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Henri BROCH - Zététique - Art du doute - Science et paranormal


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Il y a 1 heure, Georges PERON a dit :

Donc seul le côté "polémique" t'a intéressé, c'est bien ça ?

😂

Disons que les titres polémiques et les punchline (Militer pour la science, les gardiens de la science roulent pour les lobbies, information scientifique ou manipulation de l’opinion ?…) font écho à des réflexions plus profondes et à mon expérience personnelle de cette nébuleuse activiste. 🙂

 

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Il y a 6 heures, Patrick FROMENT a dit :

Tout à fait ! J’ai été moi-même très intéressé et surpris d’apprendre que le bilan écologique  de la voiture électrique est à peu près aussi désastreux que celui de la voiture thermique (si en prends en compte le coût écologique de la production et du recyclage des batteries).

À ce propos, je renvoie à ce message et à la vidéo afférente sur les "voitures neuves" (pas forcément électriques d'ailleurs) :

 

Il y a 6 heures, Patrick FROMENT a dit :

Quant à la fameuse question de la différence entre une connaissance et une croyance (question chère aux rationalistes et zététiciens) c'est une question 100 % épistémologique et donc philosophique.

Quand un enfant marche et s'approche au bord d'une falaise, il est important de lui expliquer qu'il risque une chute mortelle. Cette information repose sur notre connaissance des dangers : s'il tombe, il meurt ! En quoi cela aurait-il un rapport avec une croyance et l'épistémologie ? 

 

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il y a 5 minutes, Christian GIRARD a dit :

Quand un enfant marche et s'approche au bord d'une falaise, il est important de lui expliquer qu'il risque une chute mortelle. Cette information repose sur notre connaissance des dangers : s'il tombe, il meurt ! En quoi cela aurait-il un rapport avec une croyance et l'épistémologie ? 

Ah non : pour le premier enfant, c'est de l'ordre de la croyance : on n'est pas sûr qu'il va mourir, c'est une hypothèse.

Pour les deuxième et troisième enfant, on est dans la phase de répétition de l'expérience, qui est seule garante de la reproductibilité, sans laquelle il ne saurait y avoir de validation scientifique.

Je dirais qu'à partir du cinquième enfant, on commence à avoir une connaissance assez juste du phénomène, et on peut parler de connaissance.

Bien sûr, c'est triste : à la lumière de ces explications, il apparaît clairement que seules les familles nombreuses peuvent se targuer d'une authentique connaissance du danger. Les parents d'enfants uniques doivent quant à eux se contenter de croyances superstitieuses !  

  • Haha 2

L'important, c'est que ça valide !

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il y a 35 minutes, Christian GIRARD a dit :

 

Il y a 6 heures, Patrick FROMENT a dit :

Quant à la fameuse question de la différence entre une connaissance et une croyance (question chère aux rationalistes et zététiciens) c'est une question 100 % épistémologique et donc philosophique.

Quand un enfant marche et s'approche au bord d'une falaise, il est important de lui expliquer qu'il risque une chute mortelle. Cette information repose sur notre connaissance des dangers : s'il tombe, il meurt ! En quoi cela aurait-il un rapport avec une croyance et l'épistémologie ? 

Tu as raison ça n’a aucun rapport. Et je ne vois effectivement aucun lien avec ton histoire d’enfant en danger et le propos développé dans les derniers messages.


Ou plutôt si… J’ai très peur de saisir la métaphore : Nous sommes des enfants et nous courons un grave danger de chute mortelle si les rationalistes et zététiciens ne sont pas là pour nous montrer la vérité et la bonne manière de penser. Mais nnnnoooooonnnn, dis moi que c’est pas ça !?! 😃

  • Haha 1

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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il y a 4 minutes, Patrick FROMENT a dit :

je ne vois effectivement aucun lien avec ton histoire d’enfant en danger et le propos développé dans les derniers messages.

