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Le paradigme de l'art contemporain : Structures d'une révolution artistique, Nathalie Heinich


Christian GIRARD

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Il y a 4 heures, Christian GIRARD a dit :

Je relaie simplement des infos liées à certains messages postés plus haut, pour éventuellement  alimenter le sujet de pistes de réflexion (pour certains, pas pour toi qui semble avoir des positions bien tranchées et définitives, ce que je comprends), et je ne donne pas d'avis perso à ce sujet dès lors que les personnes évoquées se revendiquent comme artistes. C'est un constat de ce qui existe (en tout cas d'une part de ce qui existe). Il est toujours compliqué de savoir quelles sont les limites. Qui définit où commence le grotesque et l’obscénité en art ? Et selon quel critères ? 

 

Jérôme Duquesnoy l'Ancien était sculpteur :

 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jérôme_Duquesnoy_l'Ancien

Mais si les sculpteurs ne font pas d'art, alors les chirurgiens ne font pas de médecine et les guitaristes ne font pas de musique... Hum. Je préfère continuer à penser qu'on peut « produire de l'art » (dans l'esprit de celui qui observe) avec des tableaux peints avec la queue d'un âne... 😉 

 

 

 

Effectivement Christian mais cette statue correspond à l'esprit de la ville de Bruxelles humour ou dérision , là encore le sculpteur  en fait une commande municipale pour une fontaine ce qui est d'une certaine banalité en Europe et ce jusqu'au 20 es.

A part quelques exemples monumentaux et qui montrent un certains travail, voire les fontaines de Rome ,   bien souvent ceux sont des oeuvres alimentaires, par forcément dénués d'intérêts .

Ici on est plutôt dans l'espièglerie . Rien de transcendant, aucune émotion
sinon un jolie divertissement ce qui se respecte. Tu as raison j'ai bien des avis tranchés sur la question mais j'ai aussi parlé à Aix ou Marseille à des vieux de la vieille de l'art ou bien à des artistes non européen, je pense à un peintre Iranien qui a peint la Sainte Victoire tout en gardant une inspiration de Cézanne a apporté une essence de miniature iranienne et les couleurs de cette palette.

Je pense que pour sauver notre art en Europe il faudra se reconnecter à bien des artistes du reste du monde; idem pour nos moeurs  et aussi sauver nos êtres si tenté qu'ils doivent être sauvé et je pense qui oui . je vois l'hypocrisie des arguments sur l'art pour tous ceux qui se revendique du modernisme de l'avant garde.... au fond un des arguments est que l'art n'est pas une  représentation   d'une belle  chose mais une belle représentation d'une chose, mais au fond ils s'encombrent de code de représentation se dictent des lois ( cubisme, dadaïsme, surport surface....) ils encadrent tellement leur sujet ou leur chose, qu'au fond ils en sont bien moins libre et leur sujet anecdotiques et sans grand intérêts on a beau critiqué la connivence  on en développe pas moins une, et en fait ils ont beaucoup plus de connivence, de règles et de préjugés caricaturaux que les artistes qu'ils ont pourfendu. Duchamps, Dali, Kandinski, agansinski, de stael ....peut être que Picasso a conservé une certaine liberté.

A ce titre un vieux peintre à qui j'avais parlé et qui avait connu Picasso se moquait de ses camemberts et il lui avait expliquait que si ils en veulent et en redemandent, (qui? sans doute les marchands d'art) il en fournira de quoi les satisfaire, au fond on a une incarnation de la phrase de Dali que l'artiste transforme ses pinceaux en diamants.. je n'ai plus la citation en tête que j'avais lu.

je ne suis pas aussi tranché que cela mais critique je n'ai pas une vision monolithe de l'art, bien au contraire mais j'en exclue les inepties "modernes".

Je comprends que tu ne fais que rapporter des points de vu mais il faut les mettre en perspective n'est ce pas, je le fais.

