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Bonjour, je chercherais un outil (pas l'intercessor de BLOOM), une technique spéciale ou une carte gimmick ou lorsqu'on déchire la carte en deux et qu'on jette un des deux morceaux, le morceaux qu'on fais réapparaitre correspond a l'autre morceau (j'galère a expliquer mdr)

merci

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Mon tour préféré pour ce genre de tour c'est Angle Z de Daniel Madison: 

Tu déchires le coin d'une carte tu le fais disparaître et le coin apparaît où tu veux. Of course le coin correspond parfaitement à la carte déchirée !

Le plus beau? C'est sans gimmick et impromptu mais ça demande d'être un peu "[grossièreté]u"

ça fait partie depuis des années à mon répertoire et ça a toujours été un grand succès

Publié le

J'aurais également répondu angle Z de Madison dont j'use et abuse depuis longtemps. 

Je pense que tu cherches une technique un peu différente où tu peux détruire physiquement le coin coupé et le faire réapparaître plus tard/ailleurs... Et que ce coin corresponde parfaitement à la carte déchirée. 

C'est réalisable, je n'ai pas de nom de routine en tête, mais la solution la plus simple étant un change de coin: tu prépares un coin dont tu disposes au moment nécessaire. Tu as une carte choisie, tu déchires un coin (de façon à ce qu'il ressemble à celui déchiré au préalable), tu fais un change (Shuttle, regard croisé...) Tu détruis celui-ci. À toi de trouver une révélation qui te convienne du coin original.

Il y a aussi une technique qui te permettra de faire un coin identique dans 2 cartes et du coup pouvoir prévoir l'emplacement de ta révélation avant de déchirer la carte choisie (mais elle doit être forcée contrairement à la méthode précédente)

J'attire juste ton attention sur le fait de détruire physiquement l'angle pour le retrouver ailleurs... Quel est le cheminement magique pour le spectateur ? Si l'angle est indubitablement détruit puis qu'il est retrouvé... Je crains que le spectateur ne se doute qu'il y ait 2 angles, ce qui relève plus du truc que d'un effet Magique. 

Dans angle Z c'est une disparition... Puis une réapparition. L'effet est simple à suivre : une carte choisie, l'angle est déchiré, il disparait, et est retrouvé dans un endroit impossible. 

 

 

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Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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D'ailleurs rien ne t'empêche d'avoir un coin d'une carte duplicata en main quand tu fais Angle Z pour rajouter du réalisme, même si je pense que ce n'est pas nécessaire.

Publié le (modifié)
il y a 1 minute, chabouns a dit :

Mais je cherche plus tot la carte qui est déchiré en deux et pas juste un coin

Si tu plies une carte en deux, quel intérêt ? La découpe n'est plus aléatoire et une simple moitié duplicata suffit.

Modifié par Invité
Publié le
Il y a 1 heure, Alex' a dit :

Si tu plies une carte en deux, quel intérêt ? La découpe n'est plus aléatoire et une simple moitié duplicata suffit.

C'est clair que si le pli est précis, la duplication est plus simple. :)
Je ne vois pas trop l'intérêt du coup... 

Par contre il y a d'autres choses à faire avec des moitiés de cartes différentes (y'a quelques sujets qui en parlent ces derniers jours).

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

Publié le
Il y a 14 heures, Alex' a dit :

Si tu plies une carte en deux, quel intérêt ? La découpe n'est plus aléatoire et une simple moitié duplicata suffit.

nn le truc c'est que j'ai vu un magicien découper une carte en deux, avec une découpe aléatoire (ce n'étais pas droit) et il a fais réapparaitre le morceau correspondant. Mais je viens de voir angle Z sa a l'air vraiment pas mal :)

Publié le
Le 08/05/2017 à 12:44, chabouns a dit :

nn le truc c'est que j'ai vu un magicien découper une carte en deux, avec une découpe aléatoire (ce n'étais pas droit) et il a fais réapparaitre le morceau correspondant. Mais je viens de voir angle Z sa a l'air vraiment pas mal :)

Je pense que tu as vu Jean Luc Bertrand . Il le fait effectivement avec une découpe droite du tiers de la carte, et il retrouve les trois quarts de la carte dans une cigarette ou dans un stylo (pour les deux versions que je l'ai vu faire de ce tour

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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