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Mr AILLAGON recevait ce jeudi 22 Mai


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pas de nouvelles, cela dit, le débat actuel est beaucoup plus important : "les primes de fonctionnaires vont elles être contées dans leur retraite"... en attendant, nous, on se bat pour essayer de vivre de notre métier... quand à la retraite... un jour peut être... si on devient fonctionnaires...

ceal dit, les moyens ne sont pas les mêmes, une grève des théatres n'a jamais empêché les honnètes gens de travailler... [Confus]

ah bah tiens !...

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  • 2 weeks plus tard...
  • 4 weeks plus tard...

Source Gérard Belfior:

"Les dés sont jetés plus sûrement qu'on ne imagine c'est infos sont parfaitement officieuses mais parfaitement vraies :

La CFDT, la CFTC, la CGC et le MEDEF se sont rencontrés et mis d'accord pour signer :

507 en 10 mois, pour 8 mois d'indemnisation au taux de 19% du salaire

journalier moyen.

Jeudi 26 juin le medef va pourtant ouvrir les négociations sur la position

suivante : 507 sur 9 mois qui ouvrent 6 ou 7 mois d'indemnisation...

Le 11 juin dernier, le MEDEF n'a pas trouvé de signataires pour son projet d'accord sur l'assurance chômage des professionnels du spectacle, du cinéma et de l'audiovisuel travaillant par intermittence. Ce projet prévoyait notamment d'expulser entre 50 et 70 % des professionnels de toute indemnisation et de réduire radicalement les indemnités pour les quelques " survivants ".

L'échec du MEDEF est à mettre, à ne pas en douter, à l'actif de la mobilisation à Paris et en régions des artistes, réalisateurs, techniciens et ouvriers pour défendre leurs droits de salariés et la vie culturelle du pays. Le 11 juin, la grève dans le spectacle a été quasi-générale et des actions ont eu lieu dans plus d'une trentaine de villes.

La volonté manifeste de la délégation patronale de faire reposer sur les seuls professionnels la réforme de notre régime spécifique, sans que les entreprises, les collectivités locales et territoriales ainsi que les pouvoirs publics ne soient impliqués, n'est pas tolérable.

Le MEDEF doit présenter un nouveau projet avant la prochaine négociation qui aura lieu le jeudi 26 juin. Pour autant, il n'a pas renoncé à son objectif : le régime coûte trop cher, il faut faire des économies sur le dos des salariés.

Pourtant, le chiffrage de l'UNEDIC qui nous a été remis le 3 juin dernier montre, qu'en moyenne annuelle, le nombre de salariés intermittents du spectacle indemnisés se situe à 57 600 en 2002. Et plus de la moitié d'entre eux ont un salaire journalier de référence de l'ordre de 60 € et donc, une allocation d'environ 15 €. Alors, où sont les privilégiés ?"

Yep

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Voir aussi un article intitulé "Urgence : réformer le statut des intermittents" de Nicole Vulser dans la partie "Horizons Analyses" du Monde de mardi (24 juin 2003) [donc sorti la veille].

Vous pouvez le consulter sur Internet ici

Interview de Jean-Jacques Aillagon : ici

Plick.

[ 26. Juin 2003, 15:23: Message édité par : Plick ]

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Signature à 1H00 du matin :

507 heures pendant les 10,5 derniers mois (10 derniers mois pour les techniciens).

Ouverture des droits pour 8 mois.

Augmentation des indemnités journalières.

Franchise réduite de 30 jours.

Suppression de la dégréssivité.

Possibilité de donner des cours sans suppression des indemnités.

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