 

Il y a 4 heures, Christian GIRARD a dit :

Quant aux humains préhistoriques, il ne se posaient sans doute pas la question de savoir si ce qu'ils faisaient était de « l'art », il n'empêche qu'on parle d'art pariétal pour évoquer leurs réalisations... (Quelques précisions et nuances ici : CLIC.)

 

On ressent tout de même une volonté de transcender leur vécu et de faire ressentir ou vivre autre chose, alors j'accole à leur artisanat pictural la notion d'art,  si des papous se voient accolés la notion d'art primitif pourquoi nos ancêtres n'auraient pas aussi droit à cette notion, de Chauvel à la vallée des merveilles .

Il y a 4 heures, Christian GIRARD a dit :

 

En tout cas voici les termes retenus sur sa page Wiki :

Elle n'est pas qualifiée d'actrice phonographique. En tout cas ta question (puisque tu évoques le sujet) pourrait être « Le porno peut-il être un art ? » Cela ne peut que raviver des questions de la sorte dans le monde du cinéma, l'exemple le plus notoire étant sans doute L'Empire des sens d'Ōshima :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/L'Empire_des_sens

 

Oui je suis partagé sur ce film entre art et pornographie mais ici le corps n'est pas exhibé simplement vulgairement pornographiquement  comme neuneu moiré ou neuneu de robertis, neuneu ou hypocrite?; mais c'est bien autre chose on a là une esthétisation de l'érotisme, de la sexualité et de la mort, c'est bien filmé l'auteur est allé au bout de ce qu'il avait la liberté de montrer, ici les scènes on apporté la crudité et la transgression propre à la situation psychologique du personnage et à la représentation des questions posées par l'artiste.

Est ce que cela a nuit à la représentation artistique du sujet de ce film? Sans doute non car il y avait un savoir faire artistique ce que l'on reproche  hypocritement dans certains types esthétiques comptantpourien actuels (je ne parle pas d'art)

Il y a 4 heures, Christian GIRARD a dit :

 

 

Oui, cela figure (en d'autres termes) dans la page Wiki que j'avais mise en lien. Extrait  :

  Il y a 22 heures, Jean-Marc KLD a dit :

Au fond j'ai l'impression que beaucoup se font avoir par une logorrhée  pseudo intello, hystory, pour critiquer le patriarcat, patriarcat vu partout et à toutes les sauces.

Faut voir...

 

 

La liberté ne se décrète pas tu le sais elle se prend, je me méfie et en fait je refuse les bonnes âmes qui me disent quoi faire pour être libre, ce sont autant de dictats que de sales bons sentiments.

Je pleins les femmes qui tombent dans cette logorrhée et cette toile d'injonction souvent contradictoire et ces bons sentiments qui est la colle de ces toiles d'araignées .  que tu peux traduire ainsi viens t'agenouiller devant mes principes, viens t'enfermer dans mes principes regarder j'ai pleins de bons sentiments pour toi de bienveillance ,  approche.... c'est un vrai piège à son (et oui j'ai remplacé le ç par un s sensure!!!)

Il y a 4 heures, Christian GIRARD a dit :

 

 

 

 

Peut-être faut-il juste éviter de se focaliser précisément sur les choses que l'on abhorre ? Il y a pléthore de formes d'expression artistique, il suffit de se concentrer sur ce qui est en phase avec soi ou ce sur quoi l'on est curieux. 

D'accord mais bizarrement en art moderne peu de chose sont intéressante.

Je t'avais parlé à un moment du travail de Sonia  Delauney. L'art moderne qui est nôtre sujet dans ce fil.

Mais ton conseil est un des meilleurs .

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Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

Effectivement Christian mais cette statue correspond à l'esprit de la ville de Bruxelles humour ou dérision , là encore le sculpteur  en fait une commande municipale pour une fontaine ce qui est d'une certaine banalité en Europe et ce jusqu'au 20 es.

Les œuvres d'art sont très souvent le fait de commandes en effet. 

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

bien souvent ceux sont des oeuvres alimentaires, par forcément dénués d'intérêts .

Bien sûr ! Et les artistes ont besoins de manger, comme tout un chacun. 

