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Gérard BAKNER

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Messages publiés par Gérard BAKNER

  1. Entre ceux qui posent des questions que pose tout débutant (il y a encore une semaine et qui aujourd'hui passent à la phase critique), ceux qui se sont octroyés le droit de nous dire ce qu'il faut ou ne faut pas acheter (par vidéo interposée), ceux qui n'aiment pas tel ou tel créateur et ceux qui donnent leur avis sur un produit qu'ils n'ont jamais eu entre les mains...

    Je salue le courage de tous nos talentueux créateurs et je les remercie pour leurs apports constants à notre art.

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  2. La réflexion de Melvin est très intéressante et je me demande même si elle ne pourrait constituer la structure même de la création d'un personnage de magicien qui présenterait des effets (certes très forts) mais d'une inutilité déconcertante.
    A ma connaissance, il y a une place à prendre...

    PS : la force de l'effet étant inversement proportionnelle à son utilité.

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  3. James Hodges, dans les années 80, utilisaient des boîtes-cadeaux numérotées. Le public choisissait un numéro et James présentait le tour se trouvant dans la boîte. C'était dans un théâtre parisien, un spectacle pour enfants.
    C'est ce spectacle qui m'a donné l'idée de "Magie Surprise". J'avais sur scène, un certain nombre de boîtes colorées qui se transformaient, une à une, en bateau, en château, en cuisinière afin de servir de support aux différentes histoires magiques que Françoise et moi racontions aux enfants.

    298.jpg

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  4. A ma connaissance, les premiers qui ont fait ça (proposer un menu de tours, comme on propose un menu de restaurant), sont Les Aristobulles (Françoise et Renaud), il y a à peu près 23 ans.
    Depuis, ils se sont orientés vers le spectacle de rue avec le succès qu'on leur connait.

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    Il faut aussi se rappeler que les (presque) tous premiers magiciens en France qui ont lancé et (surtout) développé l'idée des magiciens qui passent de table en table en restaurant, opéraient au Clos de Rougement à Lissay-Lochy (près de Bourges). C'était en 1977 et les magiciens de toute la France se bousculaient alors pour découvrir cette façon étonnante de faire de la magie.
    La revue Mad Magic et le Journal de la Prestidigitation s'en étaient fait l'écho à l'époque.

    Ci-dessous un article parue dans "La Nouvelle République" :
     

    La Bande du Clos de Rougemont0001.jpg

    Au Clos de Rougemont, la soirée se déroulait ainsi...
    Trois magiciens accueillaient les convives (une trentaine de personnes) dans deux salles différentes. Le public était assis en demi-cercle autour de la table de close-up. Les magiciens faisaient aussi office de serveur en proposant le Champagne.
    Puis l'ensemble des convives se retrouvait dans une troisième salle où les magiciens officiaient en passant de table en table durant le repas. 
    Les années suivantes, la formule s'est étoffée et la soirée se terminait par un mini spectacle de "scène (mini estrade)".
    Au cours des années, plusieurs trios de magiciens se sont succédés pour assurer le show...

    Sinon le premier magicien à faire du close-up en restaurant devait être Sammy Liardey.
    On peut aussi citer "Le boeuf à l'escamote" dans un autre registre.

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  5. Il y a 1 heure, Fredzik a dit :

    D'ailleurs Pit Hartling le dit bien en préambule (ou conclusion je ne me souviens plus😀) de son effet Unforgettable: jouer trop sur le sérieux et la crédibilité de la routine tue l'effet magique, et c'est pourquoi il ajoute cet effet comique récurrent du jus d'orange comme potion de mémoire, dans sa présentation.  

    Excellente remarque.

     

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  6. La SACD, tout comme la SACEM gèrent les droits d'auteurs. L'ADAMI pour les artistes interprètes. L'ADAGP pour les artistes plasticiens.
    Ces organismes payent aux auteurs les droits quand on utilise leurs oeuvres.
    Il faut pour cela, être inscrit chez eux.

    Prouver que l'on est l'auteur d'une oeuvre est une autre chose. Une simple publication datée, une enveloppe Soleau, un dépôt à la Société des Gens de lettres, etc. peut constituer un début de preuve. Mais ce n'est qu'un début de preuve. 

    Si tu veux protéger ton produit, là on entre dans le domaine du copyright et c'est une autre histoire. 

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