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Expériences de Mort Imminente, "NOUVEAUX CONCEPTS" : l'interprétation dimensionnelle


Christian GIRARD

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il y a 28 minutes, Patrick FROMENT a dit :

16:38 à 17:43 👍

Oui, Étienne Klein a déjà exprimé cela plusieurs fois. Néanmoins pour ce qui concerne la toute dernière phrase, il faudrait nuancer car on sait bien que des croyants ont perdu leur croyance en une « religion » (pas forcément une certaine spiritualité) à la suite d’une réflexion scientifique, ne serait-ce que Charles Darwin. 

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Il y a 8 heures, Christian GIRARD a dit :

« Il n'y a rien de paranormal dans les expériences de mort imminente. »

Voici la phrase replacée dans son texte :

Citation

Par ailleurs, l'EMI n'est bien sûr pas la seule à conduire à des visions. "Par exemple, les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ou de la maladie progressive de Parkinson peuvent avoir des hallucinations vivantes de fantômes ou même de monstres", expliquaient des chercheurs en 2011 dans la revue Trends in Cognitive Science. Ils l'avaient intitulée : "Il n'y a rien de paranormal dans les expériences de mort imminente".

 

La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

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Il y a 4 heures, Christian DELAMORINIERE a dit :

Voici la phrase replacée dans son texte :

(Tu es tellement prévisible !)

Le principe du lien hypertexte, lien que donné, c’est justement de pouvoir situer une courte citation (par ailleurs reproduite intégralement guillemets compris) dans son (con)texte. Les VM-istes sont aussi capables que toi de cliquer sur un lien. 

La prochaine fois ajoute au moins un commentaire se voulant constructif si tu estimes que ça apporte une plus-value, mais ne te contente pas de dupliquer ce qui figure déjà dans l’un de mes messages. Merci. 

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Frédéric Nef : et si la mort n’existait pas ?

web-la-mort-nexiste-pas.jpg

Comment parler d’une expérience que nous sommes tous destinés à connaître un jour sans jamais pouvoir en témoigner ?

Frédéric Nef propose une thèse surprenante, afin d’en dire davantage : « la mort n’existe pas », pour reprendre la formule du poète canadien William Chapman (Les Aspirations, 1904). La méthode du philosophe : relever et déjouer toutes les ambiguïtés de nos manières de parler de la mort, mais aussi les contradictions logiques et les impasses métaphysiques qui surgissent dès qu’on tente de la définir avec rigueur. 

Que signifie, alors « être mort », si l’on n’en a jamais l’expérience ? Il n’y a pas de théorie scientifique de la mort, selon Frédéric Nef, car, pour lui, « l’instant du changement » reste inaccessible à la connaissance. Il conteste les théories qui imaginent une survie après la mort – après tout, on n’en sait rien. Mais il marque sa préférence pour l’hypothèse du « présentisme » : notre être est fixé dans une réalité qui se maintient pour toujours.

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Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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il y a 50 minutes, Patrick FROMENT a dit :

Comment parler d’une expérience que nous sommes tous destinés à connaître un jour sans jamais pouvoir en témoigner ?

En fait on ne connaîtra que l'expérience de la vie, jusqu'à ce qu'elle s'arrête. On ne peut constater que la mort des autres, pas la sienne.  
 

il y a 53 minutes, Patrick FROMENT a dit :

« la mort n’existe pas »

En tout cas, ce n'est pas une expérience que l'on peut faire. Quand les autres pourront constater qu'on est bien mort (donc pas dans un état de mort imminente) on ne sera alors plus vraiment en état de « vivre » cette mort 😉. La seule expérience que l'on peut faire est ce chemin de vie qui nous conduit jusqu'à ne plus vivre. La vie est une somme d'interactions entre soi et le Monde (il y a certes des cas particuliers, je pense notamment à la « mort » cérébrale), et ces interactions vont finalement décroître jusqu'à un point de non-retour. La mort n'est qu'une vision en creux d'une absence de vie, elle n'est donc pas une sorte de phénomène en soi, pas plus qu'une absence de pomme sur une table n'est un phénomène soi. 

Par ailleurs, est-ce que la vie « existe » ? 😂

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il y a une heure, Christian GIRARD a dit :

Par ailleurs, est-ce que la vie « existe » ? 😂

Et l'étape suivante, une fois une réponse apportée à cette question triviale, ce sera de s'interroger sur l'existence de l'existence de notre existence ? 😉

(la réponse est de toute façon 42 comme à chaque fois)

 

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Une croyance laïque qui rend bien des services aux soins palliatifs :

Citation

     En 2010, j’avais vu le documentaire Faux Départs, dans lequel deux médecins témoignent de leur expérience empathique au chevet de leur parent mourant. Le docteur Jean-Pierre Postel et son épouse, Anne, pédopsychiatre, y expliquent avoir vu une« brume apaisante » s’échapper du corps de l’agonisant, puis s’éloigner, en reculant. « Il y avait une petite silhouette humaine qui était au bord d’un tunnel et ne voulait pas sauter. À ce moment-là, je lui ai dit : “Tu peux y aller, il n’y a aucun danger, pars, c’est bon, tu peux plonger”, raconte Jean-Pierre Postel. Ensuite, j’ai vu une brume, comme la brume que l’on voit au petit matin, un peu cotonneuse, qui s’est dissipée progressivement. À ce moment-là, je savais qu’il était parti. C’était terminé. Il avait franchi son pas. »
Le médecin explique que cette expérience lui a donné une vision différente de son métier, du départ des patients dans le coma ou des mourants dans son service de réanimation. Et qu’il les regarde, désormais, autrement.

     Sylvie Cafardy affirme, elle, que les soignants qui ont vécu une EMI sont très apaisés dans leur manière de prendre soin des mourants. « J’ai appris que les expérienceurs sont définitivement guéris de la peur de la mort inscrite dans nos gènes par des millions d’années d’évolution, car une espèce qui n’a pas peur de la mort n’existe pas. Les effets psychologiques des EMI sur ceux qui en ont l’expérience sont étonnants. Ces derniers disent que cela transforme leur vie en profondeur. » 

     À plus long terme, les personnes ayant vécu une EMI y pensent comme à un cadeau de la vie, car elles n’ont plus peur de mourir. Elles ont acquis une conscience aiguë de la valeur de l’existence, ainsi que des qualités nouvelles, une plus grande intuition, une capacité d’empathie envers ceux qui souffrent, un sens accru des responsabilités, un goût pour la nature, pour l’émerveillement, pour la contemplation. Bref, une intense envie de vivre, d’aimer et d’apprendre. « J’ai eu accès à ce qu’est l’essence de la vie. Je n’aurais jamais imaginé que tout était connecté dans cette vie, dit une femme qui a vécu cela à l’âge de vingt ans. J’avais le sentiment de faire partie du Tout. »

source

 

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La parole est d’argent, mais le silence est d’or.

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