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

Ici on est plutôt dans l'espièglerie . Rien de transcendant, aucune émotion
sinon un jolie divertissement ce qui se respecte.

Si l'on estime que la transcendance et l'émotion (du spectateur) sont les seules clés pour définir ce qu'est l'art (ou le "grand art") et que le divertissement est à bannir du champ artistique (Exit la magie ! 😉), c'est qu'on adopte un point de vue selon moi trop restrictif.

À titre personnel, je ne suis pas très sensible à l'œuvre de Chagall par exemple, pour autant je ne peux que constater que beaucoup éprouvent de fortes émotions à l'égard de ses peintures. Mon propre ressenti n'est donc pas une jauge valide, et par conséquent pas non plus celui des autres.

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

j'ai aussi parlé à Aix ou Marseille à des vieux de la vieille de l'art ou bien à des artistes non européen, je pense à un peintre Iranien qui a peint la Sainte Victoire tout en gardant une inspiration de Cézanne a apporté une essence de miniature iranienne et les couleurs de cette palette.

Intéressant.

Anecdote personnelle : lorsque j'avais 18 ans, je ne connaissais pas Cézanne, j'en entendais parler presque avec dévotion par les amateurs et je fus assez déçu par le premier contact avec les œuvres du peintre (des reproductions sur des livres de la bibliothèque de prêt de l'école des Beaux-Arts où je commençais mes études). Sans doute que j'en attendais trop ! Je passe les détails et les méandres de mon apprentissage, toujours est-il que depuis je suis passé "de l'autre côté de la barrière" et je suis maintenant admiratif de ses toiles qui me transportent bien souvent. Je n'oublie donc jamais qu'il y a parfois des chemins à parcourir et c'est pourquoi je ferme rarement définitivement des portes à ce qui ne me touche pas "a priori" ou ne semble pas m'atteindre. On est toujours potentiellement à même de passer à côté d'une émotion, d'une expérience, d'un engagement, et c'est bien dommage. S'ouvrir à la pensée de l'autre ce n'est pas toujours facile. Par ailleurs,  il faut cependant garder en tête que comprendre ce n'est pas forcément adhérer (mais de là à rejeter, il y a un gouffre). 

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

Je pense que pour sauver notre art en Europe il faudra se reconnecter à bien des artistes du reste du monde; idem pour nos moeurs  et aussi sauver nos êtres si tenté qu'ils doivent être sauvé et je pense qui oui .

En musique par exemple les influences internationales sont nombreuses. Hop un rythme de bossa par-ci, hop une gamme orientale par là...

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

peut être que Picasso a conservé une certaine liberté.

Si ce n'est pas encore fait, jette un œil ici, « Picasso par Carlos VAQUERA » (14-04-2001), ça pourrait t'intéresser : https://www.virtualmagie.com/articles/autres/reflexions/picasso-par-carlos-vaquera/

 

Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

D'accord mais bizarrement en art moderne peu de chose sont intéressante.

Il est vrai que je regarde surtout le patrimoine artistique mondial qui n'a jamais été aussi grandiose (normal vu le côté cumulatif et le soucis de préservation, sauf quand on détruit les statues ou qu'on brûle les livres ou les icônes, évidemment). Du coup ça permet de prendre de la distance avec le présent, les coups d'éclat limités dans le temps, etc.  On a tellement de chance de pouvoir piocher dans un si vaste trésor, une vie ne suffit pas à explorer ce territoire. 

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Il y a 20 heures, Jean-Marc KLD a dit :

Mais ton conseil est un des meilleurs.

Merci. 😊

Modifié par Christian GIRARD
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  • 3 weeks plus tard...
Le 13/03/2020 à 02:57, Christian GIRARD a dit :

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« La petite Bédéthèque des Savoirs - tome 9 - L'Artiste contemporain. Sociologie de l'art d'aujourd'hui. De Heinich Nathalie (Auteur) et Feroumont (Illustrations). »

Je reviens sur cet ouvrage pour le conseiller à ceux qui, novices en la matière, voudraient se faire une petite idée du "fonctionnement" de l'art contemporain. Comme il s'agit d'une approche sociologique de la question, il n'y a pas de parti pris concernant ce qui serait "bien" ou "mal", ce qui serait de l'art ou pas, cela traite plutôt du "comment ça se passe", du marché de l'art, des institutions en place, du parcours des artistes et du rôle des  divers organismes affiliés au système (notamment en France).

