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Publié le

bonjour,

j'ai du mal à gérer dans les restaurants les longues tables de 10 personnes ou plus.

Quand les tables sont rondes y'a moins de soucis mais quand elles sont longues c'est beaucoup plus difficiles de contrôler toutes les personnes et de maintenir toute leur attention.

j'ai l'impression qu'il n'y a que les personnes qui sont proches de moi qui suivent et celles du fond qui bavardent parce qu'elles ne se sentent pas concernées.

Qu'en pensez vous?

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Publié le (modifié)

Il faut que tu la fasse en 2 temps , moi je préviens la seconde moitié que je passerai après car il ne pourront pas suivre d'ou ils sont , bon certains regardent mais c'est pas grave , à ce moment là tu ne fais pas exactement la même chose pour les autres , ou bien tu fais de la magie verticale que tout le monde peut voir, moi perso je n'aime pas trop car même les autres tables regardent aussi ! l'ideal ce sont comme tu le dis les tables rondes !

Tu parles de table de 10 , mais en Cabaret comme au Cesar Palace à Paris les tables mises bout à bout font bien 50 personnes à chaque rang !Remarque c'est une bonne école , au moins après tu sais gérer.

Modifié par Danilsen
Publié le

"attaque" la table aux 2 extrémités et fait participer au maximum en interpellant les gens, monte le volume de ta voix d'un cran, et essaye de choisir des effets qui ne se font pas sur table afin que tout le monde puisse bien suivre.

Je ne sais pas si ce sont de bons conseils, mais c'est ce que je fais...

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le

Chacun sa technique ! mais je peux te dire que si tu hurles toute la soirée tu seras vite épuisé ! moi je fais tout l'inverse !

j'attaque a un bout et même sur la table justement et je baisse la voix pour que seulement ceux concernés puissent suivre !

après je fais l'autre extrémité !

La Magie verticale , c'est bien mais comme tout le monde en profite en même temps il te faut plus d'effet ! et quand tu a 2 heures à faire !!!

Publié le

Perso,je fais comme Spiouf!

Je monte le son et fait des routines assez visibles,et sans utiliser la table!

Sinon,lorsque les gens ne mangent pas ils ont le reflexe de ce poussé de la table pour pouvoir se mettre a leurs aises et je me faufile entre eux,comme ça je ne suis pas en bout de table mais au milieu!

Mais c'est pas evident car les gens peuvent mal prendre le fait qu'une personne vienne interagir entre elles.

"C'est dans sa forme pure qu'un art frappe fort." [Robert Bresson]

Publié le (modifié)

Pourquoi vous obstinez-vous à faire des tours que personne ne voit ?! Faîtes une zig-zag et y aura plus de problème ! :whistle:

Pour être plus sérieux, c'est marrant, moi, pour une table rectangulaire d'environ dix personnes je me serai positionné au milieu d'un grand côté... de cette façon, j'ai deux personnes à ma gauche, deux à ma droite, une à chaque extrémités et 4 face à moi... ça ne me paraît pas insurmontable, mais bon, je ne fais pas de close-up, alors je dis peut-être des bêtises ?! :confused:

Modifié par Fred SILHOUETTE

Mon avis, n'est que mon avis, mais le restera toujours...

Fred SILHOUETTE

On n'a pas deux fois l'occasion de faire une bonne première impression. Lancelot

Publié le
Le plus dur pour moi c'est de captiver tout le monde lors de son tour d'entrée lorsque l'on officie avec toute la table !

Peut être en achetant un plus grand portefeuille en feu?

Circulez !

Publié le

bonjour,

Moi je rejoint aussi Danilsen...

Je préfère le faire un deux temps que de me casser la voix et ne plus en avoir pour le reste de ma presta.

Cela dit il m'arrive de faire une interaction entre les deux extrémités ou même entre deux tables, (carte choisie qui téléporte, etc)

Ou si je vois qu'ils me regardent dejà, j'arrive près deux et leurs disant que je passe dans quelques minutes...

Magicalement

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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