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Publié le

Une petite question au niveau sonorisation. Etant donné que je ne fais qu'une trentaine de spectacles par an et que je ne souhaite pas investir de grosses sommes, je suis à la recherche d'une petite sono portable (pouvant convenir pour des salles comportant maximum 200 à 300 personnes). Quelqu'un pourrait-il me conseiller sur la puissance de la sono pour ce type d'utilisation ? Est-ce que 50 watts sont suffisants ? J'ai vu une sono portable "TRAINY CD" sur batterie. Quelqu'un connait-il ce genre de matériel ? Qu'en pensez-vous ? Merci d'avance pour vos réponses car je suis néophyte en ce domaine.

NIRAG

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Membres les + Actifs

Publié le
Est-ce que 50 watts sont suffisants ?

A mon avis, si tu veux faire une boum dans ton garage, c'est pil poil ce qu'il te faut !

Je pense qu'avec une sono de 2 X 350 W, tu es tranquille et peux t'adapter à pas mal de salles. Mais je ne suis pas expert non plus, c'est seulement ce que j'utilise...

Mon avis, n'est que mon avis, mais le restera toujours...

Fred SILHOUETTE

On n'a pas deux fois l'occasion de faire une bonne première impression. Lancelot

Publié le (modifié)

- Ce qui gêne dans ta question c'est le mot "portable", cela signifie-t-il que ta sonorisation doit avoir une alimentation autonome pour des spectacles de rue par exemple ?

- Pour de petites salles il te faut au minimum une puissance de 2 X 200 watts RMS, 2 X 350 c'est la sécurité, idem pour les enceintes.

Le rendement de l'enceinte (db) est un autre facteur a ne pas négliger , le résultat final dépend de lui !

Il est important aussi que tu choisisses des enceintes de bonne qualité sonore donc, écoutes les avant d'en faire l'acquisition.

Tu peux également choisir des enceintes en ABS qui sont beaucoup plus légères et moins encombrantes que celles en bois.

Perso, j'utilise notamment des Fostex, 450watts efficaces par enceinte, poids 9kg, c'est super.

Un mix amplifié est aussi une bonne solution pour débuter, c'est fiable et pas onéreux (environ 400€).

Un magazine de référence a acheter avant de faire ton choix final : Sono Mag.

Modifié par Don José de Murcia

Don Jose de Murcia

www.donjosedemurcia.com

Publié le

Merci Don José de ta réponse. Je suis néophyte et me suis donc mal exprimé. Lorsque je dis "portable" je ne pensais pas autonome avec des batteries car jusqu'à présent j'ai toujours travaillé en salle, je pensais au "poids" et donc je recherche de préférence quelque chose d'assez "compact" plutôt que 36 appareils ou un gros truc de 200 kilos !!!!! Je vais te poser une question idiote mais tant pis !!!! Pourrais tu me donner un ordre d'idée de prix qu'il faut compter pour acheter un ensemble comme tu parles (prix global avec ampli, micro et enceintes, etc....) Merci d'avance. Bien magicalement.

NIRAG

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Publié le

salut

je penses que pour toi le meilleure compromis c est deux enceinte amplifiées en abs de 250W à 350 w

Attention au sous marque car souvent c est moins bon

Il te reste juste a rajouter un epetit table de mixage Yamaha fait des produits super et pas cher

sono mag c est effectivemet une bonne idee

mais le mieux tu vas voir plusieurs vendeur de sonon dans ta region et surtout tu ecoute car c est la seule solution

Un dernier conseil il faut savoir investir pour gagner de l argent

robby

Publié le (modifié)

- Prévoir environ 1500€ pour un ensemble complet, léger (23kg environ)et de bonne qualité.

- Tu as également l'option enceintes amplifiées, le prix total est sensiblement identique et c'est pas mal du tout (j'ai aussi du Montarbo amplifié, sans soucis).

- Concernant le sonorisateur prestataire c'est une solution beaucoup plus onéreuse que j'utilise pour les salles de plus de 1000 personnes. A noter que sonorisateur ne signifie pas régisseur compétent, d'où l'intéret d'être autonome dans la majorité des cas.

- Par mail privé je t'envoie les coordonnés d'un magasin spécialisé et sérieux qui propose les grandes marques à prix cassé. Il y a des produits très interessant en micro HF (Shure) et en sono. Idem en matière d'éclairage (PL4 conseillées).

Modifié par Don José de Murcia

Don Jose de Murcia

www.donjosedemurcia.com

Publié le

Si vous avez toujours le même sonorisateur prestataire

vous aurez aucun problème, nous sommes artistes et non sonorisateurs............ Avec votre sonorisateur régisseur qui vous connait bien aucun problème, surtout que le matériel change tout le temps.

Publié le

Il y a aussi un truc à ne pas négliger, surtout pour ce que ça coûte c'est le pied d'enceinte. Pour avoir un bon son uniforme dans de grandes salles, ça fait la différence.

A+

Philippe

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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