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Citation

Statut des artistes, critères d'acceptabilité, rôle essentiel des intermédiaires et des institutions... Pour qu'il soit compris, l'art contemporain exige ces clés d'entrée. Véritable photographie sociologique du monde de l'art contemporain en ce début du XXIe siècle, cette bande dessinée s'est donné pour objectif de suivre les itinéraires de trois archétypes d'artistes afin de mieux nous faire comprendre le fonctionnement interne de l'art d'aujourd'hui.

 

Citation

Qu'est-ce que l'Art contemporain ? Qu'est-ce qui le caractérise ? Qui sont ses acteurs ? Comment se structure-t-il ? Quel est son marché ? Voici quelques questions, parmi d'autres, auxquelles ce nouvel opus de la Petite Bibliothèque des Savoirs se propose de répondre. Suivant le principe de cette collection instructive , un spécialiste du domaine et un dessinateur de BD unissent compétences et talent pour réaliser une synthèse du sujet et la rendre aussi attrayante et didactique que possible. 

L'Artiste Contemporain est ainsi réalisé par Nathalie Heinich, directrice de recherche au CNRS et sociologue de l'Art mondialement reconnue. Côté BD, on reconnaît immédiatement le dessin bien sympa de Benoît Feroumont. Les auteurs ont choisi de prendre pour point de départ une conférence donnée par Nathalie Heinich dans une école des Beaux-Arts de province. A côté d'elle, sur scène, Benoît Feroumont. Et dans la salle, attentifs, trois étudiants de cette école : Anatole, Jules et Edmond.

Ces trois personnages vont, par leurs parcours respectifs, illustrer les propos de la conférencière. Anatole restera peintre "moderne", Jules cheminera dans l'Art contemporain, porté par les institutions, alors qu'Edmond parviendra à percer sur le marché international, allant jusqu'à exposer à la prestigieuse biennale de Venise.

Cette construction scénaristique permet de distiller de très nombreuses informations sans que le lecteur se sente submergé. Et quand un complément d'infos s'impose, Nathalie Heinich, conférencière, réapparaît, ou échange avec Benoît Feroumont. Ce dernier se met en scène dans le rôle de Candide, en cela fort proche du lecteur qui découvre un domaine qu'il ne connaît pas et qui, parfois, peut sembler hermétique.

L'humour est fréquemment au rendez-vous et contribue à rendre cette découverte de l'Art contemporain et de ceux qui le créent aussi plaisante qu'intéressante. Un bel ajout à cette Petite Bédéthèque des Savoirs qui grandit vite et continue à séduire et à surprendre.

Source Pierre Burssens, http://www.auracan.com/albums/2552-l-artiste-contemporain-par-nathalie-heinich-et-benoit-feroumont-benoit-feroumont.html

Modifié par Christian GIRARD
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Intéressant je suis curieux de lire ce livre.

Sinon j'ai lu la description plus haut et l'expression "clefs d'entrée dans l'art contemporain" se lie à ce que je pense,  que l'art contemporain dont les tenants et les courants idéologiques  gauchistes qui l' ont tant porté , ont toujours reproché à l'art dit classique qu'il se voulait élitiste, exprimé des codes de compréhension pour éloigner le menu   peuple....pour dominer et être hautain  puis tout un tas de chose.

Ce qui est faux et de plus ces arts qui nous ont précédé ont rarement mis en place des codes ou clefs d'entrée.

Mais en regardant le fonctionnement de ce monde je me suis aperçu qu'il imposait dans son art bien plus de clefs d'entrée et biais pour se distinguer du menu peuple. 

 

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  • 1 month plus tard...

