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Publié le
Effectivement tu as eu beaucoup de chance ;-)

Pendant de nombreuses années j'ai cru aussi que la routine de Ross se faisait avec 3 anneaux (à cause de son livre et de la video).

Sa routine avec 4 anneaux a été expliquée en détail dans les dvd de Levent (qui entre parenthèse sont une mine d'or sur le sujet). Malheureusement cette routine requiert des anneaux très spécifiques qui coûtent excessivement cher ... ce qui explique pourquoi si peu magiciens la pratiquent.

Tu aurais les références de ces DVD s'il te plait?

D'avance merci.

Publié le

tu es du 92... je pense qu'un petite visite dans la plus vielle boutique de magie du monde sera utile tu y trouveras un grand Spécialiste des anneaux en la personne de Quoc Tien Tran, qui je suis sure te donneras d’excellent conseil.

Membre du MCR (Magicos Circus Rouennais)

www.ykaj-lemagicien.fr

  • 4 années plus tard...
Publié le

Hello all, 

Je déterre le sujet ayant repris mes petites manips d'anneaux chinois petite taille.

Je maîtrise la routine de Shoot Ogawa mais je trouve qu'il manque un petit quelque chose pour la rendre parfaite.

J'ai regardé la routine de Messado sur YT et je n'ai pas été convaincu de la valeur ajoutée de ce dernier à la routine d'Ogawa (ou plutôt de Masahiro Yanagida, rendons à César ... ) 

Il semble que la routine de Ross est à exclure pour le moment, du fait d'absence de matos requis.

Quels seraient les autres supports d'inspiration? 

"Le magicien est intrinsèquement contradictoire:

Il doit faire croire que rien ne se passe quand tout se passe et que tout se passe quand rien ne se passe" NB

Publié le
il y a 3 minutes, Nissim a dit :

Hello all, 

Je déterre le sujet ayant repris mes petites manips d'anneaux chinois petite taille.

Je maîtrise la routine de Shoot Ogawa mais je trouve qu'il manque un petit quelque chose pour la rendre parfaite.

J'ai regardé la routine de Messado sur YT et je n'ai pas été convaincu de la valeur ajoutée de ce dernier à la routine d'Ogawa (ou plutôt de Masahiro Yanagida, rendons à César ... ) 

Il semble que la routine de Ross est à exclure pour le moment, du fait d'absence de matos requis.

Quels seraient les autres supports d'inspiration? 

Matthew Garrett Ninja+

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    • @Christian DELAMORINIERE Bravo, tu as enfin compris qu’on pouvait orienter les réponses d’une IA, c’est exactement ce que j’essayais de te faire admettre depuis un bail (je n’ai pas vraiment lu le texte que tu as proposé puisque je peux en obtenir un analogue indépendamment sur n’importe quelle IA conversationnelle). L’IA c’est hyper intéressant mais avec ce danger de tomber dans des biais de confirmation.  Par ailleurs je te conseille de regarder cette vidéo proposée par @Stéphane BERTHO qui montre un ex-adepte de thèses alternatives qui a su dépasser ses croyances en luttant contre ses propres apriorismes ; qui sait si un jour tu ne feras pas un virage intellectuel de la sorte ? C’est tout le bien que je te souhaite :     
    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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