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Processus de Création : Comment font les Grands


David Vincent

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bonjour,

je repensais au post en ....Conduisant ma voiture. Puisque vous parlez des "grands" cela m'a rappelé un bouquin assez étonnant. J'avais en effet dévoré... l'analyse comparée du processus de création de Mozart et Walt Disney. Je ne plaisante pas !!!

Quel bel exemple de génie créatif !

Il en ressortait deux profils parfaitement différents. Autant que je puisse me souvenir, Mozart était hanté par sa musique. Il créait en permance. Cessant brutalement une activité pour écrire, ou pire écrivant en même temps qu'il dictait un courrier etc.... Il se comportait (d'après l'auteur) comme si il était submergé par des vagues musicales qu'il transposait sur le papier quasi automatiquement.

Walt disney avait lui besoin d'un processus de "mise en condition". Isolement, solitude, etc..... Apparement, sa méthode était très ...... méthodique. Il testait, un peu comme un joueur d'échec, jusqu'à trouver la bonne solution.

D'après cet auteur, d'autres passent par des gestes automatiques, des formes d'autohypnose qui libèrent l'esprit en le coupant de la réalité environementale. (c'est plutôt mon cas. j'ai besoin en outre d'un catalyseur(son, musique, album photo, etc)

En bref, j'ai le sentiment que la création est un processus tout à fait "intime". Certains ont besoin d'un groupe pour rebondir, d'autres d'une vie monaclale. Certains visualisent leur création et la font vivre mentalement, d'autres doivent passer par l'écrit ou le dessin.

En somme, ma réponse serait d'encourager Vincent à chercher sa propre méthode. A s'essayer dans des contextes disparates et pourquoi pas incongrus. Il y a pourtant un aspect qui me semble indispensable. C'est le fait de s'abreuver au maximum de tout. Lire, sortir, observer la moindre vitrine de magasin, s'imprégner de "l'air du temps", bref d'être une éponge. (tiens cela me rappelle quelque chose!)

bien cordialement.

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Et vive la jouissance carto-pieco-sceno-mentalismo... magique des deux mains.

Je pense que pour "créer" (bien grand mot), il faut être d'un naturel curieux et fouinneur et s'amusait avec les accessoires ou alors un autre chemin et d'imaginer l'effet impossible en imaginant le plus de pistes et effets sans se créer des barrières (brainstorming...).

C'est à la réalisation, que l'on remet les pieds sur terre.

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Yep

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Hello Frantz.

Je te cite : « Certains ont cette faculté d'imagination que d'autres n'auront jamais... »

Je n’aurais pas dit mieux !

Je suis continuellement confronté par mes activités professionnelles à la différence profonde qu’il existe d’un individu à l’autre quant à la capacité d’exploiter les informations que je communique. Le potentiel créatif d’un individu se jauge pratiquement dès les premières minutes de cours : l’un, studieux mais passif, va assimiler les données et les conseils en prenant soin de les restituer ensuite à l’identique. L’autre, curieux, va essayer d’intervertir les termes d’une proposition (un exemple, et ne prenant comme point de départ que ce qui peut se présenter comme de plus basique : si l’on apprend deux accords à la guitare, que se passe-t-il en les jouant dans l’ordre contraire de ce qui a été proposé ? Obtient-on toujours un résultat musicalement cohérent ? Si oui, pourquoi ? Est-ce que ça marche pour tous les accords ? Et avec trois accords, est-ce que ça fonctionne encore ? Et si ça ne marche pas, y a-t-il une solution pour obtenir quand même un résultat valable ? Et qu’est-ce qui fait que ce que je suis en train de jouer sonne si mal alors que celui qui est en face de moi semble faire la même chose et que ça sonne si bien ? Etc.). Notez le positionnement de mon propos qui est : la capacité créatrice a certainement quelques chose à voir avec la curiosité, et donc avec la faculté qu’on aura de poser ou pas des questions, bonnes ou mauvaises (la question de savoir « Qu’est-ce qui provoque la curiosité ? » sera peut-être un autre sujet du forum ?). Et comme les remarques pertinentes ne viennent jamais seules, je cite Alx : « Il faut consacrer du temps à la création. Il n'y a pas d'autre solution, inutile de chercher un raccourci : tu ne le trouveras jamais » car effectivement et malgré tout le potentiel d’un individu, il est nécessaire de disposer de ce trésor qu’est le temps, un des plus précieux d’ailleurs que l’on puisse trouver en ce bas monde (quelques minutes avant de mourir, vous comprendrez à quel point !). Notez que je n’ai fait pour l’instant qu’aborder le problème de la création INDIVIDUELLE, c'est-à-dire celle qui consiste à inventer des choses nouvelles POUR SOI, ce qui me semble déjà beaucoup et louable. Je ne rentrerai pas ici dans le cadre d’un débat sur ce qui serait de la « VRAIE » création, de l’imitation sans le savoir, des « redécouvertes qui ne se savent pas comme telles » (voir à ce sujet mon thread sur le forum, intitulé « Les nains et les géants »), des variantes, des assemblages, des vols (avoués ou non), des copies, des extensions, des « emprunts », et autres patchworks…

