Concernant DC, pour moi, la death saw est une des grandes illusions les plus parfaites au niveau technique et mise en scène, et je pense qu'avec le flying, elle fait partie du top de ce que l'on peut faire.
DC a eu l'art et la manière de faire s'interroger les plus septiques pendant plusieurs années, et sans internet, il est probable que le truc serait resté inconnu même des magiciens les plus médiatiques.
La force de DC sur ces deux illusions est de contrer les meilleures solutions logiques.
Pour la death saw, on pense au fameux double fond, mais qui n'existe pas.
Pour le flying, les fils invisibles semblent exclus par les différentes phases du tour. Du grand DC, de la grosse, grosse grande illusion.
On aime, on aime pas.
Moi, j'aime, au risque de me faire taper sur les doigts (un jeu de carte, c'est plus magique que toutes les grosses boites, etc. On a déjà polémiqué pas mal là dessus sur VM, mais ce n'est pas parce qu'on joue du Molière que l'on a pas le droit d'aimer "Ma femme s'appelle Maurice". Habile digression de ma part pour tuer dans l'oeuf les éventuelles attaques des puristes !).
Le DC que je m'attendais à voir à Lyon lors de sa dernière tournée m'a un peu déçu après ce qu'il nous a montré dans les années 80/90.
La disparition de la caméra par Paul Daniels est pour moi un petit bijou d'invention.
C'est