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Publié le

Voila une petite interrogation, il faudrait juste tester 1000 fois pour savoir, mais j'aimerais avoir un avis général.

Lorsque que vous désirez révéler la prédiction d'une carte pour un tour : est il plus fort pour l'impact , de révéler en sortant une carte ( de même valeur évidement !) avec dos diffèrent dans un portefeuille par exemple. ou alors de juste sortir un morceaux de papier sur lequel est inscrit le nom de la carte..

Donc pour résumer est il plus "WOauhhh!!" de sortir une carte jumelle ou une prédiciton sur papier...

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

tiens, tiens... ;)

Perso, Antoine, je suis pas certain que ce soit très différent au niveau de l'impact. Par contre,ce qui est parfois sympa, c'est de mettre une fausse prédiction (par ex une carte avec 52 index ou un joker), pour finalement dévoiler la vraie prédiction ailleurs.

Publié le (modifié)

Ah une sacré bonne question! Je pense ne pas trop m'avancer en disant que le contexte influence beaucoup la réponse...

On peut poser les "pour" ou "contre" selon les situations (ceux-ci sont purement personnels et je ne prétends pas avoir raison)

Pour une carte:

. Une carte est plus visible et on en garde plus facilement une image.

. Si c'est pour un spectacle, la prédiction peut être une carte dans une enveloppe (après, pourquoi la garder dans une enveloppe...).

. La carte retrouvée permet de rebondir sur un autre effet.

. Si la carte est retrouvée dans le portefeuille, d'autres effets sont possibles: transposition, retour en arrière à la Kurtz...

Pour le papier:

. Pourquoi se balader avec une carte dans le larfeuille...? ben oui, c'est quand même un jeu de perdu quand on n'est pas magicien.

. C'est plus logique d'avoir un papier dans un portefeuille qu'une carte à jouer.

. Peut être plus facile à "amener"

. Enlève un côté supplémentaire "tour de cartes" et l'idée de manipulation

. Beaucoup plus bluffant (puisque situations plus normale qu'une carte)

Attention, je ne remets pas en question l'utilisation du portefeuille, bien au contraire. L'image forte c'est que celui-ci est dans un endroit inaccessible et qu'on ne peut pas bidouiller.

Le portefeuille me sert beaucoup en situation "impromptue" pour le spectateur. Si je suis posé et là pour cela, je vais MOINS m'en servir (si j'ai une prédiction à faire, je la laisse sur la table ou je la fais ET la mets devant tout le monde dans le larfeuille, que je peux remettre en poche pour ne pas qu'on me le pique)

Mince, je divague sur des réflexions futile sur l'utilisation du portefeuille, désolé. Bis'

PS: Le dvd de la conf' de JLB ne prend pas trop la poussière...? ;) Merci d'y penser.

Modifié par Monsieur M
Publié le

Disons que cela dépend du Climax que tu donnes a ton effet...

Bon c'est pas d'une grande aide, mais c'est juste pour dire qu'il y aura autant de réponse différentes que de magiciens...

Le mieux pour toi ! Test les deux en fonction de ta routine et garde le final qui fonctionne le mieux auprès de ton publique...

Amitié à toi

Publié le

Je pense qu'il ne faut pas dévier encore plus Geoff, un sujet sur les différents types de révélations pourrait (serait) passionnant mais là n'est pas la question posée par antoine.

Si c'est une prédiction sur un papier, tu peux l'écrire devant tes spectateurs, comme une vision. Si c'est un dupli de carte, tu peux etre confronté à: donc je pouvais pas choisir une autre carte... ou alors vous avez toutes les cartes dans votre portefeuille (l'une des 2 issues est plus simple à déjouer).

Je viens de lire une très belle idée dans "frissons magique" de Duraty, routine "carte au portefeuille" détail en MP (Forum général oblige).

Je suis un grand amateur de carte au portefeuille mais pas pour y avoir une prédiction... plus délicat à justifier. C'est en effet comme dit précédemment une question d'ambiance de la routine et de la nature du climax (préferer un rebondissement, ou double climax, qu'une "simple" prédiction.

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

Invité lancelot
Publié le (modifié)

(sur le "hors sujet" : se souvenir du tatouage ventral de Red Mc Clintock, et l'énorme sketch qu'il en tire...)

Il faut se replacer, à mon avis, dans l'optique du spectateur. Bien souvent, pour lui, le magicien évoque, quelque part, culot, chance, à peu prés... Il se donne ainsi une sorte de porte de sortie : ça "aurait pu" raté. Le spectateur a du mal à intégrer que le tour fonctionne SYSTEMATIQUEMENT, à chaque fois et... inévitablement. C'est d'ailleurs ce qui différencie un tour d'un coup de pot, c'est ce qui le rend magique, en fait...

Dans ce type de raisonnement, une carte sortie d'un portefeuille ou un papier avec le nom d'une carte, cela peut donner lieu à quelque chose comme : "oh ben des portefeuilles, il en a plusieurs... pas 52 bien sûr, mais plusieurs et ça lui suffit, pour peu que j'ai pris une des bonnes cartes, sinon il aurait fini par autre chose". Donc, pour moi, si une carte doit être sortie d'un portefeuille, elle doit être absolument différenciée par le spectateur auparavant, être unique, signée par exemple.

La prédiction sur papier devrait être reservée à des choix beaucoup plus large que celui d'une chance sur 52. En ce sens, le fait que dans l'esprit des spectateurs on ne puisse absolument pas "écrire" sur le papier en si peu de temps et de maniére cachée renforce l'effet prédictif. Et à la différence de la carte, qu'il "suffirait" de glisser dans le portefeuille, là, il faudrait écrire PUIS ensuite glisser le papier dans le portefeuille.

En résumé :

- une carte SIGNEE : "comment le magicien a-t-il pu la mettre dans son portefeuille sans que je le vois, par quel miracle cette carte s'est téléportée ?"

- un papier : "Comment le magicien savait-il A L'AVANCE ce qu'allait être mon choix ?"

Bref, il sagit de deux effets de magie différents, relire Robert-Houdin...

Et donc, je trouve personnellement "faible" pour le spectateur l'effet d'une carte lambda dans un portefeuille. Un papier avec "monsieur Dupont choisira aujourd'hui, vers 16h, le cinq de tréfle", cela à plus de gueule.

Modifié par lancelot
Publié le

Je partage tout a fait on avis lancelot, sauf qu'une carte au portefeuille n'est pas de l'ordre de la prédiction... et qu'une prédiction comme celle que tu propose apporte évidemment quelque chose à l'effet.

Pour étayer mon précédent message, je vais dévoiler la nture de l'effet de Duraty dont je parlais: 2 cartes sont choisies, la première est remise dans le jeu, la seconde est signée puis perdue dans le jeu. Le magicien sort son portefeuille dans lequel on voit l'idex d'une carte qui déborde d'une pochette et de l'autre le tarot d'une carte dans une pochette transparente...

Sans entrer dans les détail la première "représente" un dupli de la 1ère, et la carte dont on voit le tarot est la carte signée.

Ce qui est interressant dans cette routine c'est que Duraty présente la première carte comme un "dupli" de la 1ere et la 2eme aussi... tellement "réaliste" que meme la signature est dupliquée...

Tout dépend de l'impact recherché sur les spectateurs.

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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