Et puisque l’on se pose la question de la création et qu’Einstein (Albert, pas Franck !) est très justement cité, lui qui a complètement réformé NOTRE FAÇON DE PENSER LE COSMOS ET LE TEMPS (excusez du peu : c’est quand même autre chose qu’une n-ième méthode pour une levée double non ? Et je ne parle même pas de ce qui lui a valu le prix Nobel !...), je vais me permettre de citer ce texte qui éclaire la citation de Frantz :

ALBERT EINSTEIN (poète et philosophe ?) : « Quand je m’examine, et examine mes façons de penser, j’en viens presque à la conclusion que le don de l’imagination a d’avantage compté pour moi que mon aptitude à assimiler des connaissances pures. L’imagination est plus importante que la connaissance. Elle a un impact réel en recherche scientifique. La connaissance est limitée, l’imagination embrasse le monde, stimule le progrès, donne naissance à l’évolution ».

J’ajoute que trop de connaissances peut s’avérer sclérosant. Il y a parfois beaucoup plus à tirer dans l’ignorance que dans le savoir. La connaissance d’un sujet suggère des voies toutes tracées. L’ignorance d’un sujet peut permettre de découvrir un nouveau chemin.

LE SAVOIR NOUS ENRACINE, L’IGNORANCE OFFRE L’HYPOTHESE D’UNE VOIE OUVERTE SUR L’INCONNU (Copyright Christian Girard 2003. Poète et philosophe autodidacte).

Frantz : « Il y a plein d'exercices et de techniques pour "stimuler la créativité", et pas qu'en magie !... (cf. l'Oulipo en littérature, les brainstormings en marketing, etc.). »

C.G. Là, j’ai un gros cadeau (au moins pour Frantz et Arthur, mais j’en connais quelques autres qui vont adorer également). Voici l’adresse du site extrêmement riche de l’une de mes connaissances. Entre autres friandises un lien avec un l’OUGRAPO, l’OUvroir de GRAmmaire Potentielle !

http://www.fatrazie.com/

Un régal ! Site très stimulant et d’une tenue exemplaire.

J’ajoute que Frantz a eut l’excellente idée de ne parler uniquement que de « stimuler la créativité », car on ne peut guère faire plus que cela : développer un potentiel qui existe déjà, des capacités latentes. Vous pourrez vous entraîner autant que vous voudrez à la course à pieds sur un cent mètres, si vous n’avez pas à la base un physique à la Carl Lewis, il n’y a aucune chance de le surpasser dans sa catégorie. Mais alors, pourquoi ne pas choisir de « l’attaquer » sur un marathon ?...

Et pour ce qui est du brainstorming (en français : remue-méninges) je me souviens qu’il existe un recueil sur la créativité de Richard Bordenave, un magicien qui travaille justement dans le marketing (en français: la mercatique) qui pourrait peut-être intéresser David Vincent (dont je ne peux lire le nom sans penser aux envahisseurs).

