Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

[Réflexion] Internet et Baisse des Prix


Gérard MERCIER

Recommended Posts

même si internet a fait baissé le prix des cachets (personnellement je n'en suis pas persuadé), il faut aussi se demander combien internet a rapporté de cachets supplémentaires. Je pense que le bon calcul est là. Je ne vis absolument pas de la magie mais je suis commercial. Entre 6 cachets à 500€ et 10 à 400 €, quelle option prends-tu ? sachant que la différence du montant ne représente pas un travail moins bien fait, mais seulement parce que le marché veut ça. Juste une réflexion personnelle...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 25
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Vaste débat...

J'entends souvent parler de prix "du marché".

C'est ridicule : il n'y a pas de prix du marché,

il y a des prix selon chaque artiste. Chacun

est libre de facturer comme bon lui semble.

Si votre client ne vous prend pas à votre prix, laissez

tomber, surtout si vous estimez valoir ce que vous

demandez. C'est votre temps que vous vendez.

Après, si un même client signe pour plusieurs contrats,

là oui on peut tout à fait négocier. Mais pour ma part

c'est une erreur :

- de se brader

- de s'adapter à un budget.

Internet est pour moi un excellent moyen de

communication. La concurrence dans ce métier

est plus rude qu'avant, c'est évident mais à la

limite plus les gens auront de choix, plus ils

pourront comparer.

Donc est-ce qu'Internet baisse les prix ? Pour

y répondre il faudrait déjà avoir une base de

prix et comme il n'y a aucune règlementation

c'est difficile de se prononcer, non ?

Je crois qu'il est normal qu'une personne débutante

soit moins chère qu'un confirmé. On est tous passés

par là.

C'est normal aussi qu'un semi-pro soit moins cher

car souvent il ne connait pas les prix pratiqués. Il

y a bien sûr des personnes qui travaillent au black mais

dans l'ensemble je crois que les magiciens tentent

de faire de leur mieux. Tout au plus, il manque une

certaine culture du spectacle. Et je ne sais pas pour

les autres professionnels, mais il a bien fallu qu'on

commence un jour...

Et vive Internet !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il

y a bien sûr des personnes qui travaillent au black mais

dans l'ensemble je crois que les magiciens tentent

de faire de leur mieux. Tout au plus, il manque une

certaine culture du spectacle.

Je ne veux pas lancer de polémique sur le black, mais tu semble dire que s'ils travaillent au noir, c'est parce qu'ils n'ont pas la culture du spectacle, alors que dans ce milieu le black est trés présent. Je vois autour de moi les éclairagistes, les preneurs de son, les DJ, les chanteurs et musiciens font plus de 50% de leurs boulot au black. Je suis désolé, mais c'est une réalité... et il faut la changer.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ouais d'ailleurs je pense à un truc dit dans le livre de Stone ; sur le fait que l'on puisse se faire payer juste au pourboire, si vous êtes de ce cas là ou pas , déclareriez-vous vos pourboires aux impôts ? quelque part cela pourrait faire du black sans pour autant faire du black ! Lol.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petites infos sans commentaires ni prise de position.

La loi fiscale est très claire sur le sujet :

Les pourboires doivent être dans tout les cas déclarés dans les revenues (l'exemple est pris pour les ouvreuses, mais cela reste valable pour toute personne ayant une rémunération au pourboire)

Oui c'est vrai , faut faire un justificatif de la personne qui donne un pourboire alors , en gros ça joue vachement sur la franchise :o

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
    • Le livre sur le pouvoir de la narration magique (que je lis actuellement) offre un certain nombre de méthodes, considérations, exemples qui rentrent effectivement dans le storytelling.  Je suggère à celui qui serait intéressé le livre de Nancy Duarte "Vibrations" : (Vibrations: Transformez vos présentations en histoires visuelles pour captiver et conquérir votre auditoire : Les secrets des plus grands orateurs).  Un ouvrage très agréable à lire, très illustré et apportant de nombreuses illustrations de ce storytelling (avec chaque fois une analyse de la structure) : discours de Reagan après le drame de Challenger, Steve Jobs, Martin Luther King, une conf de Richard Feynman sur la physique,... On y parle de "présentations" en tressant le parallèle avec la dynamique de la musique : le rythme, les moments forts, les règles à respecter... des analyses qui sont parfaitement cohérentes  avec le livre ci-dessus. Notre approche du "Story telling" doit s'inspirer de multiples sources (pas nécessairement magiques) car l'art et la "manière de raconter une histoire" est en définitive universel et s'applique à toutes sortes de circonstances.  Le livre Scripting Magic de Peter Mc Cabe (Vanishing Inc.) m'est aussi d'une grande aide : beaucoup d'exemples appliqués à la magie avec le détail du discours associé et l'explication de la plupart des tours. Excellent !   
    • Effectivement, modifier la préparation peut solutionner le problème ^^ Mais j'aime bien comprendre en 1er lieu la description de l'auteur, et ensuite si besoin, trouver des alternatives. Clairement pour Daortiz, il a amené ce genre de style à un tel niveau...c'est l'autre extrémité de celle du magicien tiré à 4 épingles avec une gestuelle millimétré Merci encore, et effectivement le principal est de s'approprier les tours, après tout c'est comme ca que chacun d'entre eux ont évolué !

  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
    • Aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8177
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Darwin SANH
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.6k
    • Total des messages
      677.7k

×
×
  • Créer...