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Publié le

0n peut aller un peu plus loin avec la meme feuille avec 4 cartes forcées : 8 coeur, 8 pique, 4 carreau, 5 carreau.

Ce qui permet de le faire à 4 tables différentes, ou les 4 à la meme table à 4 spectateurs différents (je préfère cette version et je prends dans ce cas-là une feuille de journal)

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Publié le
sacré spiouf dire que j'avais appris ce tour il y a..

J'ai bien précisé que l'idée de retrouver la carte en découpant la feuille n'est pas de moi et que je l'ai vue dans un vieux livre de magie. J'ai simplement eu l'idée du contrat d'assurance qui est une facon de présenter l'effet mais qui n'est pas la seule.

En tout cas merci à tous, il semble que cette routine en a séduit quelques uns ;)

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le

je te remerciait de m'avoir rappelé ce tour spiouf c'est tout

quant à jimi pascla il devrait nous faire un descriptif du découpage pour les autres cartes surtout à pique

WINFRIED

Publié le

quant à jimi pascla il devrait nous faire un descriptif du découpage pour les autres cartes surtout à pique

Ce découpage est décrit en détail par Duraty dans son livre TAG (p. 56, "3 cartes à la une !").

Il crédite pour cet effet Tonny Van Dommelen pour son effet "Front Page Cards" qu'il présenta au congrès internationnal d'Amsterdam en 1955...

Publié le

C'est pas une routine mais un petit gag que j'utilise de temps en temps et qui surprend toujours les pescateurs...

Je le mets dans le forum général car c'est pas un secret à se rouler par terre...

Vous prenez une feuille A4 et une feuille de papier journal (voire même une double page de journal) et vous demandez aux spectateurs combien de fois, à leur avis, on peut replier la page A4 sur elle même ( en 2, en 4, en 8 ...), ils vous répondront 10/12 fois, et la feuille de journal ? 20/30 fois... eh bien faisons l'essai, en donnant à deux spectateurs les feuilles... un fois, deux fois, trois, quatre, cinq... six .... et en forçant fort sur les doigts sept mais c'est très dur et c'est impossible d'aller plus loin et cela vaut pour les deux feuilles et cela vaudrait même quelle que soit la taille de la feuille... les matheux auront compris le pourquoi de la chose... les autres vous en avez rien à f... le principal c'est que ça marche à tous les coups. Des fois je rajoute une feuille de papier à cigarette donc trois spectateurs et bien évidemment c'est pareil...

Pour ceux qui ne connaissaient pas essayez c'est surprenant...

Bizzzzzzzzzzz

M M

Publié le

Oui c'est très surprenant. En prenant une feuille d'épaisseur 0.1 mm après l'avoir plié 30 fois en deux on obtiendrait une épaisseur de .... (roulements de tambour).... 107 km !!!! Oui oui j'ai bien marqué des KiloMetres.

Pour ceux qui restent septiques faites donc le calcul. ;)

Au bout de 10 fois : 10cm

Au bout de 12 fois : 40cm

Au bout de 15 fois : 3m

Au bout de 20 fois : 105m

Au bout de 25 fois : 3km

...

Au bout de 50 fois : 112 millions de km

tongue.gif

Le calcul : (épaisseur) * 2^(nb de pliages)

Dans le même registre : prenez un échiquier (64 cases), essayez de placer un grain de riz sur la 1ere case, 2 sur la 2eme, 4 puis 8 puis 16... Vous risquez de manquer de riz avant la fin, puisque sur la 64eme et derniere case il faudrait 9 milliards de milliards de grains de riz (9*10^18). :grin:

Pastek

  • 3 weeks plus tard...
Publié le

En 1947, le magicien américain George McAthy avait créé "Mandroop's Pasteboard Policy", un contrat d'assurance permettant de retrouver une carte choisie par un spectateur. Il terminait en ouvrant ce contrat qui portait l'impression de la carte choisie !

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''"humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de D.BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 : "I may be alone in thinking about this, but in a craft building on foundations of untruth, it is a worthwile occupation to seek to bring it to a place of honesty."
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