En complément, David, je vous conseille d’aller faire un saut sur le site de Duraty

http://www.duraty.com/

et de cliquer sur le chapitre « La créativité » avec des réflexions de Duraty (qu’on ne présente plus), Sylvain Mirouf (que j’espère voir intervenir souvent sur Virtualmagie) et Ivan Laplaud (dont on peut aussi lire - dans le numéro 37 d’Imagik paru récemment - une nouvelle primée au 33e concours international littéraire des Arts & Lettres de France 2002).

Beyrevra : « Mais il est très difficile de composer une symphonie si on n’a pas appris le solfège au départ, ni peindre un chef d'oeuvre si on ne connaît pas la théorie des couleurs. »

C.G. Très difficile, mais il y a quand même de l’espoir ! Si le solfège peut vraiment aider dans la composition d’une symphonie (en tous cas pour la transcrire sur le papier), il n’est en aucun indispensable pour faire de la musique. Les vieux bluesmen noirs américains ont apporté au patrimoine artistique mondial une révolution qui de s’est jamais démentie et qui continue d’influencer directement aujourd’hui encore la création musicale. Django Reinhardt, extra-terrestre génial dans sa discipline, ne connaissait pas une note de musique et reste un artiste majeur dont presque toutes les compositions sont devenues des standards. Paco de Lucia, l’un des plus grands guitaristes de flamenco, n’a jamais lui non plus appris le solfège. La liste peut être allongée à volonté. Car la musique ne repose pas sur une connaissance du solfège qui n’est qu’une série de codes conventionnels bien pratiques pour écrire et lire la musique, ce qui est fort différent que de la jouer, la penser, la rêver ou l’imaginer… Et sans solfège, tous ces artistes possèdent pourtant une profonde connaissance de ce qu’est la musique (théorie comprise, même si c’est de façon inconsciente, parfois parcellaire, et n’est pas formulé selon les codes en vigueur). Ce sont aussi d’infatigables travailleurs !

Quant à la théorie des couleurs, je suis sûr que les artistes de Lascaux n’en ont jamais entendu parler, ce qui ne les a pas empêché de produire des œuvres de l’esprit intemporelles.

« Camille », citant un producteur : «Moi, je me sers des gens qui savent, dans mon métier, il faut juste être malin. »

C.G. : Etre malin ? Diable !…

Camille : « En somme, ma réponse serait d'encourager Vincent à (…) être une éponge. (tiens cela me rappelle quelque chose!) »

C.G. : Et tu conseilles d’avoir un côté « grattounette » ou pas [sourire] ?

Frantz : « Un AUTEUR oulipien (…) c’est "un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir". »

C.G. …ce qui le différencie du magicien qui lui construit son labyrinthe pour perdre les spectateurs !

L’émission Court-Circuit n°142 (Arte) a présenté un intéressant portrait du cinéaste Kenneth Anger qui conçu certains de ses films « comme des rêves », à l’exemple de Fireworks qui influença des gens comme Lynch et Scorsese. Les membres du jury du festival de Biarritz lui décernèrent le pris du film poétique et son président – Cocteau - dit à Anger : « Votre œuvre vient de la nuit noire de l’âme ».

Anger a lui-même été fortement influencé par le mystique spiritualiste Aleister Crowley qui « avait une approche sacrée de la sexualité » et pour qui « il y avait de l’énergie sexuelle qu’on pouvait diriger dans une cérémonie magique ».

