés)

Demandez-lui le résultat obtenu et donnez-lui aussitôt le nom de la carte qu'il a choisie.

Méthode :

- si le résultat se termine par 6, la carte sera du pique.

- si le résultat se termine par 7, la carte sera du coeur.

- si le résultat se termine par 8, la carte sera du trèfle.

- si le résultat se termine par 9, la carte sera du carreau.

Retirez "1" au premier chiffre (ou au deux premiers pour un nombre de trois chiffres) : le résultat vous donnera la valeur de la carte.

Exemple : Dame de coeur : 12x2=24, 24+3=27, 27x5=135, 135+2=137. 137 se termine par "7" donc c'est du coeur. 13-1=12 donc une dame.

PS 1 : Oui je sais, c'est pas trop top mais au moins vous pourrez vous en sortir la tête haute...

PS 2 : Vous pouvez avoir sur vous, une carte avec le logo "En cas d'urgence" d'un côté et les instructions de l'autre.

PS 3 : Il y a encore plein d'autres choses à trouver pour une présentation amusante...

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J'ai aussi une technique un peu... comment dire... hasardeuse.

Une fois j'avais fait un tour du monde des mélange, et je ne m'étais pas méfié du spectateur qui m'avait arraché le jeu des mains et l'avait mélangé...

Heureusement, la spectatrice avait serré fort la carte contre elle pour que je ne la voie pas. J'avais quand même une vague idée de la zone où se trouvait la carte.

Donc j'ai pris mon jeu, faces en bas, et j'ai trouvée une carte un peu plus pontée que les autres. Je l'ai tirée, et c'était la bonne !

Tout ça pour dire que lorsque je sais que mon tour est mort, je tente de retrouver la carte au hasard. Au pire, on se plante de carte, et les gens sont contents. Au mieux, on leur fait très très mal.

Mais merci de l'astuce, je pense que je vais retenir ;)

pouf, la signature a disparu ✨

Publié le

"au pire on se plante de cartes" !!!! non de non c'est surment pas une solution

.. cull .; controle.. empalmage : " pas possible que ce soit le deux de pique je ne l'utilise jamais d'ailleurs elle est dans ma poche..

ou encore d'autres solutions comme gérard MAIS vous n'avez pas le droit de vous arreter apres un plantage : show must go on !!

Bruno

Publié le
.. cull .; controle.. empalmage :

Bonne idée aussi, je n'y avais pas pensé. Dans mon cas, je préfère quand même ma solution car la personne a tout fait pour me pourrir mon tour et s'attend donc à ce que le tour foire, et sait que ça sera de sa faute. Comme ça je ne lui ai jamais rien demandé sur sa carte (et je pense qu'elle aurait refusé de me le dire ^^).

Par contre dans le cas d'un "vrai" plantage, avec des spectateurs gentils là ça peut aider.

vous n'avez pas le droit de vous arreter apres un plantage : show must go on !!

Je suis tout à fait d'accord !

"au pire on se plante de cartes" !!!! non de non c'est surment pas une solution

En tout dernier recours, et quand on n'a pas de bonnes idées du style de celles citées ci-dessus, je trouve que si. Si une fois vous n'avez pas retrouvé la carte du spectateur, les gens ne s'en souviennent plus à la fin si le reste est assez fort. Par contre, on n'a le droit le faire qu'une seule fois (voire aucune)...

pouf, la signature a disparu ✨

Publié le

Hum... désolé.

Donc, pour faire simple, voici mon raisonnement en résumé :

Je trouve vos idées pour retrouver une carte qui a été réellement perdue très bonnes, et je pense que je vais les ajouter à mon répertoire.

Par contre, quand on a foiré un tour à cause d'un spectateur, je trouve qu'essayer de retrouver la carte au hasard avec le jeu faces vers le bas est mieux, car d'une part le spectateur sera très réticent à nous donner le nom de sa carte et d'autre part il sait qu'on va se planter. Donc si on arrive à la retrouver dans ce conditions, on a un effet monstre. Et sinon, le spectateur est content, il nous a pourri un tour et nous laissera tranquille par la suite.

Enfin, je pense que ça dépend quand du cadre dans lequel on fait son tour. En situation professionnelle, c'est mieux de faire un effet moindre mais 100% sûr.

pouf, la signature a disparu ✨

Publié le

Bonjour,

Moi, j'essaie soit de forcer la carte même si ce n'est pas utile ou je me débrouille dans en prendre connaissance.

Mais en cas de vrai plantage ..... je demande quel était la carte .

_ "Désoler monsieur mais un de vos ancêtre devait être magicien ...

Votre carte a vraiement disparu, c'était quoi, s'il vous plais ?"

Ensuite, vous continuez votre prestation et comme de bien entendu, cette carte vous pourris la vie .....

Elle revient quand vous ne voulez pas ....

Vous finissez par la remettre dans le jeu ou en poche et elle est toujours la .......

Une maniere de profiter de la situation ....

Le public, lui ne sait pas ou vous voulez en venir .......

Je l'ai fait et ca marche ..........

*************

magie magie ... quand tu nous tiens .....

T. N... L.... P..

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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