Le risque mortel de chute lorsqu'on est au bord d'une falaise, est-ce une connaissance selon toi, oui ou non ? C'est aussi simple que ça. 🙂 

L'enfant ne connaît pas les dangers du monde ; sans les connaissances de ses parents, de son entourage, il n'a aucune chance de survivre dans le monde "réel", j'entends le monde empirique. L'enfant doit croire ses parents qui le mettent en garde, et à défaut d'adhésion immédiate à une prime croyance il doit obéir sans preuve. Mais, comme l'écrit Alx avec humour, peu à peu, il acquerra une connaissance assez juste des interactions entre lui et le monde qui mettraient sa vie en jeu, et on pourra estimer qu'il a acquis une connaissance (toujours partielle et incomplète certes, mais suffisante à sa survie) sur le résultat d'une chute du haut d'une falaise. Imaginez un professeur des écoles en train de dire à ses élèves que le résultat d'une chute depuis le haut d'une falaise ne repose que sur de la croyance... Quelle super éducateur ce serait ! 😉 

Les connaissances sont à comprendre dans un cadre donné (je l'ai écrit maintes fois). 

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il y a une heure, Alx a dit :

Ah non : pour le premier enfant, c'est de l'ordre de la croyance : on n'est pas sûr qu'il va mourir, c'est une hypothèse.

Pour les deuxième et troisième enfant, on est dans la phase de répétition de l'expérience, qui est seule garante de la reproductibilité, sans laquelle il ne saurait y avoir de validation scientifique.

Je dirais qu'à partir du cinquième enfant, on commence à avoir une connaissance assez juste du phénomène, et on peut parler de connaissance.

En fait c'est exactement ce qui s'est passé mais pas à l'échelle d'une famille, plutôt à celle de l'humanité. C'est parce que nos ancêtres nous ont mis en garde contre certains champignons vénéneux ou autres serpents venimeux que des philosophes d'aujourd'hui ont toute la liberté d'esprit pour penser en termes épistémologiques ou s'interroger sur la nature profonde de la réalité. En attendant, ils évitent comme leurs ancêtres d'ingérer un émincé d'amanite phalloïde ou de faire d'un crotale un animal de compagnie pour leurs enfants.  

Modifié par Christian GIRARD
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Ok Ok... Je suis d’accord avec tout mais je ne vois toujours pas la démonstration ou ce que vous essayez de dire (et encore moins le rapport avec la zététique).


- Ce qui fonde une connaissance c’est qu’elle s’appuie sur des données empiriques ?
- Il y a une hiérarchie dans les connaissances ?… Celles qui sont susceptibles de garantir notre vie et notre survie et celles qui seraient plus futiles ?

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Il y a 8 heures, Patrick FROMENT a dit :

- Ce qui fonde une connaissance c’est qu’elle s’appuie sur des données empiriques ?
- Il y a une hiérarchie dans les connaissances ?… Celles qui sont susceptibles de garantir notre vie et notre survie et celles qui seraient plus futiles ?

Et pourquoi te répondre si de toute façon cela n'apporte aucune une élévation de ton niveau de connaissance 😉 ?

Par ailleurs tu pourrais peut-être répondre en preums, rappel :

Il y a 9 heures, Christian GIRARD a dit :

Le risque mortel de chute lorsqu'on est au bord d'une falaise, est-ce une connaissance selon toi, oui ou non ? C'est aussi simple que ça. 🙂 

Ou n'est-ce qu'une croyance ? 

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Il y a 5 heures, Christian GIRARD a dit :

Par ailleurs tu pourrais peut-être répondre en preums, rappel :

Il y a 15 heures, Christian GIRARD a dit :

Le risque mortel de chute lorsqu'on est au bord d'une falaise, est-ce une connaissance selon toi, oui ou non ? C'est aussi simple que ça. 🙂 

Ou n'est-ce qu'une croyance ? 

C’est juste que je trouve quand même ça assez particulier ces argumentations où on en revient, régulièrement, à des histoires de coup de marteau sur la tête ou bien de voitures qui renversent des braves gens ou, encore, d’un enfant et de sa chute mortelle du haut d’une falaise.


Si le fond du propos c’est de dire que les phénomènes sont conditionnés, que nous les subissons pour le meilleur et le pire et qu’il faut être vigilant, on peut traduire ça, plus simplement, par le vieil adage populaire : "l’eau ça mouille et le feu ça brûle !" ce sera moins morbide 😃 (et pour le coup c’est une connaissance je te l’accorde 🙂).

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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