A propos de Crowley, les arcanes majeurs de son tarot son ici :

http://www.conesa.com/aleister/index2.html

Si je cite Kenneth Anger, c’est pour l’exemple qui va suivre relatif au mode de création qu’il était susceptible d’utiliser, comme ceux que nous offrent parfois les hasards de la vie et sur lesquels il faut savoir rebondir. En 1963, Anger tourna « Scorpio Rising » pour lequel il filma jusque dans l’intimité de leurs chambres tapissées de posters de James Dean une bande de motards aux blousons noirs et cloutés et aux motos entièrement customisées. Au bout de quinze jours de montage, un paquet est par erreur déposé à son adresse. Il s’agit d’un film de catéchisme relatant images à l’appui le dernier voyage du Christ à dos d’âne pour Jérusalem. Anger décide alors de monter ces images pieuses dans son film, en les intercalant avec celles qu’il a lui-même tournées sur les motards de Coney Island, le tout accompagné d’une chanson des années soixante dont je vous livre le texte ci-dessous. Imaginez quelques plans de jambes en pantalons de cuirs, puis Jésus en habit d’époque, puis à nouveau quelques motards sur leurs machines, puis le Christ sur son âne, avec ce fond musical qui confère du sens à tout cela, mais non sans un humour décalé:

« Regardez sa façon de marcher dans la rue

Regardez sa façon de traîner les pieds.

Il se tient droit en passant devant toi.

C’est mon homme à moi.

Quand il me tient par la main je suis fière

Parce que c’est pas un gars ordinaire.

Mon chéri c’est celui

Qui ose ce que personne a jamais osé.

Simplement à cause de ce que les gens disent :

C’est un rebelle

Et il ne vaudra jamais rien ».

Une dernière chose me vient à l’esprit, et il me semble indispensable de conclure sur ce point. Ne donnons pas une importance trop grande à la création en la présentant comme la panacée ou le point d’orgue de ce qui doit être accompli par le magicien. Comme pour la musique, il est tout aussi important d’avoir de bons interprètes que de bons créateurs. D’ailleurs, l’interprétation procède elle aussi d’un processus de création d’un niveau probablement bien plus subtil que celui ne consistant simplement qu’à trouver de nouveaux principes magiques.

Christian GIRARD 19 Octobre 2003

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  • 14 années plus tard...
Le 20/10/2003 à 00:16, Christian Girard a dit :

Et comme les remarques pertinentes ne viennent jamais seules, je cite Alx : « Il faut consacrer du temps à la création. Il n'y a pas d'autre solution, inutile de chercher un raccourci : tu ne le trouveras jamais » car effectivement et malgré tout le potentiel d’un individu, il est nécessaire de disposer de ce trésor qu’est le temps, un des plus précieux d’ailleurs que l’on puisse trouver en ce bas monde (quelques minutes avant de mourir, vous comprendrez à quel point !).

Il est question de ce temps très court qui est à notre disposition à l'échelle d'une vie, dans cette intervention de Nicolas Beretti intitulée "L'illusion de la passion" :

 

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  • 1 année plus tard...
Le 20/10/2003 à 00:16, Christian GIRARD a dit :

Et comme les remarques pertinentes ne viennent jamais seules, je cite Alx : « Il faut consacrer du temps à la création. Il n'y a pas d'autre solution, inutile de chercher un raccourci : tu ne le trouveras jamais » car effectivement et malgré tout le potentiel d’un individu, il est nécessaire de disposer de ce trésor qu’est le temps, un des plus précieux d’ailleurs que l’on puisse trouver en ce bas monde (quelques minutes avant de mourir, vous comprendrez à quel point !).

Même Bill Gates n'échappe pas à cet impératif de la limite temporelle :

228394764_BillGates(2).thumb.JPG.a72303926c85a9be28e0b61b4cb36db6.JPG

Modifié par Christian GIRARD
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La créativité

 

C’est un peu comme avec le charme : Dés que l’on en parle trop, ça s’en va.

 

Donc : je ne connais pas trop les vrais secrets pour devenir créatif. Il y a beaucoup de livres qui ont été écrit à ce sujet.  Les gens disent que je suis créatif. Sans avoir les preuves. Toutes mes idées pour mes spectacles sont nés d’une nécessité absolue. Soit que j’avais déjà vendu un projet sans avoir la moindre idée ce que je vais faire, soit que j’avais tellement faim qu’une nouvelle création m’a sauvé de la famine. En ce moment je vais assez bien, donc ma cervelle travaille au « stand by ».

