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Nouvelle réunion :D

Thème: Tours libres

Quand ? Ce mercredi 01/02/2017 à 20h précise

Où ? « Le Théâtre à Denis » Rue Sainte Marguerite, 302. 4000 Liège

Contact possible ici en message privé durant la journée

ou un p'tit coup de téléphone au président: Joseph Messina : 0476.98.36.98

Comment ca se passe ? o.O

Nous arrivons un peu avant 20h afin de discuter entre nous et d'en profiter pour boire un petit café. 9_9

20h précise, le Président ouvre la séance avec les informations a communiquer aux membres (nouveautés, brocantes, conférences ...)

Ensuite les volontaires pourront présenter les tours qu'ils désirent. Habituellement nous faisons une pause à la buvette quand la moitié des tours ont été présenté. 

La dernière partie de la soirée se déroule aux tables de la petite buvette où nous pouvons discuter magie ou tout autre chose. On y montre les dernières techniques travaillées, les subtilités, on y discute des derniers achats ...

N'hésitez pas a venir nous faire un petit coucou, l'ambiance est très conviviale et on n'a jamais mangé personne :o... jusque là xD

Les nouveaux peuvent venir se présenter au club lors des séances "tours libres". donc justement ce mercredi !! :D

 

 

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Croire ou ne pas croire, cela n'a aucune importance
Ce qui compte c'est de se poser de plus en plus de questions
Edmond Wells

3Draco

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  • 2 weeks plus tard...
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Ça c'est un regard de tueur ! :D

Mais n'ayez pas peur, il est doux comme un agneau notre président ;)

 

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Edmond Wells

3Draco

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Brian ouvre le show en nous montrant une petite application de Gsm qui permet de changer le dessin, le mot, la carte qu’il y a sur l’écran simplement en retournant  le Gsm vers la droite, la gauche, vers le bas ou le haut entre deux spectateurs …

De belles applications possibles pour créer une double réalité.

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Guy  laisse Julian choisir une carte qui la signe. (Ben oui c’est un roublard notre Guy , on va pas lui faciliter la vie non plus hein :D ) . Apres quelques mélanges, celle-ci disparaît du jeu pour se retrouver dans le portefeuille.

 

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Edmond Wells

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Julian se venge alors en lui demandant d’être le Cobaye de son prochain tour.  Il laisse tomber des paquets de cartes sur la table et Guy stop à son bon vouloir. Pouvant prendre la carte du dessus du paquet, celle sur le jeu, ou celle d’après … il est fort pour nous embrouiller et nous rouler quand même le Julian ! Quelques petites passes et 3 As apparaissent les uns après les autres, les déposants à côté de la carte choisie par Guy. Ce qui serait génial c’est que la carte choisie soit l’as manquant ! Pas de chance c’est une figure. Qu’a cela ne tienne, les as sur la table se sont transformés en figures, correspondant à la carte choisie. Les 4 as réapparaissant en sautant du paquet.

Il s’ensuit une petite démonstration de triche.

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Edmond Wells

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Joseph invite deux spectateurs, chacun choisissant un jeu de carte (bleu ou rouge). Ce sont Brian et Quentin qui s’y collent.

Brian choisi une carte qu’il garde seul en mémoire … facile il n’y a que des cartes blanches.On lui demande alors de dessiner la carte de son choix puis de la perdre dans le jeu. Une fois celui-ci mélangé Joseph demande à Quentin de désigner une carte de ce même paquet blanc. Coup de bol ?! C’est la carte dessiné par Brian. S’ensuit une petite phase de carte ambitieuse. Prenons maintenant le jeu que Quentin avait choisi. Il y a une et une seule carte retournée dans celui-ci … la carte correspondant à celle dessinée par Brian !

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René invite Joseph à mélanger le jeu. Quentin va en retirer 20 cartes choisies au hasard ou non, selon son choix. René montre ensuite des séries de 4 cartes à divers spectateurs, retenant chacun une carte mentalement. Apres quelques manipulations notre René va retrouver les cartes choisies mentalement.

 

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Edmond Wells

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Je clôture la séance en présentant « l’Addition Ultime » de Luke Jermay  présentée dans son ouvrage Anthologie partie 2, volume 3.

Apres avoir demandé à quatre spectateurs de venir s’assoir auprès de moi, je leur demande d’inscrire un chiffre sur un bloc note. Ce chiffre doit avoir un rapport fort avec leur vie. Ne voulant pas savoir le chiffre noté, je leur demande simplement ce qu’il représente à leurs yeux. Par exemple la date de naissance de leur fils. Je demande alors au reste du public de noter aussi la date de naissance de leur enfant ou bien une date importante comme l'obtention de leur diplôme s’ils n’ont pas encore sauté le pas. Les quatre spectateurs choisissent donc 4 chiffres différents ayant un rapport différent mais important pour eux. Les spectateurs notent les chiffres correspondant eux aussi. Le bloc notre est tendu à un mathématicien qui va alors faire l’addition des 4 chiffres choisies par les quatre spectateurs. Nous obtenons un résultat. Une grande enveloppe était à la vue de tous depuis le début de la séance, nous ouvrons celle-ci, le résultat prédictif de l’addition est correcte. Mieux encore ! Chaque spectateur va additionner ses propres chiffres et tomber encore une fois sur le chiffre prédit.

Merci Mr Jermay !!

Modifié par 3draco

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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