Le journal de Mickey n° 1279 du 2 janvier 1977, source d'inspiration de l'un des travaux artistiques de Bertrand Lavier :

« Walt Disney Productions de B. Lavier : l'art réalité dépasse la fiction » 

Citation

Qui d'entre vous n'a jamais rêvé de se promener dans les décors d'une BD de ses héros préférés ?
Bertrand Lavier, artiste autodidacte et avant-gardiste né en 1949, à la fois peintre et sculpteur, s'est fortement intéressé au rapport entre art et réalité. Dans les années 1990, il a créé en trois dimensions les oeuvres d'art et le décor d'une histoire de Mickey intitulée "Traits très abstrait / The Artistic Thief" (S73215) parue dans le numéro 1279 du Journal de Mickey du 2 janvier 1977 !

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Source et article complet ici

https://www.paperblog.fr/871339/walt-disney-productions-de-b-lavier-l-art-realite-depasse-la-fiction/

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  • 1 month plus tard...

Il y a une citation qui trotte dans ma tête comme un mantra (les anglais disent motto), de feu Robert Filliou (un artiste contemporain, ... pas moderne 😉 )

Citation

L'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art.

J'ai toujours trouvé une grande profondeur à cette citation. La comprendre c'est comprendre l'histoire de l'Art. 

L'Art ne peut être compris sans son contexte historique, social, politique, économique... donc comprendre l'art contemporain est un effort de recul sur le présent quasi impossible. 

Mais l'important c'est qu'il y ait encore des artistes, pour que la vie vaille la vie d'être vécue !

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Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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Le 15/08/2020 à 11:56, Christian GIRARD a dit :

Le journal de Mickey n° 1279 du 2 janvier 1977, source d'inspiration de l'un des travaux artistiques de Bertrand Lavier :

« Walt Disney Productions de B. Lavier : l'art réalité dépasse la fiction » 

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Source et article complet ici

https://www.paperblog.fr/871339/walt-disney-productions-de-b-lavier-l-art-realite-depasse-la-fiction/

Il semble que l'article omette une partie de l'histoire du travail de Lavier. 

D'après mes souvenirs (c'est là que Wikipédia dit " cet article ne cite pas assez ses sources" ) C'est aussi un jeu sur la notion de propriété intellectuelle. Disney prenait le soin de TOUT déposer, afin de pouvoir maitriser son empire comme il se doit, et de controler le marketing produit sous licence. 

Embleme de la pop culture, chatouillé par les artistes de l'époque, Lavier avait cherché une faille pour détourner les BD. Il semble que les "oeuvres" dans la BD n'étaient pas déposées/protégées... (je laisse les experts en droit faire la correction). 

Tout ceci à remettre dans son contexte historique... 😉

 

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Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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  • 1 month plus tard...

Et qu'on ne vienne plus me dire que l'art ça ne sert à rien !

Citation

"C’est un scénario tellement étrange", a réagi Carly Gorter de l’autorité de sûreté de Rijnmond, la région de Rotterdam. "Le métro a déraillé et il a atterri sur un monument appelé "Sauvé par la queue de la baleine". C’est littéralement ce qui s’est passé (…). C’est incroyable", a-t-elle déclaré.

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Source : https://www.sudouest.fr/2020/11/02/frayeur-au-pays-bas-un-metro-deraille-et-termine-sa-course-sur-une-sculpture-8033009-4803.php

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Le 15/08/2020 à 11:56, Christian GIRARD a dit :

Le journal de Mickey n° 1279 du 2 janvier 1977, source d'inspiration de l'un des travaux artistiques de Bertrand Lavier :

« Walt Disney Productions de B. Lavier : l'art réalité dépasse la fiction » 

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Source et article complet ici

https://www.paperblog.fr/871339/walt-disney-productions-de-b-lavier-l-art-realite-depasse-la-fiction/

Bertrand Lavier n'a plus qu'à s'attaquer aux toiles de cet album de Philippe Coudray (qui est peintre lui-même, rappelons-le) :

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AVT_Philippe-Coudray_6642.jpeg

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Coudray

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