 

Je me souviens d’une période de ma vie, où un producteur m’avait demandé un nouveau concept pour un show de café théâtre. Il fallait que ce soit envoyé pour le 8 mai 1996. Le fax (vous vous souvenez encore des fax? Voilà une idée génialissimo) avec le synopsis est parti à 23 h 59 minutes, l’affaire était dans le sac, nous avons joué la pièce pendant 8 mois à l’Espace Jemmappes. Si j’avais pas eu cette date butoir, je serais encore aujourd’hui en train de penser et de penser et de penser…. Le troisième paramètre pour être créatif c’est d’avoir envie de faire quelque chose bien déterminé. Si vous vous intéressez pour la littérature, il vaut mieux que vous feriez profiter l’humanité de votre prose au lieu de réfléchir comment faire la meilleure soupe aux légumes. Mais si vous vous intéressez profondément pour les légumes, j’en suis persuadé que vous ferez les soupes les plus originales du monde.

 

Je dirais donc les ingrédients pour devenir créatif sont :

- avoir absolument besoin d’accomplir quelque chose pour survivre. Ou pour séduire. En danger de mort, le subconscient vient à votre aide, en amour une surproduction de sérotonin vous fait avancer…

 

- avoir une date précise pour livrer votre oeuvre, et

 

- avoir une envie folle de trouver des choses pour un sujet qui vous passionne. Sans passion pas de créativité.

 

- n’avoir pas trop de connaissances. Alain Bernardin, le fondateur du Crazy Horse disait souvent : Je ne connaissais rien, il fallait que j’invente tout. (un peu gonflé le mec, mais il a bien prouvé que ce n’était pas un branleur.)

 

Bonne chance !

 

PS: Ariane Mnouchkine disait : Donne moi une date et un lieu et je vous composerai un spectacle

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www.ottowessely.fr

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il y a une heure, Otto WESSELY a dit :

Si j’avais pas eu cette date butoir, je serais encore aujourd’hui en train de penser et de penser et de penser [...] j’avais déjà vendu un projet sans avoir la moindre idée ce que je vais faire

Je me permets une toute petite remarque sur ce conseil. Evidemment c'est un excellent conseil car une date butoire est un coup de pied au c.l très efficace.

"Un objectif, c'est un rêve avec une deadline." -Napoleon Hill

Néanmoins sur le forum on gronde régulièrement des magiciens qui après s'être engagés sur une presta viennent demander ici ce qu'ils peuvent présenter... Mais pourtant quand Otto ou d'autres le font c'est bien ? Bah alors...

Elève: Maître, pouvez-vous m'apprendre comment écrire une symphonie ?

Mozart: Tu es trop jeune pour ceci.

Elève: Mais vous aviez vous-même 7 ans lorsque vous avez écrit votre première symphonie.

Mozart: Oui, mais moi je n'ai pas eu besoin de demander comment faire.

(Et pourtant ça n'interdit pas non de demander de l'aide... 😛 )

Modifié par Aurélien (TanMai)
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We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

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Comme d'autres l'ont déjà dit, le sujet est vaste, en magie et dans d'autres domaines, et pléthore de livres ont été écrits à ce sujet.

Et je suis convaincu qu'il y a surtout des outils plutôt que des méthodes. Twyla Tharp parle d'ailleurs plus d'une habitude à cultiver.

Il y a eu un épisode du Mystery School Monday à ce sujet. J'ai partagé ce qui m'avait marqué dans cette vidéo :

 

Et si tu lis l'anglais, un livre intéressant est celui de Butzi (magicien et conférencier) : Creativity for Magicians

Outre partage d'outils et d'approches qu'affectionne Butzi, il partage des créations qu'il a réalisées grâce aux outils qu'ils décrits.

Mais ce qui m'a plu le plus, c'est la partie interview où plusieurs artistes parlent de leur vision de la créativité : Eugene Burger, Jeff McBride, Lawrence Hass, Bill Homewood, Ira Sedenstein, Joshua Jay, Master Payne et même notre @Otto WESSELY

Lire différentes visions m'a permis d'affiner la mienne.

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  • 8